Ce texte est le résultat d'un petit défi sur Mewe (où vous pouvez me rejoindre, pour un réseau social sans censure!). Une image nous était présentée, et l'on devait s'en inspirer. L'image étant personnelle, je ne pourrais pas vous la montrer sans l'accord des propriétaires: une femme aux belles courbes, à genoux sur un fauteuil, et un plug anal dans la main. Voilà ce que ça m'a inspiré...

 

Monsieur de la Tour était un homme joueur. Il avait toujours des idées plus farfelues les unes que les autres pour divertir sa femme Audrey. Et en ce jour de leur dixième anniversaire de mariage, il n'avait pas hésité à mettre les bouchées doubles. Tous les convives étaient rassemblés depuis le déjeuner dans la grande salle de réception du manoir.
Seulement les amis les plus proches, juste une cinquantaine de personnes, légèrement enivrées des succulents vins servis pendant le repas. À l'heure du coucher du soleil, tout le monde se détendait à sa façon. Certains dansaient sur la musique de l'orchestre invité, d'autres discutaient sur un coin de table, ou encore se prélassaient en riant dans les fauteuils mis à disposition.
Il n'y avait qu'une seule règle: personne ne devait sortir de la grande salle avant que le maître des lieux ne l'autorise. Chacun et chacune connaissait les lubies du mari d'Audrey et s'y soumettait volontiers. L'attente était toujours récompensée par un moment de pure folie charnelle.
À la fin de la danse que le Comte avait offerte à sa femme, celui-ci fit taire l'orchestre. Toute l'assistance se tut aussi, l'attention rivée sur l'homme qui montait sur scène, et la tension à son comble. Qu'allait-il annoncer cette fois?
-- Mes chers amis! s'exclama-t-il dans le micro avec sa voix rauque et suave. Je vous ai dit plus tôt à quel point ces années passées auprès de ma chère épouse ont été les plus belles de ma vie. Je vous ai dit aussi comme j'apprécie chacun... et chacune! de vous. Il est donc temps de penser aux années futures et de continuer sur la lancée que nous avons, avec ma si délicieuse femme, su si bien insuffler dans notre couple. Dans exactement trois minutes, les portes de la grande salle vont s'ouvrir. À cet instant, le jeu commencera. Manquant un peu de mots, pauvre de moi, j'ai appelé ce jeu la "Sexer Party". Certains d'entre vous ont sûrement déjà entendu parler des "Murder Party". Le principe diffère un peu ici, puisqu'il ne faudra pas trouver un assassin, mais une victime!
Des acclamations et des rires se firent entendre dans l'ensemble de la salle. Le maître de maison, tout à son aise sur une scène devant une assemblée, prit le temps de laisser le public s'exprimer. Il en profita pour baisser les yeux sur sa femme, qui ricanait en le regardant, le regard déjà lumineux de plaisir.
-- Il va de soi que si quelqu'un ne souhaitait pas prendre le risque de devenir victime, il ou elle pourra rester dans la grande salle sans que personne ne lui en tienne rigueur. Mais vous comprendrez que dans ce cas, vous ne pourrez pas profiter pleinement du résultat du jeu. Des indices ont été disséminés un peu partout dans le manoir. Vous devrez les trouver et rassembler quatre petits papiers. Un nom, un accessoire, une position, et un lieu. Mais attention! Car je sais que vous êtes toutes et tous des petits coquins avec vos préférences! Vous avez déjà partagé des moments intimes à peu près tous ensemble, ici. Nous, en tout cas, oui!
De nouveaux rires emplirent la salle, mais cette fois, le Comte ne devait pas laisser le temps filer.
-- Vous aurez donc l'occasion d'échanger vos petits papiers avec d'autres joueurs et joueuses, afin d'obtenir la combinaison qui vous plaira le plus! Le premier ou la première à revenir ici avec ses petits papiers verra sa victime dans l'obligation de s'exécuter... Et de subir les envies les plus folles des autres participants! Pour vous faciliter l'obtention des papiers, vous trouverez, dans chacune des pièces, une personne prête à vous révéler où vous pourrez trouver un indice... Mais vous imaginez bien que chaque service aura un prix!
Les amis et amies réunies dans la salle avaient tous cette appréhension d'être désigné comme victime. Mais avec les années, tout le monde savait que la confiance était une chose sur laquelle le Comte ne dérogeait pas. Si une personne tentait de forcer une autre, il ou elle se verrait bannie à jamais de ses soirées.
Et si chacun craignait d'être la victime, il n'y avait personne ici qui n'avait pas déjà une idée en tête de qui il voudrait voir en victime.
Les portes s'ouvrirent dans un silence jouissif pour le Comte qui cria presque dans le micro:
-- Mes très chers amis! Que la Sexer Party... Commence!
Et les cris fusèrent, et les rires explosèrent. En quelques secondes, la salle se vida et le maître de maison resta seul dans cette grande salle, un large sourire aux lèvres. Pourtant, il vit sa femme faire demi-tour et venir le rejoindre. Elle était, comme toujours, la plus belle à ses yeux. Cette robe de soirée transparente - la copie conforme de la toute première robe qu'il lui avait offerte alors qu'ils n'étaient encore que de jeunes amants insouciants du futur - l'embellissait encore plus. Il descendit de scène pour aller à sa rencontre, les bras ouverts pour l'accueillir dans ses bras.
-- Ma chère épouse! Ce jeu ne vous amuse pas?
-- Monsieur le Comte se sous-estime... Je venais te voler un baiser avant d'y aller. Pour te remercier. Et te prévenir: je vais tout faire pour que la victime soit le Comte en personne! Je suppose que tu as mis ton nom...
-- Bien entendu! Tu sais très bien que j'aime participer aux jeux que j'organise. Mais cette fois, je ne peux pas, malheureusement. J'ai moi-même caché chaque papier. Ce serait de la triche.
Audrey embrassa tendrement son mari. De cette façon qu'elle avait de l'embrasser lorsqu'elle voulait quelque chose de lui. Il connaissait parfaitement ce baiser, entrecoupé de mordillements de sa lèvre inférieure, la main posée dans son cou, et le doux pouce de sa femme qui titillait son lobe d'oreille.
-- Non, Audrey, je ne te dirai pas où est caché mon nom.
Elle lui fit une grimace, lui tira la langue et repartit en riant. Le Comte de la Tour était un homme parfaitement heureux. Il frappa des mains, quatre domestiques apparurent dans l'instant, et il leur demanda de nettoyer la salle. Pendant ce temps, il allait pouvoir se mêler aux joueurs et aux joueuses, profiter de l'euphorie née de son imagination.
Dès qu'il entra dans la bibliothèque, il fut ravi. Tout le monde jouait avec enthousiasme, laissait l'enfant remonter à la surface et riait de bon coeur. Même si les jeux étaient adultes.
-- J'ai trouvé le nom de ton mari!
-- Oh! Tu veux l'échanger? Moi, j'ai un papier "dans le lit conjugal"!
-- Et pourquoi je ferais ça? Ça m'amuserait, d'être le bourreau de ton homme! Mais...
-- Mais?
-- Si tu passes le reste du jeu toute nue, je veux bien échanger nos papiers!
-- Ahah! D'accord!
C'était exactement l'attitude que le Comte attendait de ses invités. Patricia retira tous ses vêtements, ne gardant que ses talons, puis ils repartirent en courant vers d'autres pièces. Il continua d'errer dans les couloirs, emplis de rires et d'exclamations diverses. Il savait comment se terminerait cette partie. À moins d'un heureux hasard, aucun participant ne pourrait trouver quatre morceaux papiers. Pour gagner, il faudrait donc absolument, non pas échanger, mais persuader d'autres joueurs ou joueuses de lui donner son papier. Par tous les moyens. Et ce moment du jeu serait une superbe mise en jambe pour le reste de la soirée.
Il en profita pour observer les personnes qui aidaient les joueurs à trouver les papiers. Il s'agissait d'hommes et de femmes qui souhaitaient pouvoir participer aux soirées organisées par le Comte, réputées pour leur fin orgiaque. Ce soir serait sûrement la plus mémorable.
Dans une chambre d'amis, il fut aux anges en voyant la jeune Géraldine, par exemple. Tout juste 20 ans et déjà si perverse! Jean-Charles cherchait désespérément un deuxième papier. Depuis l'embrasure de la porte, le Comte l'observait retourner les draps, ouvrir les tiroirs. Géraldine, qui ne portait rien sur elle comme tous les "aides-jeu", s'amusait visiblement beaucoup à le voir fouiller partout, ce qui rendait Jean-Charles encore plus fou de ne rien trouver. Alors il finit par demander de l'aide.
-- Très bien, monsieur, fit Géraldine en bombant son torse. À quatre pattes et aboyez, comme un gentil toutou!
Fière d'elle, Géraldine remua ses seins massifs aux tétons dardés. La surprise passée, Jean-Charles s'exécuta:
-- Ouaf! Ouaf!
-- Fais le beau! s'exclama Géraldine.
Jean-Charles se mit à genoux, plia ses coudes et ses poignets devant lui et tira la langue en haletant comme un véritable caniche, avec ses cheveux frisés.
-- Bon toutou! fit Géraldine en ébouriffant sa chevelure. Je vais donc vous aider: il n'y a plus de papier dans cette pièce!
-- Oh la garce! s'exclama Jean-Charles avant de partir dans un rire joyeux.
Le Comte ne put s'empêcher d'applaudir la jeune femme. Jean-Charles repartit à la chasse aux papiers et avec un large sourire, le maître de jeu continua son errance joyeuse.
Une fois avoir fait le tour de toutes les pièces, et s'étant assuré qu'il ne restait plus de papier à découvrir, il fit rassembler l'ensemble dans joueurs et joueuses dans la bibliothèque.
-- Voilà que nous arrivons à la deuxième phase du jeu, mes amis! s'exclama-t-il, perché sur un fauteuil. Tout d'abord, j'aimerais remercier et féliciter nos aides-jeu pour leur prestation des plus divertissantes!
Tout le monde acclama le groupe de jeunes gens attroupés dans un coin de la bibliothèque.
-- Tous les papiers cachés ont été trouvés, reprit le Comte. Vous aurez remarqué qu'aucun d'entre vous n'en a quatre. Vous allez donc pouvoir vous disperser à nouveau, comme vous le désirez, sauf la grande salle bien entendu, où nos chers aides-jeu vont pouvoir aller se désaltérer. Ils termineront la soirée avec nous, car ils l'ont bien mérité! Vous devrez donc maintenant aller voir chacun et chacune, leur demander quels papiers ils ou elles ont, et les persuader de vous les donner. Soyez convaincants, imaginatifs!
Aussitôt, les discussions commencèrent. Certains s'éloignaient, d'autres restaient, parlementaient. Le Comte, lui, accompagna ses jeunes recrues jusqu'à la grande salle.
-- Vous avez prouvé votre envie, votre plaisir du jeu, et votre inventivité. Même quelques points délicieux de perversion pour certains! Grâce à vous, ce jeu, et mon anniversaire de mariage est une totale réussite! Profitez du buffet et des boissons à votre aise. À partir de ce moment, je vous considère comme mes amis et mes amies.
Pendant de longues minutes, le Comte reçut les embrassades des jeunes gens, aussi bien femmes qu'hommes. Mais lorsque vint le tour de Géraldine, qu'il garda pour la fin, il l'attira un peu plus loin du groupe.
-- Je vous avais choisie car ma femme avait une attirance pour vous. Je pense que vous lui rappelez sa défunte sœur, mais elle ne l'admettra pas. Passons... Vous avez été tout simplement magistrale avec Jean-Charles. Comment avez-vous deviné qu'il aimait ça?
-- Je ne sais pas, avoua la jeune femme. Je l'observais et ai remarqué qu'il ne s'offusquait pas du tout que je me moque de lui pendant qu'il cherchait. Au contraire, ça avait l'air de lui plaire. Alors j'ai juste poussé le bouchon un peu plus loin.
-- Nous manquons de femmes dominantes, dans nos soirées. Seriez-vous prête à tenir ce rôle de temps à autre?
-- Même constamment! s'exclama-t-elle dans un rire qui réveilla des pulsions difficilement contrôlables chez le Comte.
Alors il l'attrapa par la hanche et l'attira à lui pour l'embrasser à pleine bouche. Géraldine se laissa faire, un instant. Il la sentait fondre littéralement. Mais avant qu'il n'ait le temps d'en être déçu, elle rompit le contact et lui sourit en coin en tapotant le bout de son nez du bout de l'index:
-- Monsieur le Comte... Vous allez me décevoir, si vous commencez à me faire faire quelque chose que vous-mêmes nous avez interdit avant la fin du jeu. Pas de sexe tant que personne n'est arrivé dans la grande...
-- Et la grande gagnante est: Béatrice du Lac!
Le Comte se retourna aussi sec et leva les bras au ciel pour accueillir la gagnante. Il était d'autant plus ravi que Béatrice était une amie très proche d'Audrey. Bien plus qu'une simple amitié charnelle, les deux femmes partageaient un profond amour sincère. Il la prit dans ses bras et l'embrassa chastement avant de récupérer les papiers et envoyer la troupe de jeunes gens aller chercher le reste des joueurs en leur annonçant la fin de la partie.
Quelques minutes plus tard, le Comte était de nouveau sur la scène. L'assemblée était en grande partie nue. Parfois, il manquait le bas, parfois le haut. Personne n'était sorti tout à fait indemne de ce jeu. Il prit une grande inspiration de satisfaction et annonça donc les résultats.
-- Notre grande gagnante de la soirée est Béatrice du Lac! Elle a su user de ses charmes irrésistibles pour vous soutirer des papiers, qui, j'en suis certain, raviront les plus vicieux d'entre vous! Je n'ose même pas imaginer ce qu'elle a pu faire ou promettre de faire pour les obtenir. Je vais donc découvrir ce qu'il y a dessus en même temps que vous!
Silence dans la salle. Béatrice avait donné l'ordre demandé par le Comte aux papiers récupérés. Le Comte retourna le premier et sourit de toutes ses dents en annonçant:
-- Notre victime, mes chers amis, est Audrey de la Tour! Et je vous promets, je n'ai rien fait ou dit qui ait pu aboutir à ce résultat! Quoi que... qui viendrait s'en plaindre, n'est-ce pas?
Les invités rirent pendant que le Comte échangea un regard empli d'amour avec sa Comtesse. Comme à son habitude, son visage n'exprimait pas pleinement ce qu'elle ressentait, mais dans ses yeux, le Comte savait qu'elle était ravie d'être celle vers qui tous les regards allaient être tournés. Sans parler du reste...
-- Notre chère victime, donc, sera munie... Oh! D'un plug anal, mes amis! Voilà qui va limiter les possibilités, pour vous messieurs! Elle sera... à genoux! Mais voyons voir où ça se passera... Sur un fauteuil de la bibliothèque! Audrey de la Tour avec un plug anal à genoux sur un fauteuil de la bibliothèque! La victime est-elle pleinement consciente et consente-t-elle à subir les impitoyables règles du jeu?
Mais au lieu de répondre, la Comtesse se leva de sa chaise pour rejoindre son mari sur la scène. Ses hanches nues se balançaient de gauche à droite dans sa démarche majestueuse. Ses petits seins en poire, tendus d'excitation, remuaient en rythme et le Comte dut prendre sur lui pour ne pas lui sauter dessus dans l'instant. Audrey prit place devant le micro et s'exprima de cette voix lente et sensuelle dont le Comte lui-même était tombé éperdument amoureux il y avait de cela 15 ans.
-- Elle l'est, dit-elle simplement.
Et les exclamations fusèrent à nouveau. Les applaudissements emplirent la grande salle et le Comte reprit le micro, obligé de crier pour être sûr de se faire entendre:
-- Que Madame la bourreau... ou bourreuse, devrais-je dire! vienne chercher sa victime et la conduise au lieu de supplice!
L'ensemble des convives suivirent Béatrice et Audrey jusqu'à la bibliothèque. Là, il n'y eut plus un bruit. Le Comte fut une fois de plus ravi par ses domestiques. Dès l'annonce des résultats, une petite table avait été dressée dans la bibliothèque. Sur celle-ci, l'ensemble des plugs dont disposaient les propriétaires dans leur collection, ainsi qu'un véritable amas de préservatifs.
-- Dans sa grande clémence, s'exclama Béatrice une fois devant la table, la... bourreuse! laisse le choix des armes à la victime!
Cette déclaration fut accueillie par de nouveaux applaudissements et des sifflements de joie. La Comtesse s'avança et prit tout son temps avant de jeter son dévolu sur un des plus petits. Celui en verre. À peine l'avait-elle en main que son amie l'attrapa par le bras et la dirigea vers le fauteuil du fond, celui-là même où le Comte s'était perché à l'annonce de la deuxième phase du jeu.
Elle plaça sa victime sur le fauteuil, dos à l'assistance. Chacune se faufilait parmi les autres pour être sûr de bien voir. Ceux de devant durent, en silence, s'asseoir, pour laisser ceux de derrière voir quelque chose. Audrey cala ses longues jambes contre les accoudoirs du fauteuil, releva la tête, ferma les yeux, cambra son dos et passa la main qui tenait l'accessoire au niveau de ses fesses, le tendant à la gagnante.
Béatrice s'en saisit en déposant un baiser dans le cou de sa meilleure amie. Avec délicatesse, elle pencha Audrey en avant qui prit appui sur le dossier, et humecta le jouet de salive avant de le poser contre sa rondelle. Elle n'eut pas besoin de forcer beaucoup. Audrey aspira le plug en elle comme s'il faisait partie d'elle.
Le Comte bandait déjà comme un âne, et il n'était pas le seul. Les deux femmes s'embrassèrent longuement devant des spectateurs et spectatrices silencieuses. Finalement, Béatrice se retourna vers le Comte:
-- À vous l'honneur, mon cher Comte. Voici le plus beau des cadeaux pour vos 10 ans de mariage.
Le Comte s'avança et serra Béatrice dans ses bras avant de rejoindre sa femme aux yeux déjà remplis de vice et de désirs bouillants. Il se plaça face à leurs convives, derrière le fauteuil, et ouvrit sa braguette sans un mot. Audrey le prit aussitôt en bouche. Avec des gestes délicats et sensuels, elle suçait ce mari pour qui elle pourrait tout donner. Son membre épais mais court lui permettait de l'avaler entièrement sans trop de difficulté.
Voilà. Son Comte était aux anges. Et c'était tout ce qui lui importait, en cet instant. Elle sentit ses mains caresser ses cheveux, passer dans sa nuque. Il les serra un peu, lui offrit un léger un coup de reins et râla de plaisir.
-- Mes amis, que les bonnes manières aillent se faire mettre et que cette magnifique salope reçoive ce qu'elle mérite.
L'ambiance partit à la débauche la plus totale. Le Comte lui-même se mit à baiser la bouche de sa femme avec une puissance qui la fit presque vomir. Des mains se posaient déjà sur elle. Ça la caressait, ça la griffait, la pinçait, la claquait. Des bouches, des langues, des queues. En attendant leur tour, ça commençait déjà à baiser partout dans la bibliothèque. Ça venait lui mettre quelques coups de reins et repartir.
Elle ne comprit qu'après quelques secondes que ce n'était plus le pieu de son mari qu'elle avait en bouche. Elle n'arrivait plus à suivre. Ses fesses la brûlaient déjà, ses seins étaient tirés, giflés. Les larmes coulaient à flot sur ses joues et plus le temps passait, plus le plug semblait imposant.
La première giclée de sperme qui l'arrosa fut de la part de son mari. En se tournant vers lui pour l'embrasser après qu'il se soit vidé les couilles sur son cul, elle ricana. C'était une orgie comme elle n'en avait jamais vues! Tant de corps mêlés, tant d'envies assouvies.
Jean-Charles à quatre pattes en train de brouter la nouvelle Géraldine qui le tenait par les cheveux en lui intimant d'aboyer; Béatrice qui se faisait écarter le sexe par deux sexes sans réussir à voir à qui ils appartenaient...
Elle reprit position sur son fauteuil pour satisfaire Chantal qui aimait tant qu'on lui lèche l'anus, pendant que Patrick se fourra en elle avec la douceur qu'il mettait toujours. Le Comte, lui, en parfait hôte, alla faire chercher les boissons et de quoi se sustenter. Le tout fut installé dans le couloir, devant la bibliothèque.
La nuit dura, dura. On ne vit pas le jour se lever, ni le soleil se coucher. Mais une chose est sûre: jamais, de mémoire de de la Tour, plus belle et longue orgie fut organisée.