Je vous livre ici une sélection de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2021...
11/02/2021
Moi aussi, je peux te contrôler, faire de toi ce que bon me semble, quand bon me semble... Tu as aimé ma bouche, mes mains, sentir ma langue caresser ta verge tendue... Mais ce n'était pas pour ton seul plaisir! Ta queue palpite dans ma main serrée si fort à sa base que ton visage s'en tord de douleur... et de frustration de ne pouvoir te vider les couilles. Mais c'est moi qui décide le moment où ton foutre giclera, le moment précis de ta délivrance, et n'en doute pas, de mon plaisir à moi. Et ce sera... maintenant!
27/06/2021
Mina est bien ancrée dans son époque: elle veut tout tout de suite, tout le temps. Son plaisir, et parfois sa jouissance, guident chacun de ses actes. Alors ce n'est pas dans cette boite de nuit qu'elle va se retenir.
Il a beau porter un polo rose, il a un regard... Pas tant son regard que sa façon de la regarder pendant qu'elle dansait. Une véritable promesse à décoller jusqu'au septième ciel. Elle y lisait toute son envie de la culbuter dans les toilettes, cette envie irrépressible de la secouer, comme si elle lui avait fait affront que seule sa hampe raide pouvait laver.
Alors lorsqu'elle s'approche du bar où il est assis avec deux amis, Mina mouille déjà. Son coeur accélère, et chaque pas vers lui la rend de plus en plus moite.
Il se retourne et lui sourit en coin, comprenant au regard de Mina que l'affaire est entendue, qu'elle va s'offrir à lui, écarter ses cuisses pour le laisser la prendre, la pilonner sans retenue. Oh oui! Il ne compte pas se retenir! Pourquoi le ferait-il, après tout?
Ses lèvres charnues et sensuelles viennent flirter avec l'oreille de l'homme qu'elle a choisi pour ce soir. Et puis après, qui sait? Il aura peut-être de la conversation, ensuite! Posant sa main aux doigts fins sur son entre-jambe qu'elle sent déjà gonflé, elle lui déclare d'un ton sûr:
-- J'ai besoin de me faire baiser, tout de suite.
La laissant le masser ainsi, Quentin lui mordille l'oreille et lui répond:
-- Je te rejoins dans les toilettes pour femmes.
Un simple pas en arrière, et Mina se retrouve le dos contre le petit muret en bois. Ce petit pas l'empêche de se faire entendre, à cause de la musique, alors elle remue doucement ses lèvres après avoir relevé assez sa robe pour qu'il voit son minou bien rasé, ses lèvres légèrement pendantes, déjà entrouvertes par son excitation. Sa bouche forme des mots simples, ceux qui guident sa vie: "tout... de... suite..."
07/07/2021
Ce n'est pas tant le goût de ton sperme, même si j'en boirais des litres... Ce n'est pas non plus sa texture, encore chaude, sur ma langue ou ma peau... Ou même son odeur, même si j'aime l'étaler sur mon visage, mon cou et mes seins, pour te garder le plus longtemps contre moi... Non, ce n'est pas tout ça le meilleur de te vider les vider les couilles à genoux pour n'en gâcher aucune goutte.
Non... Ce qui me rend heureuse, c'est de te voir grimacer de plaisir, voir ton foutre gicler vers moi comme s'il courait vers sa Maîtresse, vers celle à qui il appartient vraiment, après avoir été emprisonné dans tes bourses pendantes. Donne-la moi, rends-la moi, cette semence qui fait de moi une femme heureuse...
Fais-moi jouir de ta jouissance... (Oui, toi aussi...)
21/07/2021
Pour Catherine, il n'y a pas de petit plaisir. Lorsqu'elle a envie de jouir, rien ne peut l'arrêter! Elle est belle, mais célibataire... Peut-être un peu trop libre et libérée pour réussir à trouver un homme qui lui sied. Mais ce n'est pas pour ça qu'elle y a renoncé. Pour preuve! Elle ne sort jamais sans sa boîte de préservatifs, on ne sait jamais...
Mais Catherine n'est pas désespérée, non. Bien au contraire! Le plaisir est parfois inattendu, et malgré la pluie, Catherine voit toujours le bon côté des choses!
17/08/2021
Isha est une privilégiée et elle le sait. Elle a eu le droit à une éducation qu'énormément de femmes de son pays n'ont pas. Mais le harcèlement est quotidien. Toutefois, Isha sait aussi que c'est parce qu'elle est belle... Et elle a appris à ne pas avoir froid aux yeux. Alors quand Isha décide d'user de son corps pour son plaisir, rien ne peut l'arrêter, et c'est dans son regard, dans son attitude entière qu'elle impose autant le respect que le désir.
"Je te veux" disent ses yeux. "Prends-moi" réclame son corps aux formes envoûtantes. Et ce, malgré son mari, choisi par son père pour la famille. Nonobstant ses privilèges de fille de bonne famille, Isha n'échappe pas à la condition des femmes en Inde, simples objets de désir et d'avancement social. C'est aussi grâce à eux qu'elle se donne à qui elle veut quand bon lui semble, tant qu'elle sait faire en sorte que l'amant ne parle pas... S'il veut un jour goûter encore à son désir ardent, il se taira. Le chantage? Elle n'en a cure! Parce qu'en rentrant, c'est son mari qui la nettoiera de sa langue. Et peut-être l'autorisera-t-elle à se branler en même temps...
20/08/2021
C'est ce soir-là que ma vie a changé du tout au tout. Pas exactement au moment de la photo, mais un peu plus tard. Je suis Cécilia, la seule blonde de la bande, et sur la photo il y a, de gauche à droite: Jennifer, Apolline et Charlotte. Ce sont mes meilleures amies. Cette photo, ce n'était pas quelque chose d'habituel. N'allez pas croire que nous sommes des grosses chaudasses, nous sommes plutôt raisonnables. Mais cette soirée bien arrosée entre copines, alors que mes parents étaient partis en week-end et nos copains à leurs occupations de mecs, a légèrement dérapé. Surtout pour moi...
On a fait cette photo juste pour exciter un peu nos copains. On enlève le haut, on fait un selfie et on leur envoie à tous! On a bien rigolé de leurs réactions... qui ont d'ailleurs été tellement rapides que nous sommes restées un bon moment torse nu, nos petits tétons dressés, autant à cause de l'air un peu frais dans la cuisine que des messages qu'on recevait et qu'on se lisait à haute voix en rigolant.
À un moment, je suis allée faire pipi dans la salle de bain. En me voyant les seins à l'air dans le miroir, j'ai commencé à me regarder de plus près, me demander si j'étais désirable, ou à quel point. J'aurais aimé avoir de plus gros seins. J'étais d'ailleurs en train de les palper tout en regardant la photo prise sur mon portable pour les comparer à mes copines, quand Apolline est entrée.
J'ai sursauté, et j'ai rougi de honte, mais le pire, c'est quand, en riant, elle a vu la photo affichée sur mon téléphone.
-- Tu te caresses en nous regardant?
-- Non, je...
Je n'ai pas pu finir ma phrase. Comment lui avouer que j'étais en train de comparer la taille de nos seins? J'ai bien essayé de le récupérer, mais elle a été plus rapide que moi. C'est seulement là que j'ai réalisé que ne pas avouer ce que je faisais réellement allait la faire penser à pire encore. Mais dans ma panique, je n'ai pas réagi assez vite. Saoule et hilare, Apolline était déjà dehors, de retour dans le salon, levant mon téléphone comme un trophée:
-- Les filles! J'ai trouvé Cilia en train de se caresser en nous matant!
-- Non, c'est pas... ai-je bien tenté.
Mais c'était trop tard. Charlotte prenait un air choqué en rigolant pendant que Jennifer, assise tout près de moi dans le canapé, me claquait les fesses protégées par mon jeans:
-- Non mais dis donc! Te caresser sur la photo de tes copines!
-- Ouais! a renchéri Apolline. Alors qu'on est là, en vrai!
Nous nous sommes esclaffées toutes les quatre ensemble, mais cette phrase s'était immiscée dans tous les esprits. Et je l'ai vu dans le regard de Charlotte avant qu'elle ne le dise.
-- Vas-y!
-- Hein?
-- Caresse-toi! On s'aligne dans le canapé devant toi, et tu te poses dans le fauteuil...
-- Ce sera mieux qu'une photo! a lancé Jennifer en trémoussant ses seins vers moi, qui ne savais plus du tout où me mettre.
Apolline m'a pris la main et m'a tirée jusqu'au fauteuil. Je pense que si ça n'avait pas été elle, je ne me serais pas laissée faire. Mais il y a toujours eu un truc un peu spécial entre nous deux, presque ambigu.
-- Fais-toi plaisir... m'a-t-elle soufflé avant d'aller rejoindre les autres qui ricanaient sur leur canapé.
J'étais tétanisée, en train de me demander comment j'en étais arrivée là. J'ai attrapé mon verre sur la table basse et l'ai avalé cul-sec. J'avoue que ça m'a réveillée, et que l'hilarité de mes copines m'a enfin rattrapée.
-- Et puis merde! Y a pas de mal à se faire du bien!
-- Yeeeaaaahhhh!! ont-elles crié en chœur.
Continuant de rire, elles ont commencé à me lancer des regards de braise, un peu surjoués. Pendant ce temps-là, je déboutonnais mon jeans et y glissais une main.
Je ne l'ai pas baissé, mais je me suis fait jouir en branlant mon clitoris hyper tendu. Par moments, je tendais mon bras pour enfoncer un doigt dans mon vagin. Je crois que j'aurais pu rester des heures à les regarder, surtout qu'elles ont commencé, sous prétexte de m'exciter, à se caresser mutuellement les seins. Apolline s'est même permise de sucer quelques tétons, ce qui m'a rendue dingue.
Mais ce qui m'a donné le coup de grâce, c'est un regard échangé. Sur son leggings, j'ai bien vu la petite tache due à son excitation, et alors qu'elle riait avec ses deux amies, elle m'a regardé, juste une seconde. Elle ne riait pas. Elle avait envie de moi.
J'ai joui sur l'instant, sous les hourra de mes amies. Puis j'ai éclaté de rire en cachant mon visage derrière mes mains.
Et aujourd'hui, cinq ans après cette soirée, je me marie. Apolline est magnifique dans sa robe et moi, je laisse mes larmes couler alors qu'elle vient de confirmer qu'elle voulait être ma femme...
13/09/2021
Constance est du genre entière, spontanée... D'aucun diront aussi coléreuse et irréfléchie! Mais quand Constance aime, c'est sans appel: elle doit le faire savoir.
Cette musique-là, elle ne l'aime pas. Elle l'adore... Alors il faut que ses profonds et magnifiques yeux bleus voient, observent, analysent. D'un sourire enjôleur dont elle a le secret, elle a la permission de grimper sur les épaules du gars près d'elle, qu'elle n'a jamais vu. Peu lui importe! Arrivée en haut, au-dessus de la foule, elle voit ce groupe. Cinq hommes dispersés sur la scène et pourtant unis comme jamais. Elle ne saurait dire s'ils sont vraiment beaux, mais en cet instant, ils sont simplement magnifiques. Ils la transportent, la font sourire, creusant ses petites fossettes qui ont déjà fait chavirer bien des cœurs...
Le rythme devient endiablé, la foule remue de plus en plus, certains slament. Son grand gaillard tient le choc, tout en continuant de danser sous elle. Peut-être que les frottements de son entre-jambe contre sa nuque musclée ne sont pas pour rien dans l'état lascif qui est le sien... Peut-être que les autres substances non plus. Peu lui importe. Il faut qu'elle leur fasse savoir à quel point elle les aime.
Au moment où elle a l'impression que le regard du chanteur/guitariste croise le sien, elle ne pense plus à rien. Ses mains soulèvent son haut et son soutien-gorge, offrant à leur vue ses seins ronds, ses tétons durcis. Elle ne pense même pas aux milliers d'autres yeux qui la dévorent. Seuls eux cinq comptent. Et chacun d'eux lui sourit, lui fait un signe.
Constance est heureuse et est prête, maintenant, à se lancer dans la danse entamée par le public. Elle descend des épaules du gars puis lui montre ses seins en riant, car après tout, il était le seul à ne pas pouvoir les voir. Presque aussitôt, elle se fond dans la foule, ondulant son corps avec les autres...