Je vous livre ici une sélection de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2024...
26/11/2024
-- Bonsoir, lot 125. Veuillez entrer. Madame la Comtesse n'a pas pu se déplacer, alors nous allons faire cela en visio. Veuillez retirer vos vêtements. Madame la Comtesse souhaite que vous soyez en forme avant le début de la conférence, qui débutera dans 25 minutes.
-- Puis-je alors attendre un peu avant de retirer mes...
Clac!
-- Madame la Comtesse souhaite s'assurer que vous êtes endurant, lot 125. Retirez vos vêtements et je vous astiquerai jusqu'au début de la visio-conférence.
-- Bien, Madame, pardon Madame.
-- C'est la première fois que vous êtes mis aux enchères?
-- En effet, Madame. J'étais un Homme Libre, jusqu'à présent.
-- Quelle déchéance... Tomber d'Homme Libre à un simple lot aux enchères... En si peu de temps... Oh! Mais je vois que vous êtes rapide aussi quand il s'agit de bander! J'espère que je n'aurai pas à débuter la visio avec votre foutre sur ma main. J'aime autant vous dire que si c'est le cas, vous envirez bientôt votre situation en tant que lot! Bonne proportions, en tout cas. Madame la Comtesse n'aime pas les sexes trop larges. Son mari aime les vagins étroits et elle ne voudrait pas qu'il aille voir en-dehors de sa femme ou des esclaves... Maintenant, taisez-vous... Nous allons juste procéder jusqu'à ce qu'elle se connecte.
Lorsque Madame la Comtesse se connecte à la visio-conférence, pile à l'heure prévue, lot 125 est en sueur, le regard perdu dans le vague. Seul son sexe apparaît à l'écran, près du visage de sa servante.
-- Qu'en pensez-vous jusqu'à présent?
-- Il n'est pas formidable, mais son sexe est comme vous aimez, Madame la Comtesse. Cela fait maintenant 25 minutes que je l'astique et il n'a toujours pas éjaculé. Mais en vous voyant, il semblerait qu'il se soit encore plus raidi. Un bon point pour lui.
-- Oui, cela me semble convenable. Pouvez-vous le branler plus fort?
-- Comme cela, Madame la Comtesse?
-- Hummmm...
-- J'aime ce type grognement, lot 125. Voyons voir ce que tu penses de la Comtesse!
Devant son écran, Madame la Comtesse retire la robe de chambre qu'elle portait et dévoile son corps à sa servante et lot 125. Ce dernier gémit encore plus fort.
-- Il va exploser, Madame la Comtesse... Dois-je?
-- Non! J'aimerais comment il gicle sur votre visage.
-- Comme vous désirez, Madame la Comtesse.
La servante s'installe de profil et astique lot 125 tout en jouant avec ses bourses. Celui-ci ne tarde pas à jouir et son foutre jaillit en un trait sur le visage et les cheveux blonds de la servante. Il se détend et termine de se vider sur sa joue, son sperme coulant doucement. La Comtesse, elle, a remis sa robe de chambre.
-- Ça ne fera pas l'affaire. Une seule giclée, mon Dieu! Je vais appeler Alfred et lui dire qu'il a intérêt de me trouver un lot digne de ce nom! Je te connais, Valérie. Amuse-toi un peu avec lui et renvoie-le d'où il vient. Au moins, il ne t'élargira pas...
La Comtesse coupe la visio sans un mot de plus.
-- Allongez-vous sur le lit, lot 125. Vous vous souviendrez longtemps de moi, car vous n'êtes pas prêt de reprendre du plaisir d'ici un bon moment!
27/11/2024
Lorsque j'ai rencontré Amélie à cette fête, nous avons immédiatement sympathisé. Elle m'a dit être la cousine de la petite Suzette, qui fêtait ses 18 ans. Pour ma part, j'avais été son prof de maths il fut un temps. Puis je suis devenu un ami de la famille et régulièrement, ils m'invitent à leurs petites sauteries. Je dis "petites" parce qu'elles sont bien sages! Les parents de Suzette sont "de la bonne société", comme on dit, alors aucun débordement n'est toléré.
Et Amélie me paraissait du même acabit, dans sa petite robe rayée, et avec ses lunettes de secrétaire.
Il n'y avait qu'une chose qui pouvait m'exaspérer chez elle: elle était constamment en train de prendre des selfies. Sûrement pour poster sur les réseaux sociaux, me disais-je. Et je commençais même à me dire que j'allais changer de compagnie. Non pas que je sois un réac, mais ne penser que par les réseaux sociaux pour afficher sa vie, il y a quelque chose de pathétique, parfois.
Mais Amélie avait la discussion agréable, en plus du fait que j'avais innocemment remarqué qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe. Une petite bise en sortant du manoir afin de trouver un peu de tranquillité sur la terrasse m'a décidé - oh que je peux être faible! - à rester l'écouter et échanger avec elle.
-- Vos followers auront de quoi passer leur dimanche! lui dis-je à un moment où, s'extasiant devant les jardins, elle s'était encore prise en photo.
Que n'avais-je pas dit là! Aussitôt, la douce et souriante Amélie est devenue sombre, presque triste.
-- Ces photos sont de simples souvenirs pour moi, m'avoua-t-elle en rougissant.
Autant dire que je n'étais plus qu'à deux doigts de lui faire connaître quelques unes de mes intentions les moins avouables à son sujet! La voilà qui rougissait, comme une petite fille innocente qui avouerait sa faute.
-- Personne ne les voit jamais, je n'oserais pas.
Étonné de cette réponse, j'en oubliai un instant son sourire charmant, son regard pétillant... et ses tétons qui pointaient légèrement sous le tissus rouge et blanc.
-- J'avoue que je ne m'attendais pas à ça! Tant de poses et de paysages aussi délicieux les uns que les autres, et vous ne les partagez avec personne?
-- On ne peut pas dire que j'aie grand-monde avec qui les partager... Qui est-ce que ça intéresserait? me dit-elle sans réussir à me regarder.
Les yeux baissés sur son téléphone comme s'il s'y trouvait quelque chose d'important, elle évitait clairement mon regard. Et tant mieux! Car le mien était rivé sur ces deux petits boutons, et je n'arrivais pas à m'empêcher d'imaginer ses deux jolies poires dénudées.
C'est donc sans réfléchir que j'enchainai:
-- Moi! Évidemment que je serais ravi de passer mon dimanche à vous regarder dans tous les décors possibles!
Et toutes les positions, cela va sans dire. Elle leva enfin ses yeux sur moi, visiblement étonnée.
-- Quel intérêt vous auriez à me voir à cette fête sous tous les angles?
Je ne suis pas de ce monde, même si j'arrive souvent à m'y fondre. Mais il est des moments où on ne peut s'empêcher d'être soi-même sans fard. Et il est clair que lorsque je suis en train de tenter de séduire une demoiselle qui me fait autant d'effet, je ne peux être quelqu'un d'autre, quitte, bien souvent, à perdre ladite demoiselle. Voilà le pourquoi de ce qui suit:
-- C'est justement ça, Amélie! Sous tous les angles!
-- Que voulez-vous dire? ... Oh! Vous me trouvez... agréable à regarder?
-- Autant qu'à écouter, oui.
La pauvre Amélie ne savait plus où se mettre. Mais je la soupçonnais de ne pas être étonnée complètement. Étonnée que j'ose le lui dire avec un tel aplomb, mais pas que je le pense. Elle devenait plus rouge que le rouge de sa robe, et me regardait par intermittences, un petit sourire en coin qui faisait apparaître un début de fossette qui terminait de me faire fondre.
-- Vous me mettez un peu mal à l'aise, me dit-elle en ricanant nerveusement.
-- Mais vous appréciez, j'espère, ma sincérité.
-- Oh oui! Je n'y suis juste pas habituée, voilà tout.
-- Tenez! Voici mon numéro. Envoyez-moi vos selfies quand bon vous plaira. Je vous promets un commentaire tout aussi sincère à chaque fois!
La voilà qui ricanait de plus en plus. J'allais devoir la faire descendre dans les tours, et moi aussi. Malgré nos mains qui se touchèrent alors que je lui tendais ma carte, et que nos regards restèrent accrochés l'un à l'autre pendant quelques secondes avant de se séparer, je ne pouvais pas me faire à l'idée de la tringler dans une pièce vide de monde du manoir. Ce n'était pas son style. Le mien, oui, clairement. Mais Amélie... Je ne voulais pas qu'elle ait honte d'elle. Cette femme méritait de s'épanouir, avant d'en arriver là.
Oui, bien entendu, j'espérais bien qu'un jour, elle en arriverait là... et avec moi, si possible.
J'ai donc rapidement changé de sujet et elle a retrouvé plus d'assurance. Tout le reste de la soirée, ses yeux pétillaient à chaque fois que je lui adressais la parole. Je me demande encore comment j'ai pu réussir à ne pas lui sauter dessus. Dans d'autres circonstances, je l'aurais acculée, obligée de faire face à ses désirs, et à y céder, quelles qu'en soient les conséquences. Peut-être le fait que nous étions chez les parents de Suzette, ces gens qui n'ont jamais un pet de travers, mais qui me sont chers.
J'ai donc quitté la soirée au moment où ça commençait à se terminer. Amélie devait rejoindre sa chambre d'hôtel en profitant de la voiture de son oncle Pascal. Je n'ai pu faire autrement que de lui déposer un chaste baiser sur les lèvres, en tenant son menton, avant de monter dans ma propre voiture. Elle est restée sur le gravier à me regarder partir jusqu'à ce qu'elle ne me voie plus.
Lorsque je suis rentré, je dois avouer que je ressentais une certaine frustration. Celle-ci n'a pourtant pas été très longue. Alors que j'allais rejoindre mon lit, mon téléphone a sonné. Numéro inconnu, un MMS. Le temps qu'il se charge, je pouvais lire le message qui accompagnait les 3 images: "Je me suis dit que vous étiez présent pour quasiment tous les selfies de la journée, alors je vous en fait d'autres. Ils répondront sûrement à une question que vous vous êtes posée tout le long de nos échanges! Amélie qui vous remercie."
29/11/2024
-- Oh non! S'il vous plaît, Madame, je vous en conjure!
-- Franchement, Virginie! Ce dossier est important pour l'avenir de l'entreprise... et donc pour le tien!
-- Oui, mais quand même... Être présente nue à la réunion. Pourquoi?
-- Ça me paraît évident, Virginie... Tant qu'ils t'auront sous les yeux, ils seront distraits et détendus. Les négociations n'en seront que plus faciles! Que tu peux être sotte, parfois!
-- Mais... nue?
-- Oui!
-- Peut-être pourrais-je enlever mes sous-vêtements, simplement? Mes seins se verront à travers ma chemise et ma jupe est plutôt courte... Ça devrait suffire à les déconcentrer, non?
Chantal, la chef, soupire, alors que l'interphone sonne:
-- Madame Ducour, les messieurs que vous attendez sont arrivés. Dois-je les faire monter?
-- Oui, s'il vous plaît!
Elle raccroche et se tourne vers Virginie:
-- Bon, très bien! Fais ça, mais à une seule condition!
-- Tout ce que vous voudrez tant que je ne suis pas nue!
-- Tant mieux! Dépêche-toi!
Virginie s'empresse de retirer soutien-gorge et culotte, les range dans la poche de sa veste, alors que Chantal s'est rendue au fauteuil, fouillant dans son sac à main. Les yeux de Virginie s'écarquillent et le rouge lui monte au visage, une sacrée bouffée de chaleur en voyant que sa chef tient un gode dans la main. Chantal le lui tend, visiblement énervée:
-- Tiens! Tu garderas tes vêtements, mais tu te feras jouir... et avec un peu de silence! Pas comme quand tu te branles dans ton bureau! Tu croyais que je n'entendais pas tes gémissements de chienne en chaleur? Allez! Prends ça et va les accueillir. Et fais attention, s'il te plaît... Il me sert régulièrement.
Et à la grande surprise de Virginie elle-même, même si les accueillir avec un gode en main fut une épreuve humiliante, même si elle a mis de nombreuses minutes à se lancer, subissant les regards noirs de Chantal... Malgré tout cela, Virginie s'est lancée. D'abord très discrètement avec ses doigts. Les réactions des deux hommes l'aidant, et le sourire en coin de Chantal, Virginie s'est pénétrée avec le gode. D'abord avec honte. Les regards ont commencé à changer à ce moment. Ce qu'elle faisait n'était plus discret, et le sourire de Chantal prouvait aux deux hommes que la chef était au courant que ça se passerait comme ça. Ils étaient pourtant bien élevés, et continuaient la négociation presque comme si Virginie n'était pas en train de monter dans les tours juste devant ou à côté d'eux! Quelle maîtrise de soi, pensait Virginie, alors qu'elle-même perdait le contrôle. Elle lisait dans leur regard cette envie bestiale de la prendre sur la table de conférence, ainsi que la fierté de Chantal, qui passait de point en point en femme victorieuse.
Elle a joui presque en silence, puis a posé le gode sur la table, enduit de sa cyprine. Les négociations arrivaient à leur fin alors elle demanda, la voix pleine de fierté:
-- Quelqu'un veut un café?
02/12/2024
Zara et Clara se sont rencontrées il y a cinq ans. Zara, la belle métisse un peu timide est immédiatement tombée amoureuse de Clara, aux formes appétissantes et au caractère joyeux et extraverti. Bien entendu, Zara n'avait pas osé le montrer immédiatement à Clara. Elle n'était pas encore à l'aise avec le fait de draguer des femmes. Sa timidité maladive lui faisait se demander constamment ce que les autres pouvaient penser d'elle et malgré le fait qu'elle ne cachait pas sa sexualité, elle ne la mettait pas en avant non plus. Et puis Clara avait un copain, à l'époque.
Zara le savait parce que Clara en parlait souvent à la fin de leur cours commun de forró. Dès qu'elle le pouvait, et le plus innocemment possible, Zara faisait en sorte de se retrouver en couple avec Clara. La magie de la danse et de la musique avait fait le reste, d'après elle. Mais Clara rajoutait à juste titre: "son regard si profond, un peu gêné, et la façon dont elle bouge son corps y sont aussi pour beaucoup!"
Combien de fois Zara n'était-elle pas rentrée chez elle en feu et s'était empressée de retirer tous ses vêtements pour se faire jouir en pensant à Clara? Impossible de tenir le compte... Et pourtant, le premier baiser était venu de la part de Clara.
Elle n'était pas dupe et avait bien compris ce que ressentait Zara. Elle lui avait avouée, par la suite, que ce baiser n'avait été qu'un jeu pour elle, au début. Il lui était arrivé d'embrasser d'autres femmes, mais ça avait toujours été pour exciter un homme... ou des hommes!
Pourtant, ce baiser changea sa vie. Était-ce le fait de sentir Zara fondre littéralement sous ce baiser? Aujourd'hui, elle pouvait y répondre: elle avait prétexté un jeu pour ne pas avoir à affronter le fait qu'elle l'attirait bien plus qu'elle ne voulait bien le croire. Elle avait fait en sorte de se retrouver seule avec Zara dans le vestiaire après le cours. Elle aimait la façon que Zara avait de la regarder en coin pendant qu'elle se changeait. Clara avait toujours aimé être regardée et susciter le désir. Elle était encore en lingerie -- dentelle et porte-jarretelle car elle devait retrouver son copain pour une soirée qui se terminerait forcément en effeuillage -- lorsqu'elle profita d'une maladresse de Zara qui fit tomber son portable pour s'approcher assez d'elle. Un simple regard, et Clara se lança. Son but avoué n'était que d'offrir à Zara un bon souvenir à se remémorer en se caressant. Mais au contact de leurs lèvres, de leurs corps et de leurs mains qui se prirent les unes dans les autres alors que leurs langues se lançaient dans une danse encore plus endiablée qu'une bachata.
-- Excuse-moi, avait lancé Clara maladroitement. Je... Je ne sais pas ce qui m'a pris... Mon copain m'attend dehors, je devrais...
-- Y aller, oui...
Zara était partagée entre un moment de pur bonheur et une tristesse profonde. Ce premier baiser avait des airs de dernier baiser. De son côté, Clara avait senti l'humidité dans son string. Il était clairement taché, mais il serait facile de faire croire à Corentin que c'était de sa faute à lui.
Pourtant, ce soir-là, et les suivants, Clara avait fait l'amour avec Corentin en pensant à Zara. À tel point qu'elle avait même hésité à retourner à son cours la semaine suivante. Mais le souvenir de la douceur de Zara la poussa à s'y rendre de nouveau. Et lors d'un tango argentin, que l'on danse très serrée l'une contre l'autre, sa décision fut prise.
Zara tenta bien de se dérober le plus rapidement possible du vestiaire, mais Clara lui attrapa le poignet, et tant pis pour la présence de deux autres femmes qui trainaient. "reste un peu, s'il te plaît" avait-elle simplement dit. Le silence qui avait suivi avait mis les témoins mal à l'aise (et Zara encore plus, qui attendait le départ des deux femmes pendant que Clara terminait de se rhabiller... et elle n'avait que la regarder à faire!). Elles se pressèrent et laissèrent les deux amoureuses ensemble. Clara ne parla pas. Elle prit Zara contre elle et l'embrassa. Tout le processus se remit en marche dans son corps: le cœur qui battait la chamade, la moiteur dans ses mains et sous ses bras, le cerveau en pause, et la culotte tachée.
Le soir-même, elle quitta Corentin. La semaine suivante, elle accompagna Zara chez elle après le cours et y passa la nuit.
Cinq ans d'intense et sensuelle complicité. Aux côtés de Clara, Zara s'était ouverte come une rose. Clara était son soleil qui l'éveillait et lui faisait prendre conscience de sa clarté.
Sexuellement parlant, elles s'étaient complétées. Zara avait une connaissance aigue du corps féminin et des multiples façons de lui donner du plaisir. Clara, elle, lui avait fait découvrir de nombreux jouets que Zara n'avait jamais osé essayer. Elle s'amusait souvent à lui dire, à propos des godes: "Mais ça ne vaut pas une vraie queue!"
De plus, Clara avait été accueillie à bras ouverts dans la famille de Zara. L'inverse avait été un peu plus compliqué, car la question ne s'y était jamais posée. Au début, Zara avait été prise comme une nouvelle excentricité de Clara. Il faut dire qu'elle en avait fait voir de toutes les couleurs à ses parents, plus jeune! Mais petit à petit, Zara s'était fait une place parmi ces gens et la mère de Clara l'appelait maintenant "chérie", comme elle le faisait avec sa propre fille et le frère de Clara.
Cinq années pendant lesquelles Clara avait découvert une nouvelle facette du monde. Elles allaient parfois, surtout au début de leur relation, dans des lieux où se retrouvaient tous genres de sexualités. Clara n'avait jamais connu et ne s'y était pas vraiment intéressée. Elle avait toujours considéré cela comme quelque chose d'enfermant, comme si la sexualité autre qu'hétéro ne pouvait pas être vécue en plein jour, ou pire, qu'il ne fallait pas se mêler aux hétéros, devenus presque des pestiférés. Elle comprit rapidement, malheureusement, que pour beaucoup de ses contemporains, l'homosexualité ou toute autre façon d'aimer était une déviance. Être une femme, même au XXIème Siècle, n'était pas chose aisée. Être une femme qui en aimait une autre était pire encore. Même chez les hommes que cela faisait fantasmer, elle y voyait quelque chose de malsain, parce qu'ils considéraient que même homo, une femme ne pouvait résister à la virilité d'un homme. Elle comprit donc pourquoi, régulièrement, Zara avait besoin de se retrouver parmi des gens qui subissaient les mêmes affronts à longueur de temps. C'était comme une bulle où chacun pouvait, le temps d'une soirée ou d'un week-end, être lui-même sans fard. Ce besoin devint le sien aussi, au final.
Au bout de cinq ans, Zara avait voulu aller plus loin dans leur relation. Une demande en mariage, de la part de Zara! Clara en avait été émerveillée. Dans leur couple, c'était plus souvent Clara qui menait la danse, exactement comme leurs cours. Le fait que Zara lui fasse cette déclaration avait été un pur bonheur pour elle.
Mais il y avait quelque chose. Jusque-là, elle l'avait toujours gardé pour elle. Comme un secret qui pourrait peut-être un jour tout ruiner entre elles. Clara aimait profondément Zara et à aucun prix elle ne lui aurait avoué ça. Malgré tout, Clara croyait encore en quelques piliers d'une société post-moderne. Le mariage en faisait partie. Non pas qu'elle considérait le mariage comme un acte juridique important qui liait deux familles. Pour elle, c'était une promesse faite à l'autre. Pas une promesse que l'on susurre à l'oreille de sa bien-aimée, mais une promesse que l'on crie sur les toits. Exactement le genre de promesse que l'on ne peut trahir. Il allait donc de soi qu'elle ne pouvait accepter cette demande sans être sûre que Zara la connaisse vraiment.
Le truc, c'est que Clara ne faisait jamais les choses à moitié. Elle répondit à Zara qu'elle devait mettre les formes pour sa réponse et qu'elle devait lui donner quelques jours. Ce qui, en fait, était déjà une réponse positive pour Zara, qui attendit le jour convenu en vivant sur un petit nuage.
De retour du travail, elle avait trouvé Clara nue comme un ver dans le salon. Clara ne laissa pas le temps à Zara de réfléchir et lui dit, tout en l'asseyant dans le fauteuil qu'elle avait placée dos à la fenêtre qui donnait sur le jardin:
-- Aujourd'hui, je me mets à nue pour toi, ma douce chérie. Je veux me marier avec toi, vivre avec toi et vieillir avec toi. Je t'aime de tout mon cœur, mais avant de s'engager, tu dois savoir une chose sur moi que je ne t'ai jamais avouée.
Zara ricanait nerveusement en se demandant ce que ça pouvait bien être. Elle aurait pu y penser, mais elle en était incapable. Prise entre le bonheur de cette déclaration et l'excitation de la vue que lui offrait Clara, elle ne pensait simplement pas et jouissait du moment présent.
Clara posa donc un bisou sur le bout de son nez et s'écarta d'elle pour se diriger vers la porte qui donnait sur le couloir et l'escalier qui menait à l'étage.
Zara eut le souffle coupé en voyant un homme en sortir. Lui aussi était totalement nu, et en érection et déjà muni d'un préservatif. Le nuage sur lequel elle vivait depuis quelques jours s'évapora soudainement.
-- Attends, Clara... Tu me fais quoi, là?
Tenant l'homme par la main, elle revint devant Zara et prit son visage entre ses mains.
-- Ce que nous vivons est un véritable conte de fées, Zara. Je ne saurais dire à quel point tu me rends heureuse. Mais tu dois le savoir, le comprendre. Car je ne peux pas dire qu'un jour, ce manque ne s'immiscera pas entre nous deux. Fais-moi confiance comme tu m'as toujours fait confiance, Zara.
Son amour restait sans voix. Elle l'embrassa, tout en faisant signe à l'homme derrière de commencer. Celui-ci ne se fit pas prier. Profitant du fait que Clara était penchée en avant, il la pénétra sans difficulté. Il n'était pas question de passer par les préliminaires pour ce que Clara avait à faire, et ils s'étaient tous les deux lubrifiés abondamment.
-- Oh mon Dieu, Clara! Mais qu'est-ce que...
-- C'est moi, Clara, l'interrompit la blonde. Je veux que tu connaisses cette partie de moi avant de m'épouser. Je ne peux pas m'engager là-dedans sans que tu saches, que tu le voies de tes propres yeux.
Doucement, l'homme allait et venait, pour laisser le temps à Clara de dire ce qu'elle avait à dire.
-- Est-ce que tu m'aimes, Zara? demanda-t-elle en commençant déjà à gémir.
-- Je... Oui bien sûr, répondit Zara en gardant ses yeux dans ceux de Clara pour ne pas voir cet homme qui tenait son amour par les hanches et la pénétrait de tout son long. Oui, je t'aime, mais...
Clara ne laissa pas terminer. Elle ne voulait pas entendre ce qu'il pouvait y avoir après ce "mais".
-- Alors aime-moi comme je suis. Si tu dois me prendre comme épouse, prends-moi entièrement.
Zara se tut un instant, des larmes coulaient sur ses joues. Ce n'était pas des larmes de tristesse. Zara était simplement perdue. Elle était paniquée et chercha l'assurance dans le regard de Clara, comme elle le faisait tout le temps. Comme à chaque fois, elle trouva sa réponse dans ce regard plein d'amour. Au bout de cinq ans, elle avait compris et intégré que Clara était bien plus qu'excentrique. Elle avait une façon bien à elle de raisonner, une logique qui échappait souvent à celle de Zara, mais une logique qu'elle avait finit par accepter. Elle finit donc par lever un instant les yeux sur l'homme et hocha timidement la tête pour lui signifier qu'il pouvait procéder. Son regard plongea à nouveau dans celui de Clara alors qu'il se mit à accélérer ses mouvements de va-et-vient.
Elle ne quitta plus les yeux de Clara. Elle la regarda prendre du plaisir sur ce membre qui la pilonnait. Elle reconnut son rictus bien spécifique lorsqu'elle-même lui serrait les seins dans ses petites mains.
Elle l'embrassa à pleine bouche et ressentit tous les soubresauts du corps de sa bien-aimée lorsque l'homme venait cogner au fond de son vagin. Elle écoutait ses petits cris aigus et s'en imprégnait sans pour autant partager pleinement le plaisir de sa future femme. Mais ce n'était que le début, et Clara connaissait Zara par cœur.
Elle passa un bras sur la hanche de l'homme derrière elle pour l'inciter à la baiser plus fort encore. Et sans quitter Zara des yeux, elle lui intima:
-- Baise-moi, défonce-moi de toutes tes forces!
Ce fut comme une décharge pour Zara. Ces mots qui étaient destinés à l'homme semblaient être prononcés pour elle. Elle comprit alors quelque chose qu'elle n'avait pas saisi jusque-là, sûrement à cause du choc. Il ne s'agissait pas de Clara se faisant prendre par un homme devant elle, spectatrice des désirs inassouvis de son amour. c'était elle qui la baisait. Dans l'esprit énigmatique de Clara, elle était celle qui la culbutait. Aussitôt, elle sentit le plaisir monter en elle. Elles étaient enfin de nouveau en osmose toutes les deux.
Elle jeta alors un coup d'œil à l'homme, et sans un mot, il comprit ce qui se passait. Il attrapa alors Clara par les cheveux, la cambrant de force et offrant sa poitrine généreuse à la bouche de Zara. Celle-ci y plongea et se mit à onduler sur le fauteuil au rythme des coups de butoir de l'homme.
-- Oh oui, Zara! Continue! Comme ça! Défonce-moi! cria Clara, comme pour venir confirmer ce que pensait Zara.
Elle se sentit se liquéfier littéralement, et ses ondulations devenaient véritables coups de reins, calés parfaitement avec ceux de l'homme.
-- Je te vois, dit-elle à Clara qui était au bord de l'explosion. Je te vois et je t'aime. Montre-moi à quel point tu trouves ça meilleur qu'un gode. Jouis pour moi, Clara.
Et comme c'était devenu une habitude entre elles, Clara plaqua son front contre celui de Zara, elle s'agrippa à ses cheveux et se laissa complètement aller au plaisir sans fermer les yeux. Elle criait, hurlait alors que l'homme ne ralentissait aucunement. Son corps entier fut traversé de violents spasmes. Derrière elle, l'homme n'arrivait plus à se faire complètement discret et râlait de plaisir, tout comme Zara elle-même accompagnait l'orgasme de Clara par des petits "oui, oui, ma chérie, viens...".
Les deux femmes s'embrassèrent avec une urgence qui ne laissa pas l'homme insensible. Il se retira et commença et se branler au-dessus des fesses de Clara pour décharger.
Avec un sourire en coin que Zara ne connaissait que trop bien, Clara lui dit un petit "attends une seconde" avant de se retourner vers l'homme. Elle s'agenouilla et prit son membre en bouche avec un petit peu maladresse par manque de pratique. Zara ne put manquer pourtant le plaisir qu'elle prenait à un tel acte et le visage déjà radieux de sa compagne adorée s'illumina encore plus lorsque leur invité silencieux gicla son foutre épais sur les joues, le front, la bouche de Clara alors qu'elle tirait la langue pour recevoir son dû, comme elle aimait le dire avant. Il lui offrit ses dernières gouttes en tapotant son gland sur sa langue et elle posa un bisou sur le bout de sa queue avec un "merci monsieur". C'était le signal pour qu'il s'éclipse. Alors que Clara retournait dans les bras de sa chérie, Zara lui offrit un sourire, bien qu'un peu gêné:
-- Merci beaucoup, monsieur, vous avez été parfait, lui dit-elle avant qu'il ne se rende dans la cuisine pour récupérer ses vêtements.
Avant même qu'il en quitte la maison, Zara et Clara n'étaient plus que toutes les deux. Clara lui sourait à pleines dents, le visage strié de sperme et Zara pouffa de rire.
-- J'ai toujours adoré finir comme ça, lui dit une Clara maintenant très à l'aise pour lui parler de son passé sexuel. Sur le visage ou mes gros seins. Tu veux goûter? lui demanda-t-elle en lui tendant son index sur lequel alla avait récupéré un peu de sperme.
-- Non! s'exclama Zara en ricanant.
-- Tu sais pas ce que tu rates!
Et Clara entreprit de se nettoyer le visage à l'aide ses doigts, avalant tout devant la moue à la fois dégoûtée et riante de Zara.
-- Tu es complètement folle, Clara, lui dit-elle.
-- Folle de toi!
-- Et puis, c'était qui, au fait?
-- Un acteur porno.
Zara explosa littéralement de rire:
-- Tu as loué un acteur porno pour ta réponse à notre mariage?
-- C'est vrai que dit comme ça... ricana Clara. Mais 'loué' est un bien grand mot. Quand je lui ai expliqué la situation, il m'a dit à quel point il était touché et il n'est venu que contre une tasse de café.
-- Qui pourrait te dire non, de toute façon?
-- Surtout pas toi... lui répondit Clara en s'agenouillant devant le fauteuil et entreprenant déjà de lui retirer son pantalon. Maintenant pardon, mais je dois m'occuper de ma fiancée... Ma réponse l'a tellement excitée...
09/12/2024
Je me souviens d'un temps où cela m'effrayait autant que ça m'intriguait. Je n'étais alors qu'une innocente adolescente qui commençait à découvrir son corps. Ce corps qui se modifiait, si vite. Mes seins poussaient, mes hanches s'élargissaient, et le regard des garçons sur moi changeait.
Au lycée, avec les copines, nous nous racontions souvent nos moments de masturbation. Lorsque Céline nous a raconté qu'elle s'était mis un doigt dans le cul, puis qu'elle avait terminé avec un marqueur, les autres ont toutes été dégoûtées. J'ai réagi de la même façon, plus par mimétisme qu'autre chose. Au fond de moi, j'avais mille questions à lui poser sur ce qu'elle avait osé faire et que moi je ne considérais même pas encore comme un fantasme. Pourtant, j'étais sortie de cette discussion trempée. J'avais prétexté une envie pressante et m'étais branlée aussi silencieusement que possible. Mon majeur avait, pour la toute première fois, touché mon anus sans être protégé par du papier. Je n'avais pas osé faire plus, prise entre la honte et le dégoût. Mais ce simple contact m'avait fait jouir en un rien de temps dans les toilettes du parc où nous nous retrouvions lorsqu'il n'y avait pas cours.
Ma mère m'a eue jeune. Elle n'avait que 16 ans lorsqu'elle est tombée enceinte d'un homme âgé de 38. Je passerais sur ces problèmes-là qui ont apporté leur lot de colère. Le fait est qu'avoir une mère si jeune implique souvent des relations particulières. Nous sommes presque autant amies que mère-fille. Et ses amies sont les miennes aussi, par moments.
À cette même période (en fait quelques jours seulement après cet échange sur le cul de Céline), nous étions donc à l'appartement. Aicha, la meilleure amie de ma mère, était enceinte depuis quelques mois déjà. Elle avait un ventre bien rond, des seins énormes, et irradiait de bonheur. J'étais restée avec elles le temps d'un apéritif et de nombreuses questions sur ma vie amoureuse du moment. Je leur répondais volontiers, et elles savaient toutes que je n'étais plus vierge. C'était le genre de discussion que j'avais très facilement avec ma mère: elle ne souhaitait pas que je vive la même chose qu'elle. Après un moment, j'étais partie dans ma chambre.
Depuis toute petite, j'avais pris l'habitude de les quitter assez tôt, puis de les écouter. Rapidement après mon départ, le sujet glissa sur la vie sexuelle d'Aicha enceinte. Elle était un peu comme Céline et aimait beaucoup partager les détails de ses péripéties sexuelles avec ses copines. Je n'écoutais que d'une oreille, collée à l'écran de mon portable, lorsque j'entendis les voix baisser. Ni une ni deux, je me suis précipitée à la porte entrouverte et ai tendu l'oreille:
-- Depuis un moment, il a peur de faire mal au bébé, disait Aicha en ricanant.
-- Il faut dire qu'avec ce qu'il a entre les jambes, lui répondait Sandrine sur un ton envieuse.
-- Quelle que soit la taille de sa queue, il peut pas aller jusqu'au bébé! s'exclamait ma mère.
-- Il sait, il sait! Mais que veux-tu? Ça lui coupe la chique. À chaque fois qu'il me pénètre, il y pense...
-- T'es en train de nous dire que ça fait un moment qu'il te baise plus, ton étalon? demanda ma mère.
-- Tu me connais, répondit Aicha en ricanant. Maintenant, il passe toujours par derrière...
Il y eut un petit blanc. Je pense ma mère et Sandrine faisaient exactement comme moi: elles imaginaient se faire enculer par l'énorme engin de Fred. Non pas que je l'avais déjà vu, mais il ne pouvait pas vraiment le cacher et lorsqu'il était en short, on ne voyait plus que ça!
Par la suite, Aicha leur raconta comment ils y étaient allés par étapes. Il était évident qu'il ne pouvait pas la baiser par là dès la première fois. D'abord les doigts, puis des jouets. La première fois qu'il l'a prise par le cul, elle avait eu un sentiment de déchirement et elle ne l'avait supporté que quelques secondes. Mais petit à petit, et en portant un plug régulièrement, elle avait réussi à découvrir pleinement ce plaisir. Elle n'avait de cesse de dire à quel point c'était bon, et que Sandrine et ma mère devaient absolument connaître ça...
Au bout d'un moment, j'ai fermé la porte à clé et me suis déshabillée devant la glace. Je me trouvais belle et aimait me retrouver devant la glace pour des moments sensuels. J'étais chaude comme la braise, les joues déjà rouges. Je ne me suis rendue compte à quel point j'étais trempée que lorsque mes doigts ont plongé dans ma culotte. Un long filet de cyprine s'est formé lorsque je l'ai descendue. J'ai toujours trouvé ça beau.
Une fois nue, je me suis mise dans toutes les positions pour regarder mon anus. Ce n'était bien sûr pas la première fois que je le voyais, mais que je le regardais vraiment. Comme si avant ce jour il s'agissait d'une partie honteuse de mon corps que même moi je devais ignorer. Je me suis donc rattrapée ce jour-là. De l'autre côté de la porte, j'entendais des éclats de rire par moments, mais je n'y faisais plus attention. Je le regardais, l'admirais. Je ne m'étais jamais rendu compte à quel point il était beau. Tout autour du trou, il y avait un rond un peu plus rose que la peau de mes fesses. Cette couleur faisait qu'en fait, il était bien visible. Je n'avais pas, comme d'autres (j'avais regardé un peu de porno, forcément), un rond brun. Mon anus à moi était illuminé, il voulait être vu! Les petits plis qui l'entouraient formaient comme une fleur, une pâquerette, même. Je dégoulinais de plaisir en faisant connaissance avec lui.
Ce n'est qu'après de longues minutes de contemplation que mon doigt l'a enfin touché. J'ai failli jouir à ce simple contact. Je l'ai alors humidifié de cyprine, je l'ai caressé longtemps encore avant d'oser le pénétrer.
La sensation fut merveilleuse. Encore plus agréable que la première fois où je m'étais doigtée. Il faut dire que j'avais acquis plus d'expérience en la matière, entre temps. En retenant mes gémissements, j'ai scruté mon doigt se faire un chemin dans mon cul. D'abord la première phalange. C'était comme si c'était fait pour. Puis j'ai continué. La deuxième, et les sensations se sont accentuées. Je pouvais sentir les parois internes en le pliant légèrement. La honte m'avait quittée depuis un moment déjà, et je me suis empressée de ressortir mon doigt, reprendre de la cyprine et le lubrifier à nouveau. Il ne m'a fallu que quelques secondes pour voir mon index disparaître totalement en lui. Puis il y a eu comme une absence. Le plaisir était tellement intense que je ne pensais plus qu'à ça, et je bougeais sans y penser.
Lorsque j'ai repris conscience, je me doigtais les deux trous frénétiquement et j'étais sur le point d'exploser. Il me fallut une force surprenante pour ne pas hurler pendant que je jouissais cette fois pour de bon. Dans l'excitation du moment, j'ai ajouté un deuxième doigt dans ma rondelle, et le cri est sorti tout seul.
À peine quelques secondes plus tard, alors que j'avais plongé mon visage dans mon oreiller pour camoufler mes derniers gémissements, ma mère frappait à la porte:
-- Tout va bien, Léa?
J'ai alors relevé ma tête, sans pouvoir retirer mes doigts d'où ils étaient:
-- Je me suis juste coincé un doigt dans un tiroir!
Puis elle est repartie. Sans oser bouger, trois doigts enfoncés dans mon corps, j'écoutais ses pas s'éloigner et rejoindre le salon... d'où j'entendis des gloussements. Elles savaient. Bien sûr qu'elles savaient, elles n'étaient pas naïves sur ces questions-là! Mais elles ne se doutaient pas de ce qui s'était réellement passé. Tout doucement, je retirai mes doigts de mes orifices et entrepris de les nettoyer consciencieusement de ma bouche.
Dès le lendemain, j'en ai parlé avec Céline, mais seulement avec elle, parce que j'avais encore un peu honte. Elle m'a dit qu'elle était impressionnée que j'arrive à me mettre deux doigts, et j'en fus un peu fière. Depuis ce jour, il ne se passe pas un orgasme qui ne passe par mon anus, à un moment ou un autre. Rapidement, j'avais un plug dans mon sac et le mettais parfois pendant des heures alors que j'étais assise dessus. J'étais constamment trempée, jouissais plusieurs fois par jour (parfois même sans me toucher) et n'attendais plus qu'une chose: sentir une queue me perforer le cul et me baiser sans retenue.