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23/06/2025
Céline a toujours été aussi gourmande que bonne vivante. Ses courbes ne reflètent aucunement un manque quelconque de volonté face au sucre. Non, elles sont le résultat d'un état d'esprit. Son corps reflète la générosité qu'elle met dans chaque relation à autrui, quelle qu'elle soit.
Et son mari, Émile, aime la voir ainsi, à l'aise avec les gens, rieuse, ses yeux bleus qui respirent la joie de vivre. Parce qu'il sait qu'il n'y est pas pour rien.
Même lorsque pendant la soirée (somme toute banale, un resto en amoureux qui se termine dans un bar), elle le laisse un peu pour aller discuter avec ce bel homme qui, visiblement, n'est pas resté indifférent au décolleté qu'elle avait choisi pour son homme... Même là, il sait qu'il fait partie du bonheur de sa femme.
Céline, elle, l'aime d'autant plus qu'il la laisse flirter ainsi. Ce n'est pas à chaque fois. Mais de temps en temps, elle a envie de plus que son mari. Non pas qu'il ne lui suffise pas: il sait exactement comment la grimper aux rideaux comme elle sait exactement la manière de le faire craquer lorsqu'il retient son orgasme. Ils se connaissent parfaitement et s'aiment malgré tout, comme diraient certains.
Cette fois, elle n'a rien eu besoin de lui dire. Il a vu l'homme plonger son regard dans le décolleté de sa femme, il a vu Céline lui sourire, puis l'homme répondre au sourire, de loin. Assis sur une banquette, il s'est penché à son oreille:
-- Il te fait envie?
-- Tu lis en moi comme dans un livre... lui répond-elle en glissant une main sur son entre-jambe.
-- Il faut dire que je ne me lasse pas de le relire, ce livre-là, lui dit-il en embrassant tendrement son cou, alors que son membre réagit au quart de tour au contact de sa dulcinée.
De loin, il regarde sa femme parler avec l'homme, et il ne débande pas. Il le voit même passer un bras autour de la taille de sa femme pour lui dire quelque chose au creux de l'oreille. Elle se laisse faire, bien sûr, et rit de bon cœur avant de lui jeter un regard enflammé.
Elle prend la main de l'homme et l'amène à leur table. Elle s'assied près de son mari et lui près d'elle, qui se retrouve déjà en sandwich entre les deux hommes qui se serrent la main.
L'homme fait des compliments sur la beauté de Céline, ose déjà lui caresser la cuisse. Sans hésiter, elle pose ses mains sur les deux entre-jambes qui l'entourent. Son mari est toujours aussi dur, et l'homme à sa droite se met rapidement à rejoindre le même état. Il semble bien pourvu. La main remonte le long de sa cuisse, elle les écarte, déjà pleine d'envie de les faire jouir tous les deux.
L'homme sourit en se rendant compte qu'elle ne porte pas de culotte sous sa robe et lui caresse tendrement les lèvres qui se gorgent rapidement de cyprine.
Ils terminent leur verre et c'est le mari de Céline qui propose de rentrer à leur domicile. L'homme va prévenir ses amis, leur donne les clés de sa voiture pour qu'ils puissent rentrer sans l'attendre et rejoint Céline et son mari sur le trottoir.
Ils sont garés tout près. Céline monte à l'avant, sur le siège passager pendant que son mari conduit. L'homme s'installe derrière elle et passe rapidement ses mains dans son cou, la caresse. Elle les prend elle-même et les plaque sur ses seins. Pendant tout le chemin, il les malaxe, les caresse, joue avec ses tétons durs comme sa queue.
Arrivés à destination, ils s'installent dans le salon. Le mari de Céline va en cuisine chercher des verres. Lorsqu'il revient, elle a déjà sa queue en bouche. Il est large, exactement comme elle aime ses amants. Dans de lents va-et-vient, elle le gobe entièrement jusqu'à la garde. Elle semble n'avoir aucun effort à faire pour réaliser cela. Elle sourit à son mari pendant qu'il verse le vin dans les verres et que l'homme fouille sa chatte déjà dégoulinante de désir, à quatre pattes sur le canapé.
Il tend un verre à l'homme et ils trinquent ensemble. Lorsqu'il a bu une gorgée, le mari entreprend de déshabiller sa femme. Pour ce faire, elle se relève, ils s'embrassent langoureusement pendant la robe tombe au sol, révélant son corps nu à l'invité du jour.
-- Tu es superbe, lui celui-ci avant de retirer son t-shirt.
Elle lui monte dessus aussitôt, jetant ses lèvres sur ses pectoraux pendant qu'il se trémousse pour finir de retirer son pantalon.
Le mari en profite pour lui dévorer la croupe, avaler sa cyprine comme un nectar divin et lécher sa rondelle. Il la veut, la désire plus que tout, mais il sait qu'elle voudra d'abord sentir son amant. Dans un tiroir de la table basse, il attrape un préservatif et le tend à sa douce. Elle lui sourit et telle une féline, se glisse à genoux au sol.
-- Donnez-moi vos belles queues, messieurs, souffle-t-elle en dégrafant le pantalon de son mari pour en sortir son membre dressé.
L'homme s'est déjà levé lorsqu'elle se met à sucer son mari avec envie. D'une main, elle s'agrippe aux couilles pendantes, et de l'autre, branle leur invité.
Qu'est-ce qu'elle aime ça: deux hommes pour elle. Son amour et un inconnu. Elle virevolte d'un pieu à l'autre, suce, avale, mordille, même. Elle est littéralement révoltée.
Finalement, elle reprend la capote posée au sol et en habille la queue de l'invité avec une dextérité décapante, avant de se relever et lui présenter sa croupe en se penchant sur l'accoudoir.
-- Les invités d'abord, déclare-t-elle pendant que son mari prend place dans le canapé.
L'homme passe derrière elle, s'agrippe à ses hanches. Elle regarde son mari, sait que dans un tout petit instant, elle l'aimera encore plus. Déjà, ses lèvres s'ouvrent. Elles ne cessent de s'écarter alors que l'homme pousse doucement son bassin vers elle. La grimace qu'elle offre à son mari est d'une femme peu habituée à une telle largeur, mais qui adore ça.
Bientôt, il est complètement planté en elle et commence ses va-et-vient tant attendus. Elle souffle à son mari combien elle l'aime, comme elle le trouve beau et combien sa belle longue queue lui fait envie, le tout mêlé de baisers endiablés.
Lorsque l'homme prend une vitesse de croisière des plus agréables, elle se penche et avale goulument la queue de son mari. Les mains puissantes de l'invité claquent ses fesses, il la culbute maintenant et sent le gland de son mari s'enfoncer dans sa gorge.
Elle commence à perdre pied, gémit, crie, en réclame encore. Ils l'ont bien choisi, cet invité. Il se retire à un moment, juste avant qu'elle ne jouisse une première fois, et elle se rue sur son mari. Elle s'assied sur lui, dos à lui, attire le deuxième homme devant elle et le suce en remuant son bassin sur la queue de son homme qui la pilonne sans vergogne. Elle est si bien, là, qu'elle jouit bruyamment. Une fois qu'elle réussit à reprendre un peu ses esprits, grâce à son mari qui a ralentit sous elle, elle tend un bras fébrile mais décidé vers le tiroir resté ouvert. Elle se relève alors, tout en gardant la queue épaisse en bouche et présente sa croupe au visage de son mari en lui tendant le tube de lubrifiant.
Pendant que celui-ci lui étale la pommade gelée et lui enfonce un doigt pour la préparer, elle relève un visage souriant vers leur invité:
-- J'espère que tu n'es pas contre me baiser pendant qu'il me prend le cul?
-- Et participer à faire rayonner ce beau visage? demande-t-il en guise de réponse.
Pour tout remerciement, Céline le reprend en bouche, y mettant toute sa sensualité. Elle le gode entièrement et caresse sa verge de sa langue, en bavant sur ses couilles pleines. Le râle qu'il pousse la transporte dans des cieux cotonneux. Elle pourrait rester ainsi longtemps, très longtemps. Mais son homme lui rabaisse la croupe. Elle sent son membre contre son anus. Un petit instant, elle délaisse l'invité. Jusqu'à être totalement assise sur son mari, jusqu'à sentir sa longue dans ses tripes. En grognant de plaisir, celui-ci l'attrape par les seins et la fait tomber en arrière, sur lui. Face à elle, l'homme lui attrape les jambes, les relève et les écarte.
Sa respiration est déjà anarchique. La simple idée de la double pénétration la rend dingue. Elle va prendre cher, elle n'attend que ça.
Il n'est pas encore totalement en elle, qu'elle jouit. Son corps se met à trembler et c'est comme si elle avait donné le top départ des hostilités.
Sous elle, son mari n'a pas à bouger, il s'occupe seulement de stimuler ses seins. Au-dessus, l'homme va et vient avec force. Elle se fait littéralement défoncer et kiffe comme rarement, les trous remplis. Elle jouit en continu, ne peut plus s'arrêter de crier sa joie.
Elle est incapable de dire combien se déroule ainsi, jusqu'à ce que son mari jouisse en elle. C'est le paradis. Le sentir gicler dans son ventre est une sensation merveilleuse. L'homme ralentit pour qu'elle puisse se délecter vraiment de cette sensation.
Il se retire pour laisser le mari en faire de même. Mais lui n'en a pas fini avec la délicieuse Céline. Il la retourne comme une poupée et la met à quatre pattes sur le canapé. D'un coup sec, il revient en elle et reprend ses coups saccadés, puissants.
Près d'eux, le mari se branle, ne réussissant pas à ramollir tant que sa femme n'a pas eu son compte et qu'il la voit ainsi. Céline subit les assauts de l'homme avec délectation, son corps perle de sueur, et en réclame encore et encore, plus par réflexe, en fait.
Lorsqu'il se retire avec empressement, elle s'écroule complètement sur le canapé, son mari assis au niveau de ses pieds. Au-dessus de son visage souriant, l'homme astique son manche. Elle tire la langue pour l'encourager et reçoit le jus brûlant, épais sur son visage. Elle relève un peu la tête pour gober son gland et lui pomper les dernières gouttes, pendant qu'elle entoure la queue de son mari dans ses pieds et que, mollement, sa semence coule le long de son petit 38 sexy, comme lui avait dit un des amants, une fois.
De ses doigts, elle récolte le sperme de l'homme sur son visage et l'avale, petit à petit, alors qu'il reste debout à reprendre son souffle en l'admirant.
Quelques minutes plus tard, ils boivent finalement ce verre en attendant le taxi que l'homme a commandé. Ils rient, passent un bon moment, mais l'homme doit se rhabiller. Céline le raccompagne jusqu'à la porte, Émile les laisse ensemble. Elle embrasse son amant pour le remercier, toujours dans son plus simple appareil et le laisse filer lorsqu'ils entendent le klaxon.
D'humeur taquine, elle fait un signe de la main à son amant, sachant très bien que le conducteur la voit très bien.
Elle referme la porte et retrouve son mari, se love contre lui, dans le canapé.
-- Je t'aime tellement... Fais-moi l'amour...
-- Tu es une incorrigible insatiable, Céline...