Je vous livre ici une sélection de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2020...

 

08/01/2020

C'est ainsi que tu es: chaque matin affamée. Que tu sois tendre, féline, salope ou chienne. Réveillée la première ou par mes caresses qui cherchent le contact de tes lèvres trempées. Tu as encore rêvé de te faire prendre par plusieurs hommes?
Affamée à chaque réveil, je deviens ton repas, ta pitance. Mieux que le café, tu as besoin de ce mât de chair pour te sentir vivante, exister.
Et je me sens exister à mon tour. Je renais chaque matin dans tes yeux gourmands alors que tu fais de moi ton petit-déjeuner... Lorsque je me répands sur toi, râlant mon plaisir de combler le tien...

 

 

10/01/2020

 

Je vais enfin accéder à ta demande. Celle d'officialiser ton statut, tes envies, tes besoins. Regarde comme tu es belle. Ces seins me donnent tellement envie. Heureusement que je t'ai bien serré les jambes, sinon je te baiserais là, tout de suite. Mais ne crains rien, je suis avec toi. J'ai invité quelques amis, tu es habituée, il m'arrive de te regarder te faire défoncer comme la dernière des putes... Mais là, ce sont de ces amis qui ne savent rien de tout ça. Tes amis d'enfance, ta meilleure copine à qui tu n'as jamais réussi à parler de tes penchants pour les fessées de cuir. Je serai là, ma belle, tu n'as rien à craindre. Et ce sera officiel, comme tu le désirais. Tes collègues seront là, aussi. Ton frère et ta sœur, ça va être une belle fête. Oui, tu sais que j'ai souvent fantasmé sur ta sœur... Et je suis certain que ton frère va adorer. Tout comme ton beau-frère et ta belle-sœur. Oh! Et les voisins, aussi, bien sûr! Le pervers du quartier va enfin pouvoir se soulager directement sur toi. Allez, viens, suis-moi, ça sonne...

 

 

16/03/2020

 

Sois fière de tes sécrétions. Elles ne font pas de toi une salope nymphomane, elles te libèrent l'esprit.
Accepte-toi telle que tu es avant d'espérer accepter les autres.

 

 

18/03/2020

 

Emmanuelle est toujours ainsi. Lorsqu'elle jouit en recevant le foutre abondant, chaud et épais de son homme, que sa chatte pulse encore des violentes contractions qui ont accompagné chaque giclée de ce nectar divin, alors Emmanuelle s'empresse de lever des yeux presque anxieux vers lui: est-il lui aussi comblé comme elle de s'être vidé les couilles sur sa magnifique salope?

 

 

07/04/2020

 

-- Vous êtes en retard, Bertrand.
-- Pardon madame Wong, la circulation...
-- Je m'en fiche... Déshabillez-vous.
-- Heu... Ici, madame?
-- Il y a cinq minutes, j'aurais pris le temps de vous amener dans ma chambre, Bertrand. Mais maintenant, je suis en train de boire un verre.
-- Bien... Excusez-moi.
-- Bertrand... Vous ne bandez pas devant moi?
-- C'est que... La situation est gênante, madame... Tout le monde me regarde.
-- Bandez... Ou rentrez chez vous. Regardez, je n'ai pas mis de culotte.
-- Oh! Vous êtes si belle, rasée de cette façon...
-- Ce n'est qu'un triangle, Bertrand. Mais je suis contente de voir que vous commencez à bander enfin. Astiquez-vous un peu. Vous pouvez toucher ma cuisse, si vous voulez...
-- Merci madame! ... Cette raideur vous fait-elle plus honneur, madame?
-- Laissez-moi vérifier...
-- Aïe!
-- Oui, cela me sied, Bertrand. Vous pouvez monter sur le comptoir, à quatre pattes.
-- Vraiment, madame?
-- Ai-je l'air de plaisanter, Bertrand?
-- Non madame.
-- Vous voilà à votre place, Bertrand. Vous allez maintenant m'attendre en vous laissant faire par quiconque en aura envie. Je vais aller remercier ce jeune homme, là-bas, qui m'a offert ce verre.
-- Madame, je... Les zombies...
-- Eux pareil! Vous avez raté votre tour, Bertrand. C'était il y a cinq minutes. Vous allez devoir patienter, à présent. Vous voyez cette belle blonde, là-bas? Il est possible qu'elle passe aussi avant vous... Peut-être que tout le bar, vivant et mort, me sera passé dessus avant que je ne vous excuse ces cinq minutes de retard, Bertrand... Bonne soirée!

 

 

30/06/2020

 

Ma patronne, Ghislaine, est une belle dame à la peau ébène et aux longs cheveux noirs qu'elle lisse régulièrement, en petite tenue, pendant que je fais le ménage. Le jeudi, lorsque son mari, Emmanuel, un homme trapu et velu, se rend à sa séance de psychanalyse, je ne porte pas de sous-vêtements.
C'est que Ghislaine avait surpris mon regard, il y a quelques mois, sur ses fesses larges et rebondies. Depuis, elle me demande assez souvent de lui lécher l'anus et de le doigter tout en m'appliquant à la faire jouir. J'adore sa rondelle. Je la lèche en bavant autant que sa vulve. Ghislaine est une femme qui mouille énormément et apprécie de m'en mettre plein le visage après avoir subi un orgasme ou deux.
Je la lèche et y insère ma langue, mes mains plaquées sur son fessier si admirable. Elle les remue sur mon visage en gémissant et en ricanant. Je crois qu'elle se moque un peu, mais cela m'excite énormément. Tout en dorlotant le trou noir de ma patronne, je contracte mon vagin, ou frotte ma vulve contre son mollet, et je dois souvent me retenir pour ne pas jouir avant elle.
Mais aujourd'hui, nous avons eu une surprise: se rendant compte sur la route qu'il avait oublié son porte-feuilles, Emmanuel est revenu. Nous ne l'avons pas entendu entrer jusqu'à ce qu'il arrive au salon, juste à côté du canapé où je me régalais de cet anus qui hante mes nuits.
Emmanuel ne s'est pas fâché. Il a pourtant d'abord semblé déçu, j'ai même vu de la tristesse dans ses yeux. Mais il m'a demandé de continuer. Ghislaine et moi étions gênées, les premières secondes. Mais lorsqu'il a sorti sa large queue de son pantalon et a commencé à se branler en nous regardant, je me suis mise à dévorer ma patronne comme jamais! J'ai dû bien faire mon travail, car elle semblait ailleurs. Lorsque son mari a dit "hummm la salope... elle aime ça, hein?", elle a répondu: "elle adore me bouffer le cul, chéri"... mais je suis persuadée qu'il parlait d'elle!
Bizarrement, je n'ai pas joui. Je crois que la surprise était trop grande pour réussir à bien me lâcher. Ghislaine a joui bruyamment, comme à son habitude, puis elle m'a allongée au sol pour s'essuyer sur mon visage, pendant qu'Emmanuel se vidait les couilles dans sa bouche. Elle m'a même honorée d'un baiser langoureux où nous avons partagé la semence encore chaude de son mari.
Ce soir, je m'enfonce mon gode le plus large que j'ai dans l'anus, tout en branlant mon clitoris et repensant aux derniers mots d'Emmanuel avant qu'il ne reparte: "À partir de demain, vous pourrez laisser vos vêtements dans l'entrée en venant travailler, Julie."

 

 

08/07/2020

 

C'était un matin comme un autre où tout basculé.
Martine et Quentin s'aimaient énormément et étaient partis pour reproduire le schéma des couples de leurs parents, bon catholiques pratiquants. Martine avait simplement laissé les rayons caresser sa peau, repoussé la couette. Quentin bandait dans son sommeil et à voir cette queue tendue, elle sentit ses seins gonfler, ses mamelons durcir. Une main se glissa entre ses cuisses, elle mouillait déjà. Martine avait toujours mouillé énormément et rapidement. Elle ondulait près de lui, les yeux rivés sur ce membre qu'elle avait reçu mille fois en elle mais qui la faisait encore fantasmer de mille façons.
Lorsqu'elle osa l'empoigner fermement, Quentin se réveilla en souriant et commença à s'approcher d'elle. Elle savait qu'il aimait se mettre rapidement au chaud, le matin.
-- Non, lui dit-elle, deux doigts plantés dans son vagin. Ne bouge pas, ne me touche pas.
-- Ah bon? répondit simplement la voix encore endormie de Quentin.
-- Je veux te voir gicler pour moi. Et je veux que tu voies bien dans mes yeux à quel point j'aime qu'un homme éjacule pour moi.
Quentin ricana, mais se laissa faire. Déjà, Martine allait et venait le long de sa verge si dure.
-- Pas juste moi en particulier? plaisanta-t-il.
Ce qui fit tout basculer fut l'absence de réponse verbale de Martine. Elle lui sourit en coin et l'astiqua énergiquement tout en branlant son clitoris si sensible.
Ce qui fit tout basculer fut le fait que malgré la panique dans le regard de Quentin lorsqu'il comprit que cette non-réponse en était une, il ne bougea pas et se laissa faire, jouissant rapidement, pas tant à cause de la main de Martine, mais de son regard.
Ce qui fit tout basculer fut le moment où Quentin vit Martine jouir comme jamais il n'avait eu de la voir, juste au moment où sa queue expulsait son foutre épais à grands jets, et qu'à peine eut-elle fini d'être secouée de spasmes, elle lécha jusqu'à la dernière goutte sur sa peau.
Depuis ce matin les autres, la vie de Quentin et Martine n'a plus rien à voir avec celle de leurs parents, pensent-ils. Pourtant, Martine ne sait pas que dans les photos souvenirs de leur club libertin préféré, réputé pour sa qualité et sa longévité, elle tombera dans quelques mois nez à nez avec une photo de sa mère prise en sandwich entre deux hommes, dont aucun n'est son père. Elle retournera la photo pour voir la date et s'apercevra qu'elle était déjà mariée, et même mère. Mais au lieu d'en être dégoûtée, Martine chipera discrètement la photo en se disant que décidément, on a beau tout essayer, une partie de l'histoire se répète toujours... mais que ce n'est finalement pas si mal!

 

 

09/07/2020

 

Avec les copines, on a décidé de rester un peu plus tard après le cours de musique, quand on a appris que le prof s'était fait larguer par sa bombasse de meuf. Il était si triste qu'il nous avait fait un cours sur le piano, nous a joué des morceaux à pleurer.
Alors avec les copines, on a décidé de lui offrir notre virginité. Faut dire que chacune de nous se caresse régulièrement en l'écoutant parler. Il nous a déjà fait prendre du plaisir un nombre incalculable de fois sans le savoir!
Il a fallu l'attacher, pour qu'il comprenne qu'on n'acceptait pas son refus pudique. On n'a pas trop réfléchi, pas fait les choses dans l'ordre, si bien qu'il a fallu découper ses vêtements pour ne pas avoir à le détacher. Mais on lui a promis qu'on attendrait la nuit tous ensemble, pour qu'on ne le voie pas rejoindre sa voiture à poil.
Du coup, nous avons le temps! Avec les copines on a décidé: non seulement on lui offrira notre virginité, mais on le fera jouir chacune notre tour, soit dans la chatte, soit dans la bouche.
Là, c'est Marie, la première à lui monter dessus, elle m'a promis que je pourrai goûter ensuite le sperme qui coulera de sa chatte, j'ai trop hâte!

 

 

10/07/2020

 

Eve est une belle jeune femme au doux accent chantant et aux courbes éveillant un appétit d'ogre. Eve est très voyeuse et ça tombe bien: elle habite à tout juste 5 minutes de la plage naturiste, où elle aime descendre plusieurs fois par jour.
Le naturisme se pratique en famille à la maison, c'est vrai, et d'aucun penserait qu'Eve serait rôdée à voir des corps nus, presque blasée. Et la plupart du temps, c'est le cas. Mais Eve a une imagination débordante, et ce n'est pas rare qu'une paire de fesses, un sexe, un regard, des tétons pointant fièrement au sommet de seins ronds, ne l'entraînent dans un monde rempli d'érotisme.
Et parfois, sur la plage, on surprend un couple se caresser un peu plus intimement, une belle queue au garde à vous, ou une belle femme simplement ouvrir ses cuisses lorsqu'on pose les yeux sur elle.
Alors le corps d'Eve gagne en température. Elle s'adonne sans gêne à son plaisir de regarder, ses propres mains glissant sur son corps, en partie pour inciter à continuer l'exhibition. Et de temps à autre, elle doit s'écarter, s'isoler un peu plus loin, pour se caresser plus franchement, jouir sous le soleil, les doigts plantés en elle, espérant que quelque part dans les fourrés, un ou une voyeuse se cache...

 

 

14/07/2020

 

-- N'ayez pas honte, voyons. Vous n'êtes pas le premier homme que je fais bander, et c'est plutôt flatteur.
-- Vraiment, c'est la première fois que ça m'arrive.
-- Il paraît que mon regard peut malencontreusement suggérer des choses que je ne fais qu'imaginer.
-- Oh...
-- Vous semblez bander encore plus fort, d'un coup.
-- C'est que... Si vous imaginez des choses avec...
-- Votre queue plantée dans mon séant pendant que je suis assise sur vous? Oui, je l'ai imaginé, mais contrairement à vous, ça ne se voit pas autant lorsque je pense à ce genre de choses.
-- Je devrais peut-être...
-- Faire passer cette érection, oui. Je préfère dessiner cette partie de votre anatomie au repos. Allez-y, je vous regarde faire.
-- Heu... Je ferais peut-être mieux de m'isoler, non?
-- Je ne crois pas. J'aime regarder les corps se mouvoir, aussi. Branlez-vous devant moi, je suis certaine que vous m'inspirerez un dessin que je ferai de mémoire.
-- Bien, je... D'accord...
-- Mettez-vous de profil, la lumière sera meilleure... Je vais en profiter pour me désaltérer. Vous avez une superbe queue... Taisez-vous et masturbez-vous... J'espère que vous giclez fort et beaucoup. J'aime quand il y en a partout...

 

 

15/07/2020

 

Ce soir, mes amis ont pu apprécier de leurs propres yeux ce que je leur racontais sur ma toute nouvelle passion: Séverine. J'ai placé cette petite chienne au milieu de l'apéritif avec interdiction d'interagir avec qui que ce soit tant que je ne lui ordonnais pas l'inverse.
Le visage contre la table, la croupe relevée, elle a eu le droit à de nombreux compliments et même quelques caresses et claques sur son joli cul... Et pendant que nous discutions du dernier film visionné par Jean-Paul, elle s'est mise à mouiller. Je les avais prévenus: quand Séverine mouille, elle ne fait pas semblant.
Chacun a alors pu goûter à sa cyprine qui coulait d'entre ses cuisses. Une fois que chacun avait oublié ce dont nous parlions, obnubilés qu'ils étaient par ma soumise qui avait tenu son rôle à la perfection, je lui ai dit de se relever, tout en restant sur la table. Elle a sourit à tout le monde, en leur souhaitant le bonjour, avant que je lui ordonne:
-- Montre-leur comment tu jouis, mais attention à ne pas gicler partout. Ensuite, tu honoreras leurs érections, chacun son tour.
Séverine est une véritable salope insatiable. Je n'avais pas fini de lui expliquer son devoir qu'elle avait une main entre ses cuisses, poisseuse de cyprine. Elle les regardait tous les huit avec un appétit féroce avant de me répondre, sûre d'elle:
-- Je n'en ferai qu'une bouchée, Maître...

 

 

20/07/2020

 

Je lui ai fait confiance, j'ai suivi ses envies, exprimé les miennes... Je n'ai pas bronché lorsqu'il a glissé son doigt par l'entrée de derrière pendant qu'il me prenait à quatre pattes en me tirant par les cheveux... J'ai pris sur moi quand il m'enfonçait son pieu dans la gorge à m'en empêcher de respirer... J'ai fait tout ce qu'il m'a dit parce que j'avais vraiment besoin de cette note supérieure à 15 pour être sûre d'avoir une place dans l'école que je souhaite intégrer l'année prochaine... En voyant son sourire, je pense que c'est bon...
Mais maintenant qu'il est là, qu'il s'est vidé les couilles sur mes petits seins et que je sens son foutre encore chaud couler sur mon ventre... J'en veux encore...

 

 

24/07/2020

 

Les choses ont magnifiquement dérapé. Je n'aurais jamais cru que j'y aurais pris autant de plaisir. L'après-midi avait pourtant commencé de façon banale.
Avec Mélanie et Claire, nous nous sommes retrouvées à la maison, comme bien souvent. Nos hommes bossent tous le samedi, alors on les attend ensemble. Comme bien souvent, la discussion a dérivé sur le sexe. Sans se l'être dit clairement, on se retrouve toutes en partie pour ça, pour ce moment où on va pouvoir dévoiler plus facilement la petite salope que nous cachons en temps normal.
Une fois, Claire nous a montré ses jouets qu'elle cache à son mari. Ce jour-là, nous nous sommes même masturbées ensemble. Et j'avoue un petit faible pour les formes affriolantes de Mélanie.
Aujourd'hui, je leur ai raconté comment Nathan m'avait défloré l'anus juste après m'avoir demandée en mariage. Elles étaient comme folles. Plus j'entrais dans les détails, plus leurs yeux brillaient d'envie, et je suis certaine qu'elles mouillaient leur culotte autant que moi.
J'en étais au moment où il me tirait les cheveux en m'appelant déjà "Madame Laurent", son sexe qui me déchirait littéralement le cul malgré le lubrifiant et le peu de mouvements qu'il faisait, pour ne pas me faire trop mal. J'en étais là, mon public happé par mon récit, et je me disais que peut-être nous finirions encore à nous branler, quand Nathan a débarqué.
Nous avons bien tenté de faire comme si de rien n'était, mais nous étions rouges. La première chose que j'ai remarquée, c'est le regard de Mélanie sur l'entre-jambe de mon mari quand il se penchait pour lui faire la bise. Puis Claire qui se mordait la lèvre inférieure alors qu'il m'a offert un long baiser en me disant qu'il avait pu se libérer plus tôt du boulot. Autrement dit, il voulait baiser. Alors je l'ai exaucé.
Lorsqu'il est revenu s'asseoir près de moi avec une bière et après avoir passé un short, j'ai posé ma main sur sa cuisse, puis l'ai remontée jusqu'à son sexe en lui disant:
-- Chéri, je racontais aux copines comment tu m'as demandée en mariage.
Il ne lui a pas fallu deux secondes pour se mettre à bander devant les copines, et à leurs sourires et regards reluisants de luxure, je savais que cet après-midi allait devenir inoubliable...

 

 

26/07/2020

 

Après 15 ans d'un mariage qui ne m'a apporté qu'humiliation et frustration avec un homme qui pensait que gagner plus que sa femme, se vider les couilles une à deux fois par semaine au fond d'elle sans prendre son plaisir à elle en compte, et lui acheter une belle robe ou des chaussures à talons aiguille parce qu'il va la sortir et qu'il faut qu'elle soit la plus belle, était la définition de l'homme idéal, j'ai décidé de divorcer, de le quitter, de me barrer, et de le laisser seul avec sa main droite et ses remords.
Ma première soirée libérée de ce fardeau, je l'ai passée avec Émilie et sa femme. J'ai toujours fantasmé sur elles en secret. Elles ont été surprises que je les appelle elles pour leur demander de m'héberger quelques jours. Elles ont vite compris pourquoi. Elles m'avaient à plusieurs reprises fait des allusions sur le fait qu'elles ne diraient pas non à un plan à 3 avec moi. J'ai posé mes valises dans l'entrée et je leur ai dit: "J'ai envie de baiser".
Cela fait 6 mois que je vis chez elles. Mon ex n'en est qu'encore plus humilié, et le jour où le divorce a été prononcé pour de bon et que j'ai fait un bond dans l'échelle sociale parce qu'il avait toujours affirmé qu'il n'avait pas besoin de faire un contrat de mariage, parce que nous, c'était pour la vie, ce jour-là, ce n'est pas le champagne qu'on a sabré!

 

 

29/07/2020

 

Ève aime voir, regarder. Quoi de plus beau qu'une queue en érection, toutes veines dehors, qui ouvre la fleur dégoulinante d'une femme? Quoi de plus excitant que d'observer deux corps se percuter, deux âmes se caresser?
Voir l'extase dans les yeux et sur les corps. Regarder le sperme jaillir d'un pieu branlé, les convulsions d'un vagin jouissant, ou un anus serré autour d'un doigt.
Et si Ève, malgré son jeune âge, a bien compris quelque chose, c'est que se montrer, s'exhiber, aide à voir tout ça. Alors, ce matin, tant que le soleil n'est pas trop et ne brûle pas trop, elle est descendue à la plage près de chez elle avec la ferme intention de voir des corps jouir, de se nourrir de leur plaisir.
En s'installant tout près de l'eau de façon à ce que personne ne puisse la rater, elle mouillait déjà des regards posés sur elle. Elle s'est assise, a récupéré son jouet préféré, puis écarté les cuisses devant un couple qui s'apprêtait à aller se baigner. Le temps de sentir son gode caresser le fond de son vagin, elle comptait déjà trois queues dressées.
Elle n'espérait plus que deux choses: qu'un maximum d'entre elles giclerait sur sa peau tannée par le soleil; et que cette jolie brune soit assez ouverte d'esprit pour l'accompagner chez elle et baiser sans gêne malgré la présence de sa mère, sa belle-mère, et sa sœur...

 

 

31/07/2020

 

Elle m'avait dit vouloir retourner à sa vie bien rangée, de mère et de femme aimante, que notre relation prenait trop d'importance pour elle et qu'elle devait se recentrer sur ses priorités.
J'étais déçu, triste, même. Mais je me devais de respecter ses choix, aussi frustrant soit-il de ne plus l'avoir comme amie et de ne plus pouvoir disposer de son corps délicieux à volonté.
Ce matin, en partant au boulot, elle était là. Elle m'attendait devant le portail en limite de propriété. Plus tard, elle m'a avoué qu'elle avait peur de ma réaction et n'avait pas osé aller plus loin. Mais elle avait tenu à me présenter son meilleur profil.
Au premier coup d’œil, j'ai compris qu'elle était de retour pour de bon. J'ai arrêté ma voiture et suis allé chercher la chaîne qui me sert parfois à fermer le portail. Je l'ai enroulé autour de son cou et ai fermé le cadenas. Nous n'avons pas eu besoin de nous parler, c'était évident. Elle souriait et pleurait de joie. J'ai fait demi-tour et l'ai raccompagnée jusqu'à la maison, la tenant par la chaîne, la fenêtre ouverte. Elle trottait à côté de la voiture, les cheveux au vent, les seins ballottant, au point que j'ai failli me faire porter malade.
Je l'ai attachée dans la grange et lui ai mis une bassine d'eau. Alors, j'ai planté mes doigts en elle. Deux. Elle était trempée, dégoulinante. J'ai cru qu'elle allait jouir aussitôt...
-- À ce soir, lui ai-je alors dit en retournant à ma voiture, tout en suçant mes doigts au goût sucré de sa cyprine.

 

 

03/08/2020

 

Pour le soir de ses 38 ans, j'ai avoué à ma femme que je savais qu'elle avait un amant. Elle a rougi, nié, feinté à merveille la fille vexée que je puisse avoir si peu confiance en elle. J'avoue avoir pris un malin plaisir à la laisser faire quelques minutes, jouant moi aussi le jeu du mari trompé, humilié. Elle était tellement dans son rôle qu'elle n'a pas vu que je bandais... Jusqu'à ce que je l'embrasse en me collant à elle. Sa surprise a été le meilleur moment de ma vie. Mêlée à une incompréhension, un sentiment de ne pas reconnaître celui avec qui elle partageait sa vie depuis 10 ans déjà.
J'ai ouvert la porte d'entrée et son amant est apparu, encore un peu gêné de la situation. Mais je crois avoir su trouver les mots pour les dérider tous les deux:
-- Voilà mon cadeau d'anniversaire, chérie: je ne veux plus que tu te caches...
Depuis, elle a recommencé à me dire tous les jours qu'elle m'aime à la folie...

 

 

06/08/2020

 

En soirée, avec ma copine Flavienne, on aime s'amuser. Elle n'a pas son pareil pour chauffer les gens à blanc. Elle trouve une cible, l'allume, lui met dans la tête des images aussi libidineuses que salace, et au moment du premier baiser, je m'approche et elle détourne le visage vers moi. C'est pervers, sadique, immoral. Parfois, j'ai un peu honte. Mais la tête que fait le gars lorsqu'il comprend qu'il ne la touchera pas est ce qui excite assez Flavienne pour assouvir mon plaisir à moi.
Lorsqu'elle m'embrasse ainsi, que nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre, que je vois Flavienne poser le regard sur le garçon vert de jalousie, mon corps s'enflamme. Je me déshabille souvent toute seule, tellement la chaleur devient intense. Dès le premier vêtement retiré, les regards se posent sur nous. Et plus on nous regarde, plus je suis excitée.
Lorsque Flavienne glisse sa main entre mes cuisses, je suis déjà toute ruisselante. Bien souvent, nous finissons par baiser devant tout le monde. Elle sait que c'est mon plaisir ultime. Toutes ces queues dressées, toutes ces chattes trempées. Elle n'hésite pas à me bouffer le cul, à me faire couiner comme la petite salope qu'elle adore tant. Elle sait que j'aime quand on excite les gens au point qu'ils se branlent, ou qu'ils baisent à leur tour aussi.
Et puis, au moins, je me dis que le pauvre gars que Flavienne a fait devenir la risée de la soirée a une certaine compensation...

 

 

18/08/2020

 

Quand elles m'ont avoué n'avoir jamais goûté le sperme d'un homme, je n'ai pas hésité une seule seconde. J'ai fait rentrer mon homme, qui était parti chez sa mère pour nous laisser entre filles.
La soirée ayant déjà bien été entamée, elles se sont déchaînées. Mais pas question d'offrir à mon soumis la satisfaction de la douceur de leurs mains sur sa queue! Elles m'ont regardé le traire, récolter son foutre dans ma main. Mes deux amies étaient ruisselantes d'excitation. Il faut dire que ma chose a une belle queue, avec un gros gland appétissant. J'ai accepté qu'elles enlèvent leur culotte pour qu'il puisse les renifler.
Une à une, je leur ai fait goûter son jus, qu'elles ont adoré. Alors je leur ai promis qu'elles pourraient encore en avoir, si elles le désiraient. Elles étaient si libidineuses que j'ai pris un malin plaisir à renvoyer Maxime chez sa mère... pour recevoir leur appétit bestial entre mes cuisses...

 

 

18/08/2020

 

Ève aime partager. Elle a été élevée ainsi. Sa mère elle-même l'a toujours incitée à partager, à ne pas être exclusive, à profiter de chaque instant. Et pendant l'été, la plage est son endroit privilégié, pour profiter. Aussi naturiste qu'exhibitionniste, Ève aime faire des rencontres, sur cette plage, à deux pas de chez elle. Mais parfois, la personne sur laquelle elle a jeté son dévolu préfère les endroits plus discrets.
Heureusement, la maison est équipée d'une piscine. Il lui suffit de prononcer ce mot pour que l'invitation soit acceptée aussitôt. Et cette jolie brune n'a pas fait exception. Elles traversent la maison et s'y rendent aussitôt. Ève n'a même pas pris la peine de passer un tissu sur elle pour remonter de la plage. C'est qu'elle sait qu'à cette heure, elle va pouvoir assouvir son plaisir d'être vue. Peut-être même celui de voir.
Elle installe sa nouvelle amie sur le transat et l'embrasse à pleine bouche. La belle semble bien moins timide que sur la plage et prend les choses en main. Ève se retrouve rapidement à quatre pattes sur le transat, une langue parcourant habilement sa croupe entière. Mais plus que cette caresse intime, ce qui la fait gémir si fort, c'est la silhouette qu'elle voit apparaître à l'étage, derrière la fenêtre entrouverte. Alors que la brune fait glisser ses doigts dans sa fente en léchant sa rondelle frétillante, Ève plonge son regard dans celui de sa mère. Qu'il est si bon, de lui faire savoir qu'elle a bien retenu les leçons que s'est appliquée sa mère à lui inculquer! En voyant deux autres silhouettes rejoindre la première, Ève se sent partir. Elle se laisse complètement aller, la brune la dévore, inconsciente de tous ces regards posés sur elles. Ève ne se fait pas discrète, au contraire. Ses couinements résonnent dans le jardin, sa jouissance éclate sur les murs de la maison.
Lorsqu'enfin, elle s'occupe de faire couiner le belle brune invitée de sa langue, les trois silhouettes s'enlacent. Au moment où les trois adultes s'écartent de la fenêtre pour disparaître, elle offre à son amie un orgasme puissant. Elle veut la faire crier, sachant qu'elle sera entendue à son tour.
Et plus tard, lorsque leurs corps se sont calmés et qu'elles se sont enlacées l'une contre l'autre, Ève ne peut s'empêcher de caresser son clitoris en entendant les gémissements de sa mère et de sa femme, pilonnées par leur amant, qui proviennent de leur chambre...

 

 

27/09/2020

 

Jouir pour toi. Partout, tout le temps. Dès que mes pensées se dirigent vers toi, nos délires, nos partages, nos excitations mutuelles.
Jouir de toi. Sentir ma chair se tendre, mon pieu durcir, lorsque mon imagination fait que tu es là, contre moi, à réclamer tout de moi, tout en m'offrant mille fois plus.
Jouir en toi. Sentir ton désir me serrer, ton envie me presser. Sentir le long de cette verge, que tu raidis d'un simple coup d’œil, mon sperme remonter, gicler au plus profond de toi dans une véritable symphonie de gémissements majeurs.