Je vous livre ici une sélection de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2023...

 

09/09/2023

 

"J'ai toujours aimé vider les couilles des hommes"... Lorsque j'ai dit cette phrase à Bastien après la première fois où je l'ai sucé, environ dix minutes après notre premier baiser dans le fond de l'amphi, il pensait que je jouais les chaudasses. Il est vrai que je savais qu'il aimait ça. Son plus grand fantasme était de baiser sur une scène pendant un concert de rock, devant des centaines voire des milliers de personnes! Rapidement, j'ai donc rajouté: "Ta belle queue, je la boufferais n'importe où n'importe quand." Là, il m'a tout de suite crue! Il faut dire qu'il venait de jouir dans ma bouche, dans le dos de quelques dizaines de personnes et en faisant semblant de suivre le cours....
Mais pour qu'il comprenne bien à quel point j'étais sérieuse, j'ai fini par débarquer un jour dans sa chambre, alors que je savais qu'il y avait ses deux meilleurs potes avec lui. Å peine a-t-il refermé la porte que j'ai baissé son short en lui disant que j'avais envie de son sperme dans ma gorge. Il a rougi, a même un peu paniqué... mais il m'a laissé faire. Je ne portais qu'une petite robe d'été qui a vite suivi ses fringues, devant les yeux ahuris de Stéphane et Antoine.
Je me suis mise à le sucer comme jamais. Son gland obstruait ma gorge, mes dents se plantaient sur sa garde, ma longue langue lui caressait les bourses pleines.
D'un simple coup d'oeil, j'ai rapidement remarqué que malgré leurs rires gênés, les deux autres bandaient comme des ânes aussi. D'un petit mouvement de l'index, tout en avançant mon visage en feu vers le bas-ventre de celui que je devais bien avouer commencer à aimer, je leur ai fait comprendre d'approcher.
Leur hésitation n'a pas duré une seconde. Bastien, lui, a commencé à douter, alors tout en malaxant ses couilles pleines du jus que j'aime tant, je lui ai souris, malgré les larmes et la bave: "J'ai toujours adoré vider les couilles des hommes" lui ai-je rappelé, avant d'ajouter aux deux autres: "Y a que mon amoureux qui a le droit de me toucher, par contre, les gars."
J'ai alors repris son gland en bouche et l'ai regardé, pour voir si cette condition lui allait. Il souriait et a posé une main sur ma tête, m'incitant ainsi à l'avaler entièrement. Pendant ce temps, les deux autres sortaient leurs queues et se branlaient. Je leur ai donné un sacré spectacle, et ils se sont vidés sur moi presque en même temps, pendant que j'étais assise sur le visage de Bastien qui me faisait jouir de sa langue si surprenante... Parce que oui, de son côté, il a un petit fétichisme pour mon gros clitoris et le goût épicé de ma cyprine! Nous étions faits pour nous entendre...

 

 

11/09/2023

 

Au début, c'était un simple jeu sur les réseaux sociaux. J'exhibais mon corps pour casser un peu la routine du quotidien... Me sentir belle, désirée, bien sûr. Sentir l'excitation monter en moi au moment des commentaires. Il m'arrivait de ruisseler et de me faire jouir en les lisant.
Puis j'en ai voulu plus. Ce qui me manquait le plus, c'était le regard des hommes sur mon corps. C'était hyper excitant, mais le désir de sentir cela m'a poussée à sortir de chez moi. Laisser exprès deviner mes tétons sous un haut à la limite du transparent, sortir sans culotte, presque toujours... À la plage, je portais un haut de bikini un peu trop grand de façon à ce que régulièrement, dans l'eau, le tissu dévoile un sein. Le bas, lui, était toujours très serré, pour que l'on devine ma fente. J'adorais tous ces regards un peu gênés d'aimer ce qu'ils voyaient! Ma plus grande surprise est d'avoir surpris des femmes poser ce genre de regard sur moi... Et d'y repenser ensuite en me caressant jusqu'à exploser!
Aujourd'hui, j'ose plus. Alors lorsque ce monsieur, assis en face de moi, n'arrivait plus à défaire son regard de mon entre-jambe, lorsqu'il a remarqué que je ne portais rien sous ma robe, je lui ai demandé: "vous voulez prendre une photo?"
Il m'arrive encore de mouiller d'un coup, sans que ça prévienne, en me disant qu'il se branle régulièrement sur cette photo-là...

 

 

14/09/2023

 

Depuis que je suis arrivée dans mon nouvel appartement, j'avais une impression de présence, une sensation d'être épiée qui me troublait, m'énervait, et m'excitait à la fois. J'ai rapidement compris pourquoi: le voisin de l'immeuble d'en face avait une longue vue braquée sur la fenêtre de mon salon, où je me caresse souvent, le soir. Pendant plusieurs semaines, j'ai vécu presque constamment les volets fermés, bien consciente qu'une fois la nuit tombée, il pouvait facilement me deviner à travers les fins rideaux.
Puis j'en ai eu marre. Ce n'est pas ce vieux pervers qui va me dicter ma vie! Alors j'ai attendu qu'il rentre chez lui. La longue vue était braquée sur un autre appartement, mais lorsque j'ai ouvert la fenêtre, nue comme un ver, il m'a tout de suite repérée. En pleine journée, j'ai pu constater qu'il n'était pas aussi vieux que je l'avais imaginé. La quarantaine, peut-être.
J'ai poussé le fauteuil sur le petit balcon et m'y suis assise. Il veut du spectacle, il va en avoir! J'ai peur, mais mes tétons pointent et je suis trempée. J'écarte les jambes, timidement. Tout le quartier va en profiter, cette fois, tu ne seras pas le seul. Et bordel, j'en mouille encore plus, mon clitoris me fait mal tellement il se tend. J'ai un premier orgasme rien qu'en le branlant un peu, mais maintenant, c'est parti. Tu veux de la salope, tu vas en avoir! Je pose une jambe sur la rambarde et expose mon minou à tous ceux et celles qui sont à leur fenêtre. Il dégouline comme rarement, et je sais d'avance ce que ça veut dire: attention en-dessous, il va pleuvoir, les amis!

 

 

16/09/2023

 

Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Les femmes ont un truc, ici, de vraies chaudasses. Alors que ma femme s'évertue à faire du gringue à son dentiste qui semble avoir quelques remords qui m'échappent à la tringler à l'abri des regards indiscrets (particulièrement celui de sa femme), il n'a pas fallu 5 minutes à la secrétaire pour me montrer la réserve.
Et de la réserve, elle en a! Je me doute que c'est pas la première fois qu'elle fait ça, car elle regarde régulièrement l'horloge. Elle connaît le temps que met son patron selon les soins qu'il a à faire.
Ni une ni deux, après une pipe en règle, elle me présente sa croupe. Pas de temps à perdre, hein? Alors après avoir habillé mon chibre de son petit capuchon protecteur, on y va pour le rodéo.
Je vous ai dit que les femmes étaient chaudes ici, non? Elle a insisté pour que je gicle sur ses seins. Elle s'étalait mon foutre sur sa poitrine avant de retourner, comme si de rien n'était, à l'accueil.
Lorsque ma femme est sortie de là, elle m'a tout de suite grillé. Il faut dire qu'on se connaît bien! Elle est parfois mauvaise joueuse... ou plutôt mauvaise perdante:
-- Alors, toi, pendant que je me galère avec mon dentiste, tu te tapes sa femme comme ça, en clin d’œil?
-- Il m'a bien fallu cinq minutes, quand même!
Je sens qu'il va falloir la baiser avant le retour à la maison, si je veux qu'elle n'y pense pas trop. J'adore énerver ma femme... Parce que je sais exactement ce qui la calme!

 

 

18/09/2023

 

J'ai toujours adoré en secret qu'on me mate. Je n'aime pas quand ça devient trop insistant, trop lourd. Mais des regards furtifs qui s'illuminent en se posant sur moi, c'est quelque chose qui m'a toujours énormément excitée, depuis le collège, je dirais.
Aujourd'hui, il y a un endroit où j'aime que les regards soient plus insistant: la salle de sport. J'ai toujours un sourire agréable pour l'homme ou la femme qui me regarde bouger. En plus de mon sport, cela me fait mouiller. Et avec mon nouveau legging, ça ne passe pas inaperçu, et parfois, je passe autant de temps dans la salle de sport que dans les vestiaires!
Et le prof ne peut rien me reprocher quant à mon attitude... Il était le premier à m'y accompagner!

 

 

19/09/2023

 

C'est ce jour-là que je suis née. Sexuellement.
J'étais déjà mariée et j'avais un enfant. Le sexe, je connaissais. Je croyais connaître. Depuis le lycée, je ne compte plus vraiment le nombre d'amants que j'ai eus avant mon mari. Avant lui, j'étais ce qu'on appelait une fille facile. Et pourtant... Je n'étais qu'une préado en matière de sexe! Celle qui m'a fait naître, c'est mon amie Lyn, une magnifique femme d'origine thaïlandaise. Même moi, hétéro jusqu'au bout des ongles, je frémissais devant sa beauté. Lorsqu'elle est venue habiter près de chez nous, autant vous dire que les barbecue du quartier qui battait de l'aile depuis quelques temps ont repris du service! Tout le monde voulait inviter Lyn... et son mari, accessoirement.
Nous sommes vite devenues très amies, et Lyn s'est avérée être une femme... comment dire? Très libérée, bien plus que je ne l'avais jamais été. Même lorsque je dormais chez des garçons ou des hommes que je ne connaissais que depuis quelques heures. Nous avons rapidement instauré des moments où nous pouvions parler toutes les deux tranquillement sans nos hommes, même si je me doute qu'elle racontait quasiment tout au sien. Ils se permettent des "infractions", comme ils appellent ça. Je trouve mignon. Mais la base, c'est de tout se dire, bien entendu.
C'est lors d'une de ces discussions, qui, depuis quelques semaines, portaient très souvent sur le sexe, qu'elle m'a dit ça: "Pour moi, jamais tu ne peux être libérée sexuellement, si tu n'es pas autosuffisante."
Je n'ai pas compris, sur le coup. Puis nous avons donc parlé de masturbation. Cela va vous étonner, mais de toute ma vie, je ne m'étais jamais touchée comme ça. Pour moi, c'était quelque chose de triste, quelque chose que l'on faisait parce qu'on n'avait rien d'autre sous la main, qu'on était désespérée! Elle n'en revenait pas! Moi qui, avant mon mariage, n'était pas loin d'être une salope, je ne m'étais jamais branlée!
Elle s'est alors déshabillée, en me disant: "Tu ne me touches pas. Tu ne fais que me regarder. Si l'excitation monte, tu te débrouilles toute seule."
J'ai d'abord ri! Excitée par une femme? Il y avait vraiment peu de chances! Mais je vous l'ai dit: j'ai toujours été troublée par sa beauté sans le vouloir. Et lorsqu'elle s'est retrouvée nue sur mon lit, j'ai pris chaud. Comme rarement. Elle a commencé à se caresser doucement, tout en me fixant. Et j'ai eu de plus en plus chaud.
Il ne m'a pas fallu bien longtemps pour sentir l'envie de poser les mains sur elle me démanger. Mais encore plus, je voulais sentir les siennes sur moi: je voulais qu'elle me fasse jouir.
Je l'ai vue commencer à ruisseler doucement sur mes draps. C'en était bien plus que ce que je pouvais supporter. J'ai eu un mouvement vers elle, mais elle m'a tout de suite stoppée: "Tu te débrouilles toute seule... Ou tu connaîtras la frustration, c'est à toi de choisir."
Nous avons ri nerveusement. Surtout moi. Alors j'ai fait ce qu'elle attendait de moi: j'ai plongé ma main dans mon shorty. C'était presque aussi bon que si ça avait été elle qui l'avait fait. C'était en tout cas aussi bon qu'une main virile se glissant sous ma jupe au comptoir d'un bar, discrètement, pour découvrir que je ne porte rien en-dessous.
Pour la première fois de ma vie, je me suis masturbée, en compagnie de ma meilleure amie. Nous avons gémi ensemble, nous nous sommes regardées prendre du plaisir. J'ai senti mes propres doigts se planter en moi et découvrir la texture moelleuse de mon vagin, l'humidité abondante et la chaleur de ma cyprine. C'était... Une expérience des plus enthousiasmantes! Troublante... Excitante, d'autant plus que je le faisais avec la femme qui faisait fantasmer tout le quartier! Nous avons joui presque ensemble, elle un peu après moi. Elle est si belle quand elle joui...
C'est ce jour-là que je suis née sexuellement. C'est en me masturbant, en découvrant vraiment mon corps, que j'ai compris qu'une femme n'est pas qu'un trou à prendre.
Lyn m'a accouchée dans des gémissements de plaisir, alors que j'avais bientôt 40 ans. Et depuis, je me masturbe presque une fois par jour. Mon mari et moi ne faisons plus l'amour de la même manière, même si les positions restent les mêmes. Et Lyn est mon amante secrète. Enfin... secrète pour le reste du monde. Mon mari n'a pas été dupe bien longtemps, et lorsque je lui ai raconté ce que nous avions fait et le bien que cela m'avait fait, il m'a simplement répondu: "Faites ce que vous avez à faire. Tu as besoin de ces moments avec elle, et je ne m'immiscerait pas là-dedans. Parce que la femme que j'ai aujourd'hui est encore plus parfaite que la femme parfaite que j'ai épousée."
Je suis née bébé, ai grandi fille, ado, et jeune adulte un peu salope sur les bords, puis je suis devenue épouse, mère... Et enfin FEMME.

 

 

20/09/2023

 

"Recherche petite salope à genoux pour satisfaire quotidiennement le sadisme de Monsieur et Madame. Non sérieuse s'abstenir."
Cette annonce plantée simplement là, sur un site de rencontre Bdsm, avec, en accompagnement, une seule photo d'un bandeau de dentelles, m'a autant autant surprise qu'intéressée. Je ne savais pas à qui j'avais à faire. Les messages échangés par internet étaient courts et froids. Me connaissant, c'est peut-être le goût du risque qui m'a fait me présenter dans cette chambre d'hôtel à 0h37, comme demandé.
La porte s'est ouverte sur une femme ravissante, aux petits seins cachés dans une robe mi-transparente. Elle était nue en-dessous. Elle a refermé derrière moi puis m'a déshabillée, sans un mot. J'avais beau avoir sur mon profil des photos de mon corps entier, elle semblait vérifier que les photos correspondaient bien à la vérité, allant jusqu'à écarter mes fesses pour voir mon petit trou et le renifler. Je n'avais fait qu'un pas dans cette chambre et j'étais déjà trempée.
Puis elle a appelé Monsieur, en disant que c'était bon. Il est arrivé habillé d'u simple jean. Il m'a passé le bandeau de la photo sur les yeux puis a déclaré: "Cette nuit sera un test. S'il est concluant, je giclerai sur ton visage et nous t'installerons chez nous dès ce soir."
J'ai eu une seconde d'hésitation. La main de Madame m'a rappelée à l'ordre en claquant ma joue. "On dit 'oui Monsieur'" et j'ai simplement répété cette phrase. Pendant que Monsieur commençait à me peloter, Madame me griffait doucement, claquait mes fesses, mes seins ou ma vulve. Celle-ci était déjà dégoulinante.
Il est des personnes, des situations, des personnalités qui sont faites pour s'entendre, qui se complètent et s'enrichissent ensemble.
Monsieur, Madame et moi, ça a été une évidence dès les premières secondes. Et sous mon bandeau, éreintée mais heureuse, j'ai pleuré de joie en recevant le foutre de Monsieur pour la première fois.
Nous sommes partis aussitôt, sans que je puisse me rhabiller, son sperme coulant encore sur mon menton. C'était le plus beau moment de ma vie, particulièrement lorsque le portier m'a tenu la porte, bouche bée!

 

 

21/09/2023

 

Émilie est de ces femmes qui ont toujours su ce qu'elles voulaient. Déjà jeune femme, elle était très sélective dans le choix de ses petits amis: grands, forts, intelligents... et ambitieux. Elle a toujours refusé d'être comme ses parents, à faire attention aux fins de mois et à vivre dans un petit pavillon de banlieue sans prétention. Non, Émilie aime le luxe, l'outrance, la vie facile, le champagne et les temps libres entre copines. Et le sexe est autant un plaisir qu'un moyen pour maintenir sa position sociale acquise auprès de Luc, son mari qu'elle a poussé jusqu'à la direction générale de son entreprise.
Et elle connaissait la réputation sulfureuse du principal actionnaire. Un fils à papa qui avait hérité des parts paternelles après une jeunesse de débauche. Alors lorsque son mari lui a dit qu'il avait de grosses différences de point de vue avec lui et qu'il sentait qu'il allait sauter, le parachute doré promis dans une telle situation ne suffisait pas à Émilie.
-- Je vais aller parler avec lui, dit-elle à son mari pendant une pipe langoureuse pour qu'il n'oppose aucune résistance. La dernière fois, au gala, nous nous sommes bien entendus, il me semble...
Une fois dans le bureau, tout se passa comme prévu. Elle avait mis des bas, une jupe courte, un chemisier transparent sous une veste qu'elle retira une fois dans son bureau. Ses petits seins pointaient au travers et dès cet instant, elle sut que c'était gagné.
Monsieur de la Mansadière était un jeune homme d'une bonne trentaine d'années, sûr de lui et bien bâti. Alors lorsqu'il s'approcha d'elle un peu trop, elle le laissa faire, ne montrant aucune retenue. Son regard n'avait de cesse de descendre sur son chemisier, avant qu'il ne la toise:
-- Votre mari est une épine dans mon pied. Il est de la vieille école et commence à être dépassé par le monde dans lequel on vit. Pour quelle raison le garderais-je?
Il la déshabilla du regard et Émilie ne répondit rien. Elle savait qu'il n'avait pas tord. Mais si son mari perdait ce poste, c'était la retraite assurée. Elle l'aimait énormément, mais retraité à 54 ans, alors qu'elle n'en avait que 48, c'était inenvisageable. Alors elle le laissa simplement un instant imaginer tout ce qu'il pourrait faire d'elle dans cette situation. Et ce qui devait arriver arriva:
-- Déshabillez-vous, lui dit-il.
Sans surprise sur ses traits, Émilie s'exécuta, avant d'aller s'adosser près de la fenêtre où les rideaux étaient heureusement fermés. Elle garda uniquement ses bas et le regarda, le pantalon déjà déformé par une érection prometteuse. Il paraissait étonné, agréablement surpris, cela dit - mais peut-être un peu déçu aussi? -, de la voir opérer avec une telle sensualité et un naturel déconcertant. Il s'attendait visiblement à ce qu'elle proteste. Alors avec un petit sourire en coin, elle le scruta, et sentit que le vent tournait pour elle:
-- Hé bien quoi? Vous pensiez que je ne savais pas où je mettais les pieds? Votre réputation n'est plus à refaire, et je ne suis pas une jeune effarouchée. Je vous promets deux choses: mon mari assurera, je m'en occupe personnellement. Comment croyez-vous qu'il soit arrivé là où il en est? Et deuxièmement, je vous promets que ce corps n'aura plus aucun secret pour vous. Maintenant approchez, il y a un secret que j'aimerais déboutonner...

 

 

25/09/2023

 

Je savais que j'avais bien fait d'installer cette caméra. Accueillir des étrangers chez soi, en WWOOFing, ça permet des rencontres aussi nombreuses que surprenantes. Mais un petit voleur m'avait poussé à l'installer. Puis j'avais fini par la couper. Après tout, ce n'était qu'un parmi beaucoup!
Mais lorsque Lily est arrivée d'Australie, je n'ai pas pu m'empêcher. Oh! Ce n'était pas pour la surveiller, au cas où elle me volerait quelque chose et viendrait le cacher dans sa chambre. Non, c'était à cause de ses tétons qui pointaient à travers son petit haut, sa jupe tellement mini qu'elle laissait entrevoir le rouge de son string, son regard torride qu'elle a posé sur mon entre-jambe lorsque je lui ai dit que mon colocataire (et collaborateur à la ferme) était parti pour le week-end. J'ai tout de suite cru que j'allais la tringler dans l'heure... Mais malgré ses regards furtifs, ses déhanchés qui font naître chez moi des images à la fois malsaines et pleines de tendresse, elle n'a pas eu un seul geste vers moi. Et il va de soi que c'est quelque chose que je respecte.
Mais ça m'excite énormément. Après tout, je ne suis qu'un homme! Alors sous la douche, je me suis soulagé. Sans fermer la porte à clé, me disant que je pouvais lui laisser une possibilité d'aller jusqu'au bout des envies qui semblaient lui traverser l'esprit.
Elle l'a ouverte tout doucement, la porte. J'ai fait comme si de rien n'était, mais autant vous dire que ma queue déjà bandée est devenue aussi dure que le marbre. Je la devinais me mater depuis le couloir et me suis branlé pour elle. Dès que j'ai joui, elle a refermé la porte aussi discrètement qu'elle l'avait ouverte puis s'en est allée.
Jusqu'à ce qu'elle aille se coucher, elle a continué avec son attitude, ses regards. À peine enfermée dans sa chambre, j'ai rejoins la mienne et ai suivi sa soirée en solitaire. Quelle ne fut pas ma surprise en la regardant à mon tour se masturber, les yeux rivés sur son téléphone d'où provenaient des bruits d'eau qui coule, puis des gémissements d'homme qui se caresse...
La seule question que je me pose en me couchant, cette nuit, c'est: fermera-t-elle la porte à clé, demain matin, lorsqu'elle prendra sa douche?

 

 

25/09/2023

 

Petite dédicace à @Julie de la Morinedont les petits récits sont toujours un plaisir!

-- Bonjour monsieur! Je suis Mélodie. Je prends les inscriptions pour le tournoi. Vous comptez participer en solo ou en équipe?
-- Oh non! Je suis juste venu regarder... Et j'ai bien fait! Mais dites-moi... Pourquoi êtes-vous toute nue? Ne croyez pas que ça me déplaise, au contraire...
-- La raison en est simple, monsieur. L'an dernier, les inscriptions avaient été faibles. Alors cette année, je suis le lot pour le vainqueur solo ainsi que pour l'équipe gagnante. Ma nudité, c'est pour motiver les participants.
-- Quelle belle idée! Et vous êtes vraiment ravissante!
-- Je le vois à votre bosse, oui, merci! Vous êtes sûr, pour l'inscription? Chaque inscription donne le droit à tâter le lot tant qu'on est encore dans le tournoi.
-- Oh! C'est donc pour ça que vous reluisez autant?
-- Oui, nous avons déjà doublé le nombre d'inscriptions par rapport à l'année dernière. Quel est votre nom?
-- Robert Dufrêne.
-- Très bien, mon.... Oh! Ce trou-là n'avait pas encore été palpé. J'espère que vous êtes encore plus motivé, maintenant!
-- Plus que jamais! Ces petits jeunes n'ont qu'à bien se tenir!
-- Si vous êtes aussi doué qu'avec vos doigts, nous nous retrouverons en finale! Je dois soulager les finalistes pour qu'ils puissent se concentrer sur leur ultime match... Bonne chance, monsieur!

 

 

26/09/2023

 

Je n'ai jamais eu autant honte de toute ma vie. Je l'ai senti craquer sous l'eau et je n'avais pas d'autre choix que de sortir... devant tout le monde! Le chemin jusqu'à ma serviette a été le plus long trajet que je n'ai jamais parcouru.
Si je cachais mon sexe, mes fesses étaient à l'air libre. Si je tirais sur mon maillot, ça ne cachait pas grand-chose, et mes doigts glissaient dessus. Il remontait en claquant et mes fesses et mon minou étaient visibles!
Des centaines de paires d'yeux étaient rivées sur moi, sur ma chatte. Je voyais les gens prendre des photos, sans aucune pitié. Je croyais que j'allais pleurer. J'ai vite récupéré ma serviette, l'ai passée autour de mes hanches et suis retournée au vestiaire changer de maillot.
Mais une fois arrivée là, je ne pouvais me mentir plus longtemps: j'étais excitée! Mouillée, certes, mais surtout... Mes tétons étaient durs comme la pierre, mon souffle court. Et lorsque, presque par réflexe, ma main s'est posée sur ma toison, j'ai failli jouir aussitôt.
J'ai mordu dans ma serviette et ai branlé mon clitoris. Il n'a fallu que quelques secondes pour que j'explose. Et alors que j'étais encore haletante, Martine, mon entraineuse, frappait à la porte:
-- Stéphanie! Ça va? Je comprendrais si tu ne revenais pas, mais on a vraiment besoin de toi...
-- Je... Je vais revenir, Martine. Juste le temps de m'en remettre, un peu.
-- Très bien! Mais tiens, je pense que ça pourra te servir!
Par-dessous la porte, elle a glissé un maillot. J'avais oublié d'en prendre un pour le changer!
Je n'ai jamais eu autant honte de ma vie que ce jour-là... et j'ai adoré ça!

 

 

28/09/2023

 

-- Je vais dans celle d'à côté.
Voilà ce qu'elle m'a dit, lorsque nous sommes sortis de la piscine après le cours. Sur le coup, je n'ai pas fait attention et ai commencé à me déshabiller pour me sécher. Les vestiaires d'une piscine, c'est toujours bruyant, mais lorsque je l'ai entendue se cogner contre la fine cloison qui séparait nos cabines, je lui ai demandé si ça allait. Le ton de sa voix m'a intrigué. J'ai terminé de me sécher, mais mon imagination avait fait son œuvre dans ma tête. Et même dans mon corps. Je l'imaginais se caresser de l'autre côté et il fallait que j'en aie le cœur net.
Caroline est une simple connaissance. Nous sommes inscrits dans le même cours de natation. Il nous arrive de discuter un peu, même de plaisanter pendant les cours, mais il n'y a jamais rien de tendancieux entre nous. D'ailleurs, son homme la récupère après chaque cours. Alors pourquoi aurait-elle fait exprès de se mettre dans la cabine collée à la mienne pour se caresser?
Pourtant, le sexe déjà durci, je n'ai pas pu faire autrement que de m'accroupir pour regarder par en dessous. J'ai d'abord vu ses pieds et ai compris qu'elle était debout face à ma cabine. J'ai donc hésité... Elle pourrait me surprendre et porter plainte. Mais la curiosité, l'envie d'avoir raison était plus forte que moi.
Puis je l'ai vue. Nue, ses petits seins dardés, appuyée contre la cloison opposée, comme pour s'assurer que je puisse la voir. Sa main branlait son clito avec énergie et elle se regardait dans le miroir qu'il y a dans chaque cabine. Non! Elle fermait les yeux. Le faisait-elle pour être sûre de ne pas me surprendre en train de la regarder? Quoi qu'il en soit, je ne pouvais pas me retenir.
Je l'ai regardée jouir en m'astiquant. Elle n'a ouvert les yeux à aucun moment. Qu'elle était belle à se mordre la lèvre pour ne pas gémir trop fort! Mais moi, je pouvais vaguement les entendre, tout comme les légers clapotement de ses lèvres humides.
Le silence qui s'était installé de mon côté était-il un signe, pour elle, que je la regardais? Peut-être est-ce pour ça qu'elle a écarté encore ses cuisses, m'offrant une vue imprenable sur son intimité reluisante. Elle restait uniquement sur son clitoris, petit comme ses seins. Puis elle a été prise de petits tremblements silencieux.
Je me suis alors relevé et me suis assis sur le banc, dos au miroir, pour me soulager à mon tour. Je pouvais l'entendre se rhabiller et étais même persuadé qu'elle était déjà prête lorsque, me forçant à ne lâcher aucun son, je me suis répandu sur le sol.
Rapidement, j'ai fouillé dans mon sac pour attraper un mouchoir et nettoyer les traces de mon délit. Je n'ai quitté le sol des yeux que quelques secondes, et peut-être que je me trompe, mais lorsque je me suis retourné pour ramasser mon sperme dans le mouchoir, j'étais persuadé qu'il y en avait moins!
Je ne pourrai sûrement jamais en être sûr, mais une chose m'a mis la puce à l'oreille: ce jour-là et les suivants, je n'ai pas vu son mec venir la chercher...

 

 

02/10/2023

 

"Si vous souhaitez retransmettre toutes vos sensations dans votre tableau, vous devez observer votre sujet, le sentir, le toucher... le connaître sur le bout des doigts..."
Je ne m'attendais pas à ce que ce principe soit mis en œuvre au cours de model nude!
Je me suis mise la dernière, d'abord par timidité. Toucher un inconnu? Scruter son membre dur à quelques centimètres de mon visage? Le prendre dans mes mains et le palper? Et ce devant tout le monde?
Mais force est de constater qu'il a été choisi avec finesse. Plusieurs filles s'y sont données à cœur joie, et même les gars ont joué avec sérieux, eux.
Et maintenant, il est là, devant moi. C'est un membre d'une taille que je n'ai jamais vue. Sous mes doigts, je peux sentir la pulsation de son sang dans ses veines saillantes.
Je suis trempée, mais je dois garder mon calme. La plupart des autres ont déjà commencé à dessiner. Le but de l'exercice étant de dessiner de mémoire. Je passe mon index sur son gland et étale une goutte de précum. Il est reluisant, beau, viril. Ma culotte est déjà en train d'éponger ma cyprine. J'approche mon visage et ferme les yeux pour humer son odeur. Lorsque je les rouvre, je les relève sur lui. Il me sourit, visiblement un peu gêné.
Je passe à ses bourses, lourdes et pendantes. Je les caresse un peu, puis, de l'index, je suis la légère courbe de sa verge par le dessous. Je le sens se crisper et ne peut m'empêcher de regarder ça de près, de très près.
Mon visage sur le côté de son gland, j'observe son foutre gicler de sa magnifique queue d'une manière dont je ne l'ai jamais encore vue. La fente de son méat qui s'ouvre juste avant de voir le sperme en sortir, ses veines prêtes à exploser, tous ses muscles tendus pour l'expulsion. Ses bourses se sont rétracté. Son sperme épais a taché mon pantalon, sur mes cuisses. Ainsi, je pourrai avoir ce goût-là aussi. Je reste près de lui, les yeux braqués sur son membre qui se ramollit tout doucement.
Un filet de sperme, plus clair et plus liquide, coule de son gland légèrement rabougri et termine sa course sur ma cuisse.
Je ne vois même pas la prof et les élèves nous regarder. Je suis avec mon modèle, il n'y a que nous deux et mon but de dessiner cet instant... Je passe un doigt sur ma cuisse et goûte son nectar en le regardant, cette fois.
-- Merci, lui dis-je simplement avant de le laisser aller et commencer à travailler.
À la fin du cours, après avoir remis nos croquis à la prof, celle-ci m'a félicité pour cette implication dans le moment d'observation. Ont-ils remarqué que je me frottais à mon siège en dessinant? Ont-ils deviné que lorsque je fermais pour me remémorer mon observation, je l'imaginais en fait me cracher au visage, dans ma bouche, qu'il m'en mettait partout?
Et à la sortie, il était là, visiblement remis de ses émotions, lui qui ne s'était sûrement pas attendu à jouir devant tout le monde.
-- Serais-tu d'accord de me montrer le résultat, quand tu le récupéreras?
-- Je te l'offrirai, même, si tu veux... à une condition!
-- Laquelle? me demande-t-il aussi intrigué qu'amusé.
-- Je dois absolument jouir à mon tour...

 

 

11/10/2023

 

J'étais une vilaine fille... Très vilaine! Voleuse, volatile, volubile... J'ouvrais aussi facilement ma grande gueule que mes cuisses! Ne vous méprenez pas, je n'ai jamais fait commerce de mon corps... C'est d'ailleurs sûrement pour ça que je me suis mise à voler!
Mes parents m'ont d'abord expulsée de la maison... à plusieurs reprises, d'ailleurs. Mais invariablement, c'était la même chose: la maréchaussée me ramenait à eux, avec une amende en prime.
Alors, ils ont pris cette décision: m'amener au couvent. J'entends encore mon père me dire:
-- Les sœurs de l'Ordre de Saint-Pierre sauront te remettre dans le droit chemin! Et crois-moi! À ce qu'on dit, elles ne font pas dans la dentelle!
Comment pouvaient-ils savoir? Ce couvent particulièrement est totalement hermétique à l'extérieur. On coupe tout lien avec notre famille et nos amis. Je ne peux pas dire que ma famille me manque, et il n'était pas dans leur intention de venir me visiter de toute façon. Pour ce qui est des amis, hé bien... Disons que s'ils n'ont pas accès à mon entre-jambe, je suis sûrement un peu moins leur amie!
Ils ne pouvaient donc pas savoir que Saint-Pierre est le Saint Patron des naturistes, que les nonnes se promènent toutes nues toute l'année, ne portant que la cornette, du moins pour les "initiées", ce que je ne suis pas encore.
Mon père avait raison sur un point: elles ne font pas dans la dentelle. En plus des prières, je dois faire beaucoup de taches ménagères, ainsi que du jardinage. Je n'ai que 20 minutes par jour pour pouvoir me promener et suis battue à la cravache à la moindre erreur. Sœur Marie-Lola m'accompagne en permanence et s'assure de ma dévotion pour l'Ordre et le Seigneur. Elle a bien choisi son nom lorsqu'on sait que Lola vient de Dolores... douleur, peine, en espagnol!
Mais je comprends mes erreurs: je n'aurais jamais dû voler. "Pire qu'une catin" me disait souvent sœur Marie-Lola. Elle a sûrement remarqué que je prenais ça pour un compliment, car cela fait quelques semaines qu'elle ne me le dit plus.
Hier, j'ai été baptisée par la Mère Supérieure. Je ne m'appelle plus Constance, mais Marie-Madeleine. Je n'ai pas encore le titre de Sœur. La Mère Supérieure a un peu tiqué, connaissant mon passé de luxure, mais sœur Marie-Lola lui a certifié que j'entrais de plus en plus dans la voie de l'amour du Seigneur. Et elle a raison: je suis de plus en plus souvent humide entre les cuisses, lorsque je frotte le sol!
Sœur Marie-Lola me l'a expliqué: une sœur de l'Ordre de Saint-Pierre doit s'éveiller dans l'amour du Seigneur et y rester jusqu'au coucher.
Comment mes parents auraient-ils pu deviner que les sœurs de cet Ordre passent leur vie le sexe dégoulinant de cyprine? Depuis que je suis là, j'ai exprimé mon amour pour le Seigneur encore plus souvent que je n'avais ouvert les cuisses pour des hommes dans ma vie passée. Il va de soi que sœur Marie-Lola est là pour s'assurer que je l'exprime de la plus belle des façons: la croupe vers le ciel, le visage au sol.
Cela fait six mois que je suis là, et demain, je serai initiée. Quelque chose me dit que je vais aimer ce Seigneur comme jamais!

 

 

16/10/2023

 

Il ne s'attendait sûrement à ça, lorsqu'il m'a dit "Viens comme tu es" alors qu'il m'invitait de le rejoindre au parc. En même temps, il sait très bien que je vis nue chez moi. Il ne veut pas se l'avouer, mais j'ai bien remarqué qu'il y a comme de l'excitation dans son regard lorsque d'autres hommes me reluquent.
Tous ces regards sur moi alors que je gare mon vélo... Ça se voit sûrement, à quel point je mouille, et ça m'excite encore plus. Parce qu'il faut bien se l'avouer, faire du vélo nue, ça ne stimule pas que les muscles!
Je suis persuadée d'une chose: son short sera déformé par une belle érection lorsque je viendrai m'allonger près de lui avec ses amis!
Celle que je ne sais pas: combien de temps tiendra-t-il avant de me défoncer?

 

 

19/10/2023

 

Je sais qu'elle ne devrait pas. Je sais que je ne devrais pas accepter. Mais à chaque fois qu'elle m'appelle dans son bureau, j'espère que cela va finir ainsi.
La première fois, c'était pour me sermonner sur un dossier. Trop de fautes d'orthographe. Il est vrai que j'étais un peu juste en temps et n'avais pas pris le temps de bien relire. Encore moins de faire relire. Elle m'a toujours impressionné, je dois bien l'avouer.
-- À quoi vous pouvez bien me servir, si je dois vérifier votre travail? La confiance est importante, chez nous! Vous avez confiance en moi? m'avait-elle demandé.
-- Bien sûr, Madame Decourcelle! me suis-je empressé de répondre, tout penaud.
-- Alors déshabillez-vous.
Je suis resté coi, un long moment. Elle m'a nargué du regard, comme si j'étais idiot, et m'a dit le plus naturellement du monde:
-- Si je dois vérifier votre orthographe, vous devez bien avoir quelque chose pour me remercier. C'est une charge supplémentaire pour moi.
-- Je vous promets que je ferai plus attention la...
-- Déshabillez-vous. Je n'aime pas me répéter. Oui-oui, tout, même les chaussettes.
Je suis devenu tout rouge, j'ai pris chaud comme jamais. Aujourd'hui encore, je ne sais pas ce qui m'a pris. Tout tremblant, je me suis mis nu devant elle alors que derrière la porte, on entendait tout le monde travailler. Elle se moquait, mais son regard posé sur moi... C'était comme un aimant. Je ne me suis jamais senti aussi bête, avec mon sexe tout mou.
Elle est simplement restée me regarder, en silence. Peut-être une minute, ou deux. C'est dingue comme deux petites minutes peuvent devenir longues. Mais c'est à peu près le temps qu'il m'a fallu pour me retrouver avec une belle érection.
Dans son regard, il y avait de l'envie, et une sorte de satisfaction... Presque de victoire. Lentement, elle a écarté les cuisses et j'ai vu sa culotte, même sa fine toison à travers la dentelle.
-- Branlez-vous pour moi.
-- Que je...?
-- Vous êtes long à la détente. Branlez-vous.
Et je l'ai fait. Elle me parlait pendant ce temps-là, mais je ne me souviens plus de quoi. Je m'astiquais devant elle, honteux et excité.
C'est alors qu'elle a ouvert sa veste et que ses seins si généreux me sont apparus dans presque toute leur splendeur.
-- Vous mettrez tout là, me dit-elle en glissant le bout de son index entre ses seins serrés par son soutien-gorge. Et nulle part ailleurs.
Je me suis approché d'elle. Dans l'état où j'étais, j'allais me coller à elle, prendre ses seins dans mes mains et me caresser contre eux. Mais la honte est bien vite revenue, quand elle m'a stoppé en posant sa main sur mon bas-ventre.
-- Pas plus près que ça.
Elle a alors elle-même avancé son buste. Je pouvais sentir son souffle chaud sur ma verge. Il ne m'a pas fallu longtemps avant de jouir sur elle. Mon sperme a coulé sur ses seins. J'avais tellement peur que ça ne gicle et qu'elle n'en ait partout!
Elle m'a renvoyé à mon box d'open-space comme si de rien n'était. Lorsque je me suis assis, j'étais à deux doigts de pleurer. Mais il y avait cette image qui ne cessait de tourner en rond dans ma tête. Madame Decourcelle qui travaillait, mon foutre entre ses seins.
Le lendemain, elle m'a rappelé dans son bureau, et j'ai dû jouir dans son café. Et tous les jours, je me rends dans son bureau, sachant que je ne devrais pas accepter ces excentricités. Si les rôles étaient inversés, je serais en prison. Mais pour qui passerais-je si je me plaignais? Surtout maintenant!
Je sais que c'est mal, mais je dois maintenant me l'avouer: j'aime lui obéir, et j'aime ses excentricités. Je ne l'ai jamais touchée, je ne l'ai jamais vue nue, rien de plus que sa culotte et son soutien-gorge. À quelques reprises, elle a saisi mon pieu dressé, juste avant que je n'explose. Même une fois, elle y a posé un bisou, pour me féliciter. Mais sinon, il n'y a pas de contacts entre nous.
Pourtant, en six mois, j'ai déversé des litres de sperme pour elle. Et j'en giclerai encore autant.