Je vous livre ici une sélection de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2019...
15/11/2019
Elle n'y peut rien, je la veux.
Tout en elle me provoque, de l'odeur de ses cheveux qu'elle remonte pour révéler la sensualité de sa nuque, à la forme de ses petits pieds enfermés dans des bas.
Elle est une tentation ambulante à laquelle je succombe sans aucune volonté de résistance. Son dos creusé qui met ses courbes en valeur est un appel à ma bouche, à mes mains, avides de son corps.
Elle est femme fragile, les yeux d'une petite fille à protéger, lorsqu'elle veut m'attirer... puis femme fatale, quand son regard s'enflamme, qu'elle se mord la lèvre inférieure avec un sourire en coin. Véritable dépravée, lorsqu'elle m'offre sa croupe reluisante, réclamant la raideur qu'elle a engendrée, où bon me semble, tant que ce soit avec véhémence.
Elle est passion exaltée, à la fois comblée lorsqu'elle reçoit ma semence sur sa peau ou au fond d'elle; à la fois gourmande, insatiable, une jouisseuse boulimique aux mille et une senteurs, qui subit avec délice le fruit de ses provocations...
15/11/2019
Elle rêve de lui, en secret.
Elle peut le sentir près d'elle, juste en fermant les yeux. Sa respiration accélère, son bas-ventre se réchauffe et se met à rayonner dans tout son corps.
Elle rêve de lui, en secret, même éveillée.
Une simple pensée qui s'envole vers lui et sa moiteur se transforme en torrent. L'odeur de son excitation se répand autour d'elle et elle aimerait que tout le monde le remarque.
Elle rêve de lui, en secret, dès le réveil.
La chaleur n'est pas due à la couette, qui a volé pendant ses rêves. C'est l'envie de voir son visage entre ses cuisses qui la brûle et la tiraille.
Elle rêve de lui, en secret, à chaque instant.
Son obsession, présent dans les détails les plus anodins. La morsure du désir la prend au dépourvu, et l'incendie se propage, sauvage, incontrôlable... Comme lui.
Alors elle rêve de lui, sans le dire à personne, les doigts plantés dans ses orifices, au point qu'elle peut presque sentir recevoir sa trique avec indécence.
Elle rêve de lui et elle rêve d'eux, se répandant comme il l'aimerait.
Elle rêve de lui et d'elle, libre de tout, de se faire prendre comme elle l'entend, comme il le désire, libre d'être à lui...
D'être elle...
16/11/2019
Accro...
Je crois que c'est le mot
Tous les matins
Le même refrain
Pas besoin de sonnerie
Quand on est pleine d'envie!
Féline sous les draps
Elle fait dresser mon mât
Use de ses lèvres
Et fait monter la fièvre
Lorsque de son doigt fin
Elle me comble avec soin
Non sans but précis
Soulager son anadipsie
Impatiente junkie désirable
Et moi son dealer charitable
Qui lui offre sans retenue
D'épaisses giclées de son dû...
17/11/2019
Les femmes n'ont pas le monopole des imaginations débordantes... Lui aussi aime à trainer avant de se lever, rêver encore un peu, entre sommeil et réveil... Les mains qu'il sent sur son corps mais celles de son amante, avide et gourmande... féline et chaude comme la braise qui se dirige avec assurance vers son but... Ce mât dressé qu'il saisit d'une main ferme pour le libérer de son tissu... Il la sent le chevaucher ou le goûter de la langue...
Il aime l'imaginer tantôt sensuelle, tantôt licencieuse, une véritable catin ou la douceur incarnée mais qui finit toujours par le faire se tendre de plaisir, sa main serrée sur son pieu qu'il astique et regarde... Fièrement dressé, il le trouve beau, puissant... Ses caresses se font plus précises et ses doigts libres glissent le long de son périnée, ses contractions se font plus violentes, plus anarchiques... La simple sensation d'un doigt appuyant sur son oeillet le fait partir, son nectar jaillissant de son membre si dur... Les vagues successives finissent par le détendre et il sourit... Il sourit à cette amante qui ne lui appartient qu'à lui... Qui n'existe que pour lui...
17/11/2019
Ôde à la Muse
J'aimerais te sentir derrière moi, alors que je travaille. Tes mains qui partent de mes épaules pour glisser jusqu'à mon ventre quand ton souffle puis ta bouche se posent sur ma nuque. Tu me grignotes ainsi, tes doigts fins parcourant ma verge tendue. Avec tes gestes sensuels, tu ferais alors le tour de moi, ce petit sourire en coin, dont toi seule connais le secret, accroché à tes lèvres. Tu grimperais sur moi, sans un mot, les yeux braqués dans les miens, et t'empalerais doucement, jusqu'à ce que ton bouton durci se frotte à mon pubis et que tes fesses écrasent mes couilles pleines. Tout en me gardant bien au fond de toi, tu ondulerais tranquillement, le souffle déjà court, la chatte dégoulinant sur mes bourses et mes cuisses. Tu te pencherais à mon oreille et me susurrerais:
"C'est là que devrait être continuellement sa place... Au fond de ma chatte en train de baiser mon âme…"
Et tu me ferais l'amour, tout simplement. Les yeux dans les yeux, nos sexes se caressant jusqu'à l'extase. Me faire sentir chaque irrégularité de ton vagin avec une douceur irrésistible, tes hanches se mouvant avec la sensualité qui te caractérise tant. Mes mains n'auraient de cesse de caresser cette peau douce. Ton sourire grandissant à chacun de mes mouvements de bassin, incontrôlés, provoqués par les contractions internes que tu m'offres. Je te sentirais jouir avec douceur. Cet orgasme qui ne terrasse pas mais qui fait chanter l'âme.
"Viens, me soufflerais-tu dans une supplique. Viens avec moi, mon bel amant. Remplis-moi de toute ta tendresse, tout ton désir…"
Tu te penches alors à mon oreille, pendant que mes mains s'accrochent à tes fesses, un doigt caressant ta rondelle qui s'étire légèrement.
"Remplis-moi de ton foutre…"
Je n'arriverais qu'à te répondre une chose, la voix tremblante d'impatience de t’exhausser:
"Mon amante secrète... Mon corps est tien, mon foutre gicle pour toi, mon âme danse avec la tienne... Viens prendre ce que tu désires…"
D'une légère pression de ma main sur le bas de ton dos, tu te cambres à ton maximum. Nous n'avons plus besoin de bouger. Nos jouissances partent à l'unisson, ma queue qui lâche son jus par grands jets au fond de ton antre ruisselante. Je ne te regarde plus, je t'admire, m'imprégnant de chaque image, de chaque sensation, de chaque odeur.
Jusqu'à ce que tu viennes t'écrouler sur moi, haletante, me gardant au fond de toi le plus longtemps possible.
18/11/2019
"Météo orgasmique"
Je veux la faire rayonner, au point que son bas-ventre brûle comme un soleil, que ses hautes pressions anticycloniques fassent grimper mon baromètre en flèche...
Provoquer une véritable mousson entre ses cuisses, une hygrométrie qui s'affole au rythme des grandes marées lunaires...
Que nos corps soient traversés d'un ouragan si puissant qu'il fait trembler la terre, fait jaillir mon geyser bouillant, que son volcan implose et se répande en grondant telle un éclair tout droit sorti de l'Olympe...
Puis que la dépression qui s'installe soit chassée rapidement par son sourire...
Qui la fait rayonner...
18/11/2019
Elle est ma tentation,
Ma tension.
Elle me fait vibrer,
Bander.
Elle est ma friandise,
Ma gourmandise.
Me semble tout le temps humide,
Si torride.
M'attire constamment en elle,
Si sensuelle...
Même quand elle boit son café,
À l'envers sur le canapé.
18/11/2019
Elle ne veut pas ouvrir les yeux, pas tout de suite. Prolonger encore un peu ses rêves en glissant une main molle sur son ventre, puis suivre la chaleur jusqu'à sa source.
Elle n'a pas fait que rêver, elle a vécu son rêve. Le tissu qui recouvre son sexe a épongé une quantité de cyprine. Elle sourit en revoyant son amant de la nuit, ricane presque en posant le bout des doigts sur le draps aussi humide que sa culotte.
Les images de la nuit l'assaillent à nouveau. Son corps réagit au quart de tour lorsque ses doigts fins viennent trouver cette discrète partie érectile de son anatomie. Elle peut encore sentir les assauts virulents de cet homme sans visage net qui est pourtant beau.
Coulant à nouveau, sentant l'odeur de son nectar emplir ses narines, elle guide cette fois son rêve, haletant presque sans bruit lorsque sa poupée imaginaire la culbute contre le bureau de son chef qu'elle ne supporte pas... Et pourtant...
L'explosion arrive, honteux, surprenant, violent. Elle sent un petit jet de cyprine gicler timidement de son vagin. Elle aurait aimé le retenir, ne pas faire ça alors que malgré elle, les traits du visage se précisaient en ce chef... Qu'elle va encore devoir croiser maintes fois aujourd'hui... Après tout, peut-être est-il odieux mais ça ne l'empêcherait pas de...
Oh! Que cette journée va être longue!
19/11/2019
-- Aïe! Mais pourquoi?
-- Parce que tu aimes ça.
-- ...
-- ...
-- Encore.
19/11/2019
Quand je plonge dans ses yeux, j'en oublie tout le reste: ses seins aux tétons insolents que j'aime sucer et mordre; son cou que j'aime embrasser ou lécher en suivant sa courbe sensuelle; son ventre doux et chaud sur lequel j'aime m'endormir; ses épaules fines qui dominent un dos à la cambrure impudique; ses fesses aux rondeurs parfaites qui m'inspirent autant de douceurs que de sévices; ses longues jambes galbées où s'écoule la cyprine que ma simple présence fait naître en elle, dans cet antre chaud et humide où je plonge avec déraison, encore et encore, comme un réflexe pavlovien... Oui, quand ses yeux m'attrapent, je me noie...
La suite n'est qu'un enchaînement de tentatives vaines de regagner la surface...
19/11/2019
Elle se croyait intouchable,
Que de simples mots étaient incapables
De lui faire vivre ce que des mains
Lui procuraient en câlins
Impossible de lui faire ressentir
De lui arracher le moindre soupir
Si un corps ne se cognait pas
Contre elle, au fond d'elle
De simples mots ne peuvent pas
Vous retourner autant la cervelle...
Elle fixe à présent, haletante,
Les pages noircies et collantes
De ce monde nouveau et exquis
Celui des petits mots que l'on jouit.
19/11/2019
Son jeune corps à peine entré dans l'âge adulte n'avait encore jamais connu cette sensation, cette exaltation. Comment des mots couchés sur du papier pouvaient faire tendre avec cette force les mamelons de ses petits seins? Fallait-il être une véritable obsédée pour que son bas-ventre la brûle ainsi?
Peu importe, elle ne peut que tourner la page. Ses cuisses s'ouvrent instinctivement, elle pulse au même rythme que le récit. Est-ce normal de mouiller autant? Elle glisse son index dans sa fente et râle de plaisir avec l'héroïne. Elle est l'héroïne. Elle peut presque sentir cette verge lui écarter ses chairs, à lui en faire mal tellement la sienne est étroite.
Est-ce donc de la sorcellerie pour qu'elle jouisse presque aussi fort que ce qui est décrit? Elle veut déjà recommencer, en parler à ses amies, en lire à son prochain petit copain, le dire au monde entier: c'est en jouissant sur un livre ouvert que vous comprendrez la vraie force qu'ils cachent!
20/11/2019
D'un simple regard, elle me transporte.
C'est elle qui me fait passer ma langue sur la courbe sensuelle de sa nuque.
C'est elle qui me fait empoigner ses monts pour les presser comme des citrons, jusqu'à sa grimace de douleur.
Encore elle qui érige mon pieu avec la douceur de sa bouche.
Elle, toujours elle, qui me fait perdre pied.
Elle qui me fait strier la peau de son dos.
C'est elle qui fait que je la baise comme si ma vie en dépendait.
Oh oui, elle! Elle qui me crie de continuer.
Encore et toujours elle qui me supplie de ne pas m'arrêter.
Et elle qui subit mes assauts avec ce délice pervers.
Mais surtout elle à qui j'offre ma jouissance.
Elle qui reçoit mon foutre, mon nectar.
Elle qui s'en délecte lorsqu'il jaillit de ma trique.
C'est elle qui l'a voulu, qui a tout fait pour le recevoir...
Quelque soit l'orifice...
20/11/2019
Sans trop savoir pourquoi, elle ouvre ce livre. Pourquoi d'autres sont si attirées par ça? Ce ne sont que des mots... Il faut vraiment être obsédée pour aimer ça!
Mais au fil des pages, elle découvre un monde où le plaisir n'est plus une honte, où n'est coupable que celui ou celle qui réfute ses propres désirs.
Elle doute d'elle-même, ne se reconnaît pas. Sans pouvoir s'arrêter. Que lui arrive-t-il? C'est si mal... et si bon à la fois!
Elle explose, sans sentir venir, s'étant fermée à la montée du désir provoquée par ces mots couchés sur du papier! Elle explose et dans le même temps se redécouvre... pour son plus grand plaisir...
20/11/2019
Je veux t'attacher à mes mots,
Te contraindre à mes envies,
À mes besoins libidinaux,
Ma petite chienne ébahie.
Te nouer à mon âme,
Te suspendre à mon corps,
Ma catin, ma courtisane,
Quand mon pieu te perfore.
Diriger ta luxure,
Liquéfier ton impertinente vulve,
Révéler ta nature,
Le visage enfoui dans tes effluves.
Donne-toi, prends-moi,
Obéis ou sois punie,
Le choix des larmes ou de l'émoi,
Te rends fébrile, ma petite lubie.
23/11/2019
Il est des moments où l'on se laisse aller à ses envies... La raison n'est plus qu'un fétus de paille sous le soleil de l'Orient à son zénith... On la cherche, la titille, aime à la savoir excitée par nos attentions... La sentir humide, jusque dans son regard... Puis tout bascule: il est temps d'assumer...
Il est des moments où l'on se sent chasseur devenu proie... Et qu'est-ce que c'est bon!
26/11/2019
Elle est là, prête. Chaque parcelle de son corps semble me réclamer. Moi? Ou ce que je lui apporte? Est-ce vraiment indissociable? Sommes-nous indissociables? Elle me nourrit autant que je l'exalte.
Ensemble.
Que nous soyons douces caresses, ou qu'elle se jette à mes pieds, réclamant ma sévérité, ma perversité, qu'elle soit délicate ou véhémente, qu'elle réclame, supplie ou exige...
Elle est là, prête... Et je le suis aussi...
02/12/2019
Dès le réveil, c'est systématique.
Cette tension qu'elle fait naître et qu'il me tarde de faire passer... le plus longuement possible. Offrir à sa boulimie la consistance de mes pensées perverses. Planter dans sa moiteur la raideur de mon désir pour elle. Savoir qu'elle le veut à tout prix, qu'elle ne désire plus qu'une: ce qu'elle considère comme SON précieux nectar, épais et poisseux comme elle l'aime, qui jaillit en faisceau blanc immaculé de mon gland turgescent, rouge vif, qui me semble imploser à chaque fois pour elle.
Chaque matin.
Dès le réveil, c'est systématique.
Elle reçoit ma jouissance.
04/12/2019
Je le sais... Ce n'est pas tant la morsure du cuir sur la peau de son cul parfait qu'elle recherche. L'état d'esprit dans lequel la projette cette cinglante torture, cet oubli de soi, pour se donner ensuite pleinement...
Je le sais... et c'est pour ça que je m'y donne à cœur joie, que je lève mon bras, encore et encore, retenant ma compassion pour lui offrir ce dont elle a besoin... Se dépasser dans la douleur pour jouir sans entrave, voilà ce que je lui offre par mon inflexibilité... Plus souple, plus sec, bien respirer... Et la regarder, voir en elle le plaisir s'installer, et le faire mien...
Je le sais... Je ne prends pas mon pied à la voir souffrir, je me repais de son bonheur grandissant à chaque claquement, je me nourris de la rage luxurieuse dans son regard, des tremblements de crainte et d'excitation à l'idée de la prochaine douloureuse caresse...
Je le sais... Et elle aime ça autant que moi...
15/12/2019
Lorsque le supplice laisse place à la luxure, lorsque les dernières barrières sont tombées et que la laisse attachée à son cou prend tout son sens... Déchaînée, débridée, furieusement en chaleur, réclamant de tout son corps et de toute son âme la délivrance tant espérée...
Mais la plus grande force de celle qui se met aux pieds d'un homme est la patience... Inculquée avec sévérité et autant de passion qu'il mettra à la pilonner...
Pour elle, peu importe la difficulté, peu importent les larmes des moments où elle croyait ne pas être à la hauteur de ses attentes, peu importe tout, quand elle voit la fierté dans ses yeux et la ressent dans sa poigne...