La suite de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2023...
14/11/2023
Marie a toujours cru que je ne savais pas. Comme si elle n'était pas du genre à venir tous les vendredis soirs me voir dans ma chambre, en passant par derrière, une fois mes parents couchés, pour papoter jusqu'à pas d'heure.
Elle a toujours cru que je n'avais pas remarqué ses regards posés sur moi, ni même que je ne l'avais pas vue fouiller dans mes sous-vêtements en les caressant, alors qu'elle me pensait aux toilettes.
Marie est ma meilleure amie depuis des années, et je crois bien que j'étais la seule à savoir qu'elle est lesbienne. Même elle ne se l'avouait pas vraiment.
A-t-elle pensé que je ne la voyais pas, dans le reflet dans mon écran? Sur mon ordi, une vidéo d'une nana aux cheveux longs et bouclés, aux yeux bruns comme elle, en noisette. Contrairement à Marie, la fille était totalement rasée. Oui, nous avons déjà pris des douches ensemble... Je joue très bien les ignorantes!
Sur la vidéo, la fille qui ressemble à Marie se masturbait les deux trous en racontant une histoire où elle se faisait prendre par un inconnu dans les toilettes d'un bar.
Je me suis allongée, dos à la fenêtre, les cuisses ouvertes. Lorsque je l'ai vue arriver, j'ai fait comme si de rien n'était, j'ai continué de me branler.
Ce n'est pas tant que je sois attirée par elle, ni par les femmes en général (même si j'aime beaucoup les vidéos où les femmes sont seules ou à deux), mais je voulais lui offrir ça. Et la savoir en train de me regarder m'excitait énormément.
J'ai même poussé le vice à me doigter, comme la fille sur la vidéo, les deux trous devant Marie, qui est restée jusqu'à ce que je jouisse, avant de s'éclipser.
Lorsqu'elle est revenue, dix minutes plus tard, comme si de rien n'était, elle était encore toute rouge. Je suis persuadée qu'elle s'est masturbée dans les fourrés un peu plus loin. J'ai eu beau lui demander s'il y avait quelque chose, mais elle m'a assuré que tout allait bien.
Depuis, Marie s'est révélée, et aujourd'hui, ça fait deux mois qu'elle est en couple avec Corinne. J'avoue qu'il m'arrive de les imaginer ensemble en me caressant, mais je ne tourne plus le dos à la fenêtre: Marie ne vient plus me voir le vendredi soir... Ce qui n'est pas le cas du voisin!
16/11/2023
Sexto
"T'es où?"
"À la plage avec Mélanie. Tu veux nous rejoindre?"
"Je peux pas! Je suis bloqué dans les embouteillages à 100 bornes de vous! Je vous rejoindrai pour l'apéro!"
"Dommage..."
Sophie vous a envoyé un MMS...
"Oh putain! Mais vous êtes sur quelle plage?"
"La plage du moulin... Elle est quasiment vide et on s'est mises tout au bout. Mélanie somnole, là..."
"Vous me donnez faim, toutes les deux!"
"Je lui ai passé la crème et elle me l'a passée... Partout sur mon corps!"
"T'aimes ça, m'exciter, hein?"
"Ça marche?"
"D'après toi?"
"D'après moi, tu bandes comme un fou à l'idée de bouffer nos deux minous... Je me trompe?"
"Grave... Si je pouvais, m'arrêterais quelque part. Vous êtes délicieuses, toutes les deux, sérieux... Elle sait pas que t'as pris la photo?"
"Non... Du coup, elle saura pas si tu te branles en la regardant..."
"T'aimerais ça? Vraiment?"
"Je le fais bien, moi, là..."
"Y a une sortie pour une aire à 50m... J'y suis dans 5 minutes..."
"Tu vas le faire?"
"C'est ce que tu veux, non?"
"Oui! Attends..."
"Ok, je me gare..."
Sophie vous a envoyé un MMS
"Oups! elle m'a vue faire!"
"Merde! Je fais quoi avec ça, moi?"
Vous avez envoyé un MMS à Sophie
"Sophie? Merde, j'espère qu'elle est pas fâchée"
"Sophie?"
"Continue, bébé... Je crois qu'elle est pas fâchée, non... Elle ne pensait pas que tu avais une si belle queue..."
"Tu lui as montré???"
"C'est la moindre des choses, non? Tu te branles en matant sa chatte! Ne t'arrête surtout pas..."
"Ça la dérange pas?"
"Non... Je crois que l'apéro va être sympa..."
"Tu peux lui dire que j'adore sa chatte... Tu veux que je gicle en la regardant?"
"Oui! Je suis trempée!"
"Faut que je sois discret, y a du monde..."
"Jouis pour nous!"
[...]
"Hummm Bordel, Sophie! C'est si bon! J'ai jouis sur ta meilleure pote!"
"Hummmm... Faut que je t'avoue un truc, Cédric..."
"Quoi? Elle t'a pas grillée, en fait?"
"Non, c'est pas ça..."
"Ben dis-moi! Ahah!"
"Sophie dort à point fermé..."
20/11/2023
Offre d'emploi Assistante de direction
Sous l'autorité hiérarchique du Directeur Général et en étroite collaboration avec le Directeur Financier, la Directrice Administrative et la Directrice Commerciale, vous devrez:
Lettre de motivation
Monsieur le Président,
Comme vous pouvez le constater dans mon CV, mon expérience sur ce type de poste est faible. Étant en pleine reconversion professionnelle, je tiens toutefois à vous faire part de ma candidature.
Comme vous pourrez le lire dans ma lettre de recommandation de mon dernier employeur ci-jointe, je suis très organisée, ma mémoire est réputée infaillible, et à mes côtés, aucun détail ne sera omis.
De nature généreuse et volontaire, j'apprécie le contact humain qui est ma plus grande motivation à pourvoir le poste que vous proposez en tant qu'assistante de direction. Apprendre tout au long de ma vie prend aussi une part importante de mon temps. Le faire auprès d'un directeur d'une entreprise d'une envergure telle que la vôtre serait pour moi une source de satisfaction inépuisable.
Souriante en toute situation, on me considère comme quelqu'un de moteur, et mes prises d'initiative sont bien souvent appréciées à leur juste valeur. Il n'y a, pour moi, pas de tâche ingrate et je saurai m'acquitter de chacune d'entre elles avec enthousiasme.
S'il est une chose que j'ai apprise lors de mes différents stages et emplois, c'est le fait qu'une assistante de direction se doit d'être à l'écoute des besoins de celui qu'elle assiste. Aimant la nature humaine, et ayant le jugement en horreur, j'arrive souvent à anticiper ce qu'on attend de moi.
Motivée et disponible, les horaires changeantes et extensibles ne sont pas un problème pour moi. Lorsque je m'engage dans une relation, qu'elle soit professionnelle ou non, je ne faillis jamais à ma parole.
Connaissant l'importance que pourrait prendre les rapports internationaux dans l'avenir de votre entreprise, je suis douée en langue. Je parle couramment quatre langues (français, anglais, espagnol et allemand). J'ai aussi de bonnes bases en chinois et japonais. Les langues n'étant pas pour moi que des mots, je connais aussi relativement bien les cultures dans lesquelles elles sont pratiquées, et je saurai donc m'adapter à des interlocuteurs de différents horizons. La diversité est, pour moi, une occasion infinie d'apprendre, et donc d'être satisfaite, heureuse.
Si vous me choisissez, mon but serait de faire de vous un directeur heureux. Veuillez donc trouver en pièce jointe, en plus de la lettre de recommandation et de mon CV, deux photos de moi, prises par mon mari pour cette occasion.
Restant grande ouverte à tout besoin de précision sur mon parcours et mes motivations, veuillez agréer, Monsieur le Directeur, mes plus chaleureuses salutations.
22/11/2023
Ce que je préfère chez mon nouveau secrétaire? C'est très simple: son addiction au goût de ma chatte!
Je n'ai qu'à claquer des doigts et il vient à genoux, la langue tendue vers mon minou en attente de son shoot. Il ferme la porte à clé, le temps que je retire ma culotte. Je n'avais pas compris au début, mais la première fois, il m'a demandé s'il pouvait la prendre le temps de me faire jouir. Avec un grand étonnement, je l'ai vu fourrer le bout de tissu dans son caleçon.
Fabien a une langue divine. Il s'abreuve littéralement de mon jus qui coule de plus en plus, jour après jour, comme si mon propre corps répondait à son besoin, pour que lui-même réponde au mien avec toujours plus d'intensité. Et plus je coule, plus il devient accro... Il m'arrive même de le voir tout penaud, comme un junkie à qui on demande de patienter avant son fix.
J'aime le voir dans cet état. Au bout d'un moment, je lui souris et lui fais juste signe de venir.
Une fois qu'il a fermé la porte, il vient s'agenouiller et je lui donne ma culotte qu'il fourre dans son pantalon. Puis il plonge son visage entre mes cuisses plus ou moins ouvertes suivant le niveau de mon besoin. Il m'arrive même parfois de continuer de travailler pendant ce temps-là.
Mais la plupart du temps, j'ai les cuisses grandes ouvertes, un pied sur son dos et l'autre jambe sur l'accoudoir.
Il renifle, lèche, lappe, suce. Je le laisse d'abord prendre son shoot d'odeur et de goût. Ensuite, il s'occupe divinement de moi. Jamais les doigts, il n'en a pas besoin. Il est très attentif et attentionné, il n'y a pas une fois où il ne m'a pas fait monter aux rideaux, rien qu'avec sa langue. Il faut dire que plus il est doué, plus il reçoit de mon nectar.
Au bout d'un moment, lorsque je sens que je vais jouir, c'est systématique: il remue son bassin, comme s'il était en train de me baiser. Je suis sûr qu'il en rêve, mais ça n'arrivera pas. Jamais. Jamais sa queue ne sera capable de me donner autant de plaisir que sa langue... J'en suis persuadée. Et pourtant, je suis une grande adepte du "Cogne fort au fond!"
La première fois, ça m'a fait bizarre. Mais invariablement, il jouit avec moi. Sur ma culotte. Alors qu'il semble la fourrer n'importe comment dans son pantalon, il n'en est rien: son gland se retrouve toujours contre l'envers de l'entrejambe, là où il y a la petite doublure. Il n'éjacule pas beaucoup, heureusement. Mais la première fois, lorsqu'il m'a proposé de nettoyer, j'ai accepté. J'étais à deux doigts de l'engueuler, mais lorsque je l'ai vu sortir la culotte et se mettre à lécher son propre sperme, j'ai compris.
Voilà deux petits mois que nous faisons ça, au moins une par jour, parfois deux ou trois. Il me fait jouir et jouit dans ma culotte. Puis il la nettoie, et nous partageons son foutre dans un baiser, avant de reprendre le boulot.
-- Alors? Tu as apprécié mon cadeau? m'a demandé un jour ma directrice.
-- Comment ça? lui ai-je demandé.
-- Fabien! Il est doué, non? Je tiens à ce que toutes mes collaboratrices soient dans le meilleur état d'esprit possible lorsqu'elles sont au travail.
-- C'est sûr que là... avais-je dit en rougissant.
-- Avec des secrétaires comme lui, je suis certaine d'avoir un turn over à 0%!
-- Oui... Même malade, on viendrait au bureau...
-- Ne serait-ce que pour lui donner sa dose, hein?
Ma directrice m'a offert un secrétaire... et un jour, je la remercierai moi-même, cette cochonne!
23/11/2023
-- Tu les trouves comment, les deux-là?
-- Je peux être franc?
-- Toujours, bébé...
-- Bandantes! Qu'est-ce que tu fais?
-- Tiens, garde mon t-shirt... Tu vas nous prendre en photo... Et après, nous prendre tout court...
Anita est du genre imprévisible. Et qu'est-ce que j'aime ça! Tous les regards se tournent sur elle et ses petits seins, mais elle, elle fonce dans la foule et se dirige vers la blonde au bandeau et la brune au chignon, ses tétons qui narguent plus d'un mec qui prennent visiblement sur eux pour ne pas y passer les mains. Je la connais. Le premier qui oserait prendrait un plat du pied direct dans les couilles.
D'où je suis, je ne vois pas très bien, mais visiblement, le courant passe bien avec les deux nanas. Elle se tourne vers moi et me désigne du doigt, et je commence à bander dès que je les vois commencer à venir vers moi. Ce qu'elle leur a dit? Je ne le saurai sûrement jamais, à moins qu'elle décide de me le dire.
Dès qu'elles arrivent, elle nous présente:
-- Manu, je te présente Laetitia et Marielle. Les filles, c'est Manu. Je leur ai dit comment tu les trouvais, et elles sont ravies de se faire prendre... en photo...
Elle les tient toutes les deux par la taille. Elle me nargue derrière ses lunettes et je devine que la blonde, Laetitia, vérifie si l'effet était bel et bien présent. Je ne porte qu'un short et je ne peux pas cacher qu'en effet, celui-ci est légèrement étiré.
Je ricane et sors mon téléphone pour les prendre en photo.
-- Attends! me lance-t-elle. Vous avez pas chaud, les filles?
Elles ont picolé, ça se voit, et ricanent, un peu gênées, mais se lancent et retirent t-shirt et soutien-gorge. J'adore leurs seins tout ronds. Anita les matte avec envie. Bordel, elle me rend dingue, cette nana. Et cette fois ça y est, je bande comme un âne. Anita passe un bras sur les épaules de chacune et relève ses lunettes de soleil. Et je connais ce regard: elle veut me voir les baiser toutes les deux.
Je les prends plusieurs fois en photo, pour être sûr d'en avoir une bonne et à peine ai-je le temps de dire que c'est bon qu'elle lance les hostilités, descendant ses mains sur leurs fesses:
-- On voit qu'en effet vous êtes bandantes, mais je peux vous dire que vous me faites mouiller aussi... Qui de vous deux veut vérifier?
30/11/2023
Moi et Emilie, ma sœur jumelle, avons toujours eu les mêmes goûts. C'est assez banal, pour des jumelles, me direz-vous. Mais contrairement à certaines, nous avons fini par l'assumer pleinement.
Depuis toutes petites, nous jouions de notre ressemblance. D'abord avec nos parents, à qui il arrivait de nous confondre; à l'école, bien sûr, pour des interros; et même avec certains de nos copains, pour rigoler.
Lorsque je suis tombée éperdument amoureuse de Gilles, il ne m'a pas fallu longtemps pour comprendre que c'était aussi le cas d'Emilie. Je lui en ai un peu voulu, j'avoue. Mais cela faisait déjà un moment que nous fantasmions sur des sexes de cette taille. Et toutes nos expériences, nous les avons vécues pareillement. Alors une fois que je devais aller au ciné avec Gilles, c'est Emilie qui y est allée. Elle a commencé à le sucer sur les sièges, il a fini par la prendre dans les toilettes en l'appelant Louise. Tout comme moi, elle a avalé son sperme chaud avec délice.
Nous avons recommencé deux ou trois fois, et à la dernière, il s'est posé des questions. Mais dès la première fois, j'étais très excitée de les savoir ensemble. Lorsqu'Emilie m'a tout raconté dans les moindres détails, on a fini par se masturber ensemble, l'une près de l'autre, comme nous le faisions déjà depuis des années.
Alors à la quatrième occasion, nous lui avons révélé notre petit jeu. Nous en avions parlé avec Emilie. Elle avait fini par m'avouer ses sentiments envers lui, et je l'ai acceptée, comme je l'ai toujours fait et le ferai toujours. Car c'est à deux que nous sommes une.
Pour l'occasion, je m'étais piercé la langue. De cette manière, il pourrait toujours nous différencier.
Il a d'abord été un peu vexé, et j'ai trouvé ça mignon. Mais il a fini par avouer qu'il avait déjà fantasmé là-dessus... il ne reste qu'un homme, par moments!
Là où tout a basculé, c'est pendant que je le prenais dans mes bras, mes mains plongées dans son pantalon sur ses fesses musclées, et qu'il a tendu un bras vers Emilie pour l'accueillir dans notre étreinte. Puis, alors que nous nous serrions tous les trois et que je me demandais s'il allait accepter ma sœur aussi pleinement que moi, il a eu ces mots:
-- Après tout... en aimer une, c'est aimer les deux, non?
Gilles avait déjà tout compris de ce qui nous lie, Emilie et moi. Et aujourd'hui, même si notre entourage a encore du mal à le concevoir (sauf nos parents qui nous connaissent tellement bien qu'ils n'ont pas été étonnés de nous savoir amoureuses du même homme), nous vivons notre amour particulier sans réserve. Et c'est sans réserve qu'il nous aime toutes les deux... bien profondément.
14/12/2023
Elle était là, perdue au milieu de nulle part. Pauvre de moi... Voyageur égaré dans cette forêt millénaire, je suivais en tremblant de froid les traces d'une famille de sangliers datant de quelques jours, dans l'espoir de finir par croiser un chemin, lorsqu'elle est apparue.
Elle attirait les rayons du soleil sur elle, elle se déplaçait vers moi avec une sensualité qui m'a stoppé net. Ce n'est qu'ensuite que j'ai remarqué sa nudité... puis son regard. Ses yeux transperçaient mon âme, y lisait comme dans un livre, et au lieu de paniquer de cette intrusion si intime non consentie, la crainte d'être perdu s'est évanouie. Parce que je ne l'étais plus. Ma vie avait atteint son but.
Elle marchait vers moi sans faire crisser les feuilles mortes sous ses pieds, ses fines hanches sans formes se balançaient de droite et de gauche, comme pour s'arrondir, comme si elle savait ce qui me plaisait. Ses petits seins tendus semblaient me narguer de leur rondeur, m'appeler à eux sans me promettre de se donner. Ses cheveux étaient de la soie que les rayons de soleil faisaient briller de mille feux.
Avant même qu'elle ne se colle à moi, je n'avais plus froid, plus peur. Le soulagement de retrouver mon foyer n'aurait jamais égalé celui que je ressentais à ce moment. J'étais chez moi, à ma place.
La chaleur qu'elle dégageait était insoutenable, et je me défis de mes vêtements. Sans un mot, elle passa ses mains partout sur mon corps, en commençant par mes cheveux et mon visage. La crasse qui s'était incrustée sur moi après ma chute qui m'avait fait perdre et ma connaissance et mon orientation, s'effaçait à mesure qu'elle me caressait de ses mains douces et chaudes.
Elle continua dans mon cou, mes épaules, mes bras, mes mains, revint sur mon torse, avant de m'entourer de ses bras et caresser mon dos. Je pouvais sentir ses seins écrasés contre mon torse, tout comme elle pouvait sentir l'érection que faisait naître ce contact voluptueux.
Elle glissa contre mon corps, pour venir poser sa joue contre mon pubis. Son souffle suffit à me donner la sensation de jouir, alors que ses mains glissaient sur mes fesses, puis mes cuisses.
J'étais neuf de la tête aux pieds, et elle termina par mon pieu qui me semblait plus épais qu'à l'accoutumée. Elle caressa mes boules et ma verge du bout des doigts, sans me quitter des yeux. Puis elle les baissa sur mon sexe, posa délicatement le bout de ses lèvres sur le flanc de mon érection... "Tu es à moi," murmura-t-elle. Pour moi, cela me paraissait être un chant. Sa voix était pure comme le cristal, si bien qu'à chaque fois qu'elle prononçait un mot, celui-ci se mettait à chanter en son honneur.
Sa langue s'enroula autour de ma turgescence. Je n'avais jamais vu langue aussi longue. Elle était rose, légèrement foncé, sa pointe aigue faisait comme un serpent qui rampait sur ma peau. Et sa douceur me faisait tutoyer les cieux.
Elle la fit coulisser ainsi jusqu'à mon gland gorgé de sang, et dans un geste vif, le goba et se mit à le suçoter puissamment.
Je fus aussitôt pris de violents spasmes. Je voulus m'accrocher à ses cheveux, à son visage, mais elle était plus vive que moi. Elle ne sembla même pas se presser pour attraper mes mains dans les siennes. Nos doigts se mêlèrent, tout comme nos âmes, alors que je déversais ma semence dans sa bouche.
Elle me fixait alors que je jouissais sans pouvoir la quitter des yeux. Il me semble même que cligner des yeux m'arait rendu si malheureux que j'en étais incapable.
Elle resta là, serrant mes doigts dans les siens, aspirant jusqu'à la dernière goutte de mon sperme. Puis elle ouvrit doucement la bouche. Je pouvais voir mon jus baigner sa langue si parfaite. Elle ferma les yeux et l'avala d'un trait.
Lorsqu'elle les rouvrit, elle me sourit et se releva. Elle lâcha une de mes mains pour la poser sur ma joue et me susurra, bien que je ne suis pas sûr d'avoir vu ses lèvres bouger:
-- Je pensais être la dernière fée de ce monde. Viens, mon amour...
Elle s'écarta de moi et ce fut un déchirement. Heureusement, elle tenait toujours ma main. Les rayons du soleil continuaient de la chauffer mais je remarquai une chose: ils m'accompagnaient aussi à mon tour.
-- Allons repeupler cette forêt, me dit-elle en me tirant par la main, un regard aussi puissant que luxurieux.
26/12/2023
Elle avait 6 ans, quand la petite Delphine m'avait surpris pendant ma distribution de cadeaux. Depuis, je m'arrête tous les ans la voir. J'adorais entendre ses histoires de petite fille. Elle me faisait rire aux éclats.
J'ai suivi ses expériences adolescentes, ses premières peines de cœur... Elle me disait tout sans phare.
Puis elle a grandit. Les premières fois, elle m'attendait toujours avec un verre de lait que je buvais en l'écoutant...
Aujourd'hui, c'est elle qui réclame son lait. Delphine est une superbe salope. Gourmande, docile, mais sachant aussi prendre des initiatives.
Et je ne suis pas peu fier, lorsqu'elle me dit que c'est beaucoup grâce à moi si elle est devenue la femme qu'elle est aujourd'hui. Alors elle me remercie à sa manière... Année après année...
Joyeux Noël! J'espère que mes lutins ont bien bossé cette année... Parce que Delphine, elle, s'est surpassée!