La suite de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2024...

 

10/12/2024

 

Le nouveau mec de ma mère est bien plus jeune qu'elle. Je ne suis pas jalouse, mais j'ai bien remarqué la façon dont il me regarde.
Avec tous les autres avant lui, elle faisait toujours attention à ne pas faire de bruit quand ils baisaient. Est-ce que c'était par pudeur ou à cause de mon âge? Je ne le saurai sûrement jamais.
Le fait est qu'avec Antoine, je n'ai pas besoin de venir écouter à la porte! Elle couine comme une chienne en chaleur et de loin on entend leurs corps claquer l'un contre l'autre, ainsi que les petites injonctions d'Antoine.
Ce qui m'a le plus surpris au début, c'est que ma mère n'ait ressenti aucune gêne. Ils n'attendent jamais que je sois sortie pour leurs parties de jambes en l'air. Ma mère doit se dire que je suis assez grande pour ne pas être traumatisée. Antoine, lui, je suis persuadée qu'il prend un malin plaisir à savoir que j'entends tout.
Et le plaisir est partagé! Combien de fois ne me suis-je pas branlée en les écoutant?
Aujourd'hui, en rentrant du sport, j'ai directement entendu ma mère couiner, mais plus fort que d'habitude. Puis, rapidement, un claquement cinglant s'est fait entendre. À entendre les gémissements qui ont suivi, il était clair que ma mère appréciait. J'ai jeté mon sac à dos dans le canapé et suis montée tout doucement.
-- T'aimes ça, hein, être baisée comme une pute!
-- Oh oui! Je suis ton sac à foutre!
Et encore des fessées, nombreuses, et ma mère qui en redemandait.
Arrivée en haut des escaliers, j'étais déjà trempée. Mais lorsque du couloir, j'ai vu que la porte de leur chambre était ouverte, ça m'a fait monter dans les tours comme jamais.
Je n'ai pas réfléchi, sinon, je ne me serais sûrement pas approchée de la chambre. Je marchais au ralenti pour ne pas être entendue, une main plongée dans la culotte et en écrasant violemment mon clitoris sous mon doigt.
Je me suis approchée encore, jusqu'à entrevoir le lit de ma mère. Rapidement je l'ai vue elle. Ses cheveux en bataille cachaient son visage et elle était visiblement à quatre pattes en train de se faire pilonner violemment, si j'en croyais par les allers-retours frénétiques que faisaient sa tête.
Ce qui m'a fait avancer encore, c'est le fait qu'elle portait un tissu sur les yeux. Elle ne pouvait pas me voir! Je me suis donc avancée encore jusqu'à voir Antoine. Ses mains étaient accrochées à ses hanches et son pieu... sa belle bite défonçait ma mère!
Son corps de trentenaire bien entretenu cognait avec puissance contre celui plus flasque de ma mère, qui approchait de la cinquantaine. Ses gros seins ballotaient dans les sens, la graisse de ses fesses formaient de petites vagues à chaque coup asséné par son amant. Et je trouvais ça magnifique.
J'étais subjuguée par cette vision de ma mère, et celle d'Antoine qui semblait apprécier au plus haut point lui aussi. Sa queue bien raide s'engouffrait dans le ventre de ma mère, et elle semblait crier plus fort à chaque fois.
Je n'en pouvais plus. J'ai baissé mon legging et ma culotte et ai commencé à me doigter pour de bon. Et tout en relevant mon haut pour jouer avec mes petits seins, je m'approchais encore.
Forcément, Antoine a fini par me voir. J'ai failli avoir un hoquet de surprise, mais pas lui. Il n'a pas arrêté un instant de baiser ma mère. Au contraire, il s'est remis à la fesser et la traiter de salope, de trou à bite, et que sais-je encore. Ma mère lui répondait avec un peu de mal, mais visiblement excitée par ces mots.
Tout comme moi. Surtout que les derniers, il les prononçait en me regardant. Il claquait les fesses de ma mère, sa queue était plantée en elle, mais c'était moi qu'il traitait de petite salope.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais je lui ai souri. Sans quitter son pieu qui allait et venait dans ma mère, je me suis mise à onduler pour lui. Je voulais le sentir en moi, sentir sa puissance m'envahir.
J'ai joui deux fois, en mordant violemment mes lèvres, avant qu'il n'attrape ma mère par les cheveux et se vide les couilles sur son visage. J'ai alors vu ma mère réclamer son foutre et s'en délecter.
Je suis vite partie dans ma chambre, à l'autre bout de la maison dans le même couloir. J'ai bien essayé de me changer les idées, mais toutes ces images me hantaient. Et je me branlais, encore et encore.
Ce n'est que tard dans la nuit que les choses se sont calmées, lorsqu'Antoine est entré dans ma chambre. Je l'ai repoussé. Je ne pouvais pas cocufier mon copain, je l'aime tant! Le lendemain, cet enfoiré quittait ma mère.
Pendant de longs jours, elle se morfondait dans le canapé, et je ne pouvais pas lui dire ce qui s'était passé. Ça aurait été pire, et je n'étais pas très fière de ce que j'avais fait, pour dire la vérité.
Un jour, comme je le faisais souvent, j'ai invité mon copain à la maison. Il restait parfois dormir mais à chaque fois, nous faisions en sorte d'arriver quand ma mère était au travail, pour baiser un peu partout dans la maison. J'avoue que c'est mon kiff, d'essayer différents endroits.
Ce jour-là, je l'ai entendue et vue arriver. Steph, mon copain, était allongé sur le sol de la cuisine et ne pouvait pas la voir. Elle devait croire que je n'avais rien vu, mais ce fut à son tour de m'épier! J'ai même rapidement changé de position pour qu'elle puisse bien voir la belle queue de Steph. Je suis folle, je sais. Mais j'ai bien fait.
Dès le lendemain, après avoir dormi comme une masse auprès de Steph pendant presque 10h, ma mère se levait plus joyeuse et souriait à nouveau pendant le petit-dej:
-- Il y a de belles choses dans la vie, me dit-elle. Et si on reste trop centré sur nos malheurs, on rate certaines occasions sans le savoir!
-- C'est bien vrai, madame Gautier! répondit Steph.
-- Voyons! Appelle-moi Justine!
Et elle s'est mise à pouffer de rire en retournant vers le salon et en roulant du cul dans sa nuisette. Steph la matait clairement et je lui ai fait des yeux noirs. Ma mère s'éloignait vers l'escalier en chantonnant. La dernière fois que je l'avais entendue chantonner ça, c'était quand elle avait rencontré Antoine.
Bref. J'ai sauvé ma mère de la déprime... Enfin, j'espère que c'est bien moi...

 

 

11/12/2024

 

Anne-Valérie et ses amies s'ennuyaient. Elles étaient les plus sexy de la fac, les plus riches (on sait que ceux-ci ne se font des amis que dans leur milieu restreint), les mieux notées à chaque examen.
Chacune d'elle savait déjà à qui elles seraient mariées d'ici quelques années. Anne-Valérie, elle, épouserait le frère de sa meilleure amie Marie-Bérangère. Il était plutôt mignon, mais pas très intelligent. C'est pour ça qu'elle savait pertinemment que lorsqu'il hériterait de la société de son père, c'est elle qui serait aux commandes.
Tout lui réussissait, dans la vie, et c'en était presque énervant. Heureusement pour elle, les temps avaient un peu changé. Plus besoin d'être vierge pour se marier! Alors elle en profitait, et ses amies aussi.
Grâce à la fortune de leurs parents, elles pouvaient se payer les meilleurs habits qui les mettaient plus en avant que n'importe qui; elles pouvaient aussi s'offrir les meilleurs services de beauté en tous genres (manucures, maquillages, massages...), et bien entendu les meilleurs coachs sportifs pour garder une ligne et des courbes qui faisaient baver tous les mecs qu'elles croisaient. Encore plus lorsqu'elles étaient en groupe!
Et c'est peut-être la seule chose qui mettait du piment dans leurs vies si réglées: partir chasser en meute. Le soir, elles se rejoignaient chez Anne-Valérie, et partaient en ville. Le chauffeur les déposait en plein centre, pour que leur arrivée soit remarquée. La Mercedes Classe S Limousine reluisante faisait forcément son effet. Elles sortaient de l'habitacle une par une, Anne-Valérie en dernier, et se délectaient des regards posés sur elles. Si la plupart des femmes les regardaient avec défiance, les hommes, eux, étaient plus souvent enclins à les reluquer sans gêne. Elles ne s'en plaignaient pas: c'est exactement ce qu'elles recherchaient.
Ce soir-là, Anne-Valérie leur avait lancé un défi: qu'elles se séparent, aillent dans des bars où elles n'avaient pas l'habitude d'aller (c'est-à-dire en dehors des bars huppés qu'elles écumaient toujours jusqu'au lever du jour), et trouvent un mec qui les amène chez lui pour les baiser. Chacune son mec. Celle qui ne réussissait pas (même si Anne-Valérie était persuadée que chacune d'entre elles réussirait) devrait un jour prêter son mari aux autres. La première à réussir aurait le droit d'être tout le temps couverte par les autres quand elle tromperait son mari, et ce jusqu'à leur mort.
Anne-Valérie n'imaginait pas qu'elles puissent un jour ne plus être amies. Elles se connaissaient depuis leur naissance, étaient toutes nées la même année, et avaient toutes grandi ensemble. Cela faisait 23 ans qu'elles ne se quittaient pas, elles savaient tout les unes des autres, jusqu'à leur façon de jouir. Quand une était triste, toutes les autres l'étaient aussi. C'était à tel point que depuis de longues années, elles étaient toutes réglées ensemble, au jour près.
Les voilà donc dispersées dans des quartiers de la ville, où elles ne traînaient que très rarement. Anne-Valérie s'engouffra dans un bar connu pour ses cocktails et ses soirées "hommes d'affaire". N'allez pas croire qu'il s'agit là d'un bar cossu où des contrats se signent. Non, ce que les gens appelaient des "hommes d'affaire", c'étaient des hommes qui venaient dans cette ville en séminaire et se rendaient ici pour "relâcher la pression". Ce bar était connu aussi pour les prostituées qui y allaient. Ces hommes de passage étaient des clients faciles pour elles... et des proies d'autant plus faciles pour Anne-Valérie.
Lorsqu'elle entra dans le bar, elle fit encore son effet. Elle était peut-être la femme la plus classe de la salle. Et aussi la plus jeune. Elle se rendit alors au comptoir et commanda un Long Island. Le barman lui prépara ça en lui souriant, et lorsqu'il déposa le verre sur le zinc, il lui sourit en lui disant:
-- C'est offert par le monsieur, là-bas.
Elle se retourna et vit l'homme. Un quarantenaire mal sapé qui ne pouvait plus cacher son début de calvitie. Quand il lui sourit, elle se mit à pouffer. Pas question qu'elle accepte un verre de ce type. Elle comptait gagner, mais pas à n'importe quel prix, non plus!
Elle sortit donc un billet de son sac et paya son verre, puis commença à le boire et regardant les gens dans la salle. La musique y était assez forte, sûrement pour qu'on ne puisse entendre les transactions de client à pute d'une table à l'autre. Les gens étaient obligés de se parler au creux de l'oreille ou en hurlant.
Quelques couples se trémoussaient sur la musique, sur une piste qui semblait avoir été improvisée en poussant quelques tables. Le temps de trouver sa cible, elle dut tout de même ignorer quelques mecs qui tentèrent de s'approcher d'elle. Elle savait que c'était moche, mais elle aimait ça, montrer qu'elle était trop importante pour certains, qu'elle n'était pas à leur hauteur et qu'ils pouvaient remuer les bras devant elle: elle ne les voyait pas.
C'est en tout cinq hommes qui se cassèrent les dents et se firent moquer par leurs amis, mais elle avait trouvé sa cible. Il s'agissait d'un gars, peut-être trente ans maximum, accompagné de deux autres. Ils riaient en regardant autour d'eux. Anne-Valérie se douta que c'était la première fois qu'ils venaient ici et n'étaient pas forcément venus pour agir, mais surtout pour confirmer ce qui se disait sur cet endroit.
Elle fit un signe au barman qui arriva rapidement vers elle.
-- Vous voyez ce jeune homme, à la table de trois? Celui avec la chemise bleu? Vous allez lui offrir un verre de ma part. Le même que le mien.
-- Bien mademoiselle, répondit le barman malgré son étonnement.
Il faut dire que normalement, c'étaient les hommes qui payaient des verres aux femmes, ici. Mais il s'empressa de faire ce qu'elle disait. Dès que le barman sortit de derrière le comptoir pour aller à la table et jusqu'à ce qu'il soit servi, elle ne le quitta pas des yeux. Il était plutôt charmant et ferait un bon amant pour ce soir, se dit-elle.
Étonné d'apprendre qu'il s'était fait payé un verre, il la regarda. Ses amis ricanèrent et l'incitèrent à la rejoindre. Ce qu'il fit, un peu timidement, verre à la main.
Il n'en menait pas large, lorsqu'il arriva devant elle. Anne-Valérie se douta qu'il se demandait si elle n'était pas une prostituée. Elle le laissa alors mariner encore un peu.
-- Bonsoir, dit-elle en trinquant.
-- Bonsoir et merci, répondit-il, toujours aussi timide.
Anne-Valérie but une gorgée et se pencha à son oreille pour lui parler:
-- J'ai besoin d'être baisée comme la dernière des chiennes... Tout de suite.
Le jeune homme en resta coi. Un moment, il se dit qu'il ne pouvait y avoir qu'une pute pour lui proposer ça aussi directement. Sinon pourquoi une femme aussi magnifique que celle-ci s'intéresserait à lui?
-- Je te promets de ne pas en vouloir à ton porte-monnaie, lui dit-elle après une autre gorgée.
Et en posant une main sur son paquet, l'agrippant fermement, elle rajouta:
-- Je n'en veux qu'à ta queue et ce qu'elle a à m'offrir. Où se trouve ton hôtel? J'espère qu'il n'est pas loin...
-- En fait, il est juste à côté...
Il n'eut pas le temps de rajouter quoi que ce soit. Anne-Valérie termina son verre cul-sec et lui prit la main pour le tirer vers la sortie.
Un peu paniqué, il jeta un coup d'œil à ses potes, qui levaient les pouces vers lui. Quelques secondes plus tard, ils marchaient main dans la main jusqu'à l'hôtel de Julien, puisqu'il s'appelait ainsi.
Son hôtel n'était qu'à 200m, et Anne-Valérie se félicita déjà de passer les portes sans que son téléphone n'ait déjà sonné. "À moi la victoire!" se dit-elle alors que le réceptionniste les regarda d'un mauvais œil. Il n'aimait pas que son hôtel soit devenu un lieu de passe, mais il n'avait pas d'autre choix.
Arrivée dans la chambre de Julien, Anne-Valérie se fit directive:
-- Déshabille-toi, je suis pressée... Je n'ai pas beaucoup de temps.
Sans trop savoir pourquoi, Julien s'exécuta. Il avait déjà une demi-molle et Anne-Valérie se félicita d'avoir repéré sûrement le seul mec du bar qui entretenait sa toison avec sérieux.
De son côté, elle ne fit que retirer son string, le jeter par-terre, et relever sa robe, avant de se pencher sur un meuble:
-- Bouffe-moi la chatte, d'abord...
Et en voyant cette croupe, douce, ronde, cette vulve déjà reluisante de cyprine surmontée d'un simple trait de poils, Julien ne pensa plus à rien d'autre. Elle voulait de la queue, elle allait en avoir!
Il se mit à la dévorer. Il se délecta de sa vulve, mais ne s'arrêta pas là et sa langue vint jouer avec son anus aussi. À plusieurs reprises, il osa même lui claquer les fesses, et décidément, Anne-Valérie se dit que son flair était à toute épreuve!
Excité par l'odeur de son amante de la soirée, Julien prit les choses en main. Il lui retira sa robe, voulait la voir nue, et ce qu'il découvrit manque de le faire jouir dans l'instant. Il était en train de se taper la nana la plus canon qu'il avait jamais croisé et ne comptait pas manquer l'occasion. Anne-Valérie le comprit vite, mais elle devait se presser. Il y en avait peut-être une autre qui était aussi en train de se faire déshabiller... voire pire!
Alors elle profita que Julien l'ait laissée un peu tranquille pour qu'elle termine de se mettre nue, et attrapa une capote dans son sac à main, puis se mit à genoux devant lui. Elle le suça allègrement, tout en caressant ses bourses pleines d'un foutre qu'elle se faisait déjà une joie de voir gicler de cette belle queue!
En un rien de temps, elle l'habilla de latex et se dirigea vers le plus proche endroit: un petit espace cuisine. Elle eut une rapide petite grimace. Un hôtel avec cuisine, ça voulait dire qu'il restait ici plusieurs jours et qu'il allait lui demander son numéro... Ils demandaient tous son numéro. Mais elle s'en occuperait le moment venu.
Elle prit appui sur la cuisinière et lui présenta sa croupe. Avec un sourire en coin, elle lui précisa:
-- Fais-toi plaisir, je suis pas en sucre.
Et ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd! Julien s'approcha d'elle et la pénètra d'un trait. Aussitôt, il se mit à la culbuter. Rapidement, il vint prendre ses cheveux et la tira vers lui.
Et Anne-Valérie dut bien s'avouer qu'elle kiffait ça. Peu d'hommes osaient la prendre comme ça, parce qu'ils savaient tous qui elle était, d'habitude. Cette fois, c'était différent, elle était juste une nana comme les autres, juste beaucoup plus canon. Et du coup, elle pouvait exprimer son désir comme bon lui semblait, aussi.
-- Oh quelle bonne queue! Vas-y, baise-moi! Comme une chienne!
Clac! Clac-clac! Le voilà qu'il se mettait à la fesser en la traitant de petite salope. Anne-Valérie n'y croyait pas, mais ça l'excitait à un point! Elle se mit à jouer du bassin en rythme avec lui, donnant encore plus de vigueur à ses coups de boutoir. Elle le sentait, son gland turgescent qui frappait au fond d'elle, sa tige veineuse qui limait son vagin, ses couilles qui claquaient contre son clitoris. Elle ne pensait plus au pari. Tout ce qu'elle voulait, c'était jouir de toutes ses forces, quitte à se faire humilier par cet homme, qui se mettait à la manipuler comme si elle était une poupée.
Il la releva et la retourna, et en l'agrippant par sa tignasse, lui baissa le visage vers sa queue reluisante de cyprine. Anne-Valérie ne se fit pas prier. Elle s'agenouilla et se mit à le pomper de toutes ses forces. Le gars lui enfonçait sa pine entière dans la bouche et elle l'avalait avec une surprenante facilité, malgré la douleur qu'il lui infligeait quand son gland écartait sa gorge pour se frayer un passage. Elle sentait ses larmes couler, son souffle devenir chaotique, mais bordel, elle en voulait encore! Son maquillage coulait, mais elle continuait d'ouvrir la bouche, se laissait baiser sans ménagement.
Et elle lui sourit, même, quand il la releva en la tirant par les cheveux. Il la chopa par les reins et la souleva pour l'asseoir sur la cuisinière. Aussitôt, elle ouvrit grand les cuisses et de ses doigts écarta ses lèvres pour lui présenter sa chatte prête à exploser:
-- On m'a jamais baisée comme ça... lui avoua-t-elle sur un ton qui suppliait Julien de ne pas s'arrêter.
-- Je ne baise pas tout le monde comme ça, lui répondit-il avec un sourire en coin.
Il vint contre elle et sa queue se faufila en elle comme si elle faisait partie d'elle. Alors elle l'entoura de ses jambes, le serra fort, pendant qu'il se penchait pour dévorer ses seins.
Elle allait jouir, elle le sentait que ça montait. C'était toujours pareil. À ce moment-là, elle s'abandonnait et se concentrait sur cette sensation, sur sa montée jusqu'à l'explosion. Mais cette fois, elle n'en eut pas le temps. À peine sentit-elle la pression dans son bas-ventre, que l'explosion l'envahit. Elle ne contrôla plus rien et entendit de loin la vaisselle tomber au sol et se casser.
Même Julien n'en avait rien à faire. Il continuait d'aller et venir, avec violence et respect à la fois. Il lèchait et mordillait ses seins, grognait de plaisir alors que son membre se retrouvait serré dans le vagin contracté d'Anne-Valérie qui criait sans retenue son plaisir.
Et ce n'est que lorsqu'elle sentit son corps se ramollir, après de nombreuses vagues orgasmiques, que Julien se retira d'elle. En le voyant retirer la capote de sa queue, elle se jeta dessus. Elle tomba littéralement à genoux devant lui et le suça. Elle le suça d'une façon nouvelle, d'une manière qui voulait dire merci.
Mais elle s'arrêta net.
-- Juste une petite seconde! dit-elle en courant vers ses affaires.
-- Qu'est-ce que...
Julien aurait bien voulu lui demander pourquoi elle avait besoin de son téléphone à ce moment, mais Anne-Valérie s'était déjà remise à le sucer, aspirant son gland, jouant de sa langue pour le faire venir lui aussi.
Grâce à son expérience en la matière, Anne-Valérie reconnut le moment exact où elle devait commencer à filmer. Un bras tendu vers le haut, elle cadra bien du premier coup et offrit sa bouche ouverte à Julien.
Celui-ci ne tarda pas à jouir à son tour. Sa langue et son visage reçurent le liquide épais de Julien et en même temps, elle souriait à son téléphone. Elle n'avait reçu aucun message entre temps et stoppa la vidéo au moment où elle suçotait le gland de Julien pour récupérer les dernières gouttes.
-- Envoyé! s'exclama-t-elle toute joyeuse.
-- C'est quoi ce délire?
-- Un pari entre copines, lui répondit-elle tout en récupérant le sperme de Julien avec un doigt pour l'avaler. Tu viens de me faire gagner une vie de débauche, Julien. Et d'une bien belle manière! Je peux utiliser ta salle de bain? Faut que je me remaquille!
-- Heu, ouais, bien sûr... C'est là-bas...
Elle récupéra ses affaires, sauf son string, et se dirigea vers la salle de bain alors que son téléphone n'arrêtait pas de sonner.
Tout en ramassant la vaisselle cassée, Julien l'entendait ricaner dans la salle de bain. Il ne savait pas trop ce qu'il devait penser de tout ça. Mais c'était certain qu'il allait s'en rappeler un bon moment!
Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, Julien avait repassé un caleçon. Elle le regarda et se dit qu'il était quand même sexy. Mais c'était une règle pour elle de ne jamais coucher deux fois avec un gars.
-- Est-ce que je peux prendre ton numéro? demanda-t-elle tout de même à Julien.
-- Heu... ouais, mais... Je ne suis dans le coin que pour quelques jours. Mais je serais ravi...
-- Ce n'est pas pour moi, le coupa-t-elle avant qu'il ne s'imagine quoi que ce soit. C'est pour mes copines. Elles adorent ta queue, et je peux te dire qu'elles sont toutes aussi bien foutues que moi!
Julien resta coi, ne sachant que dire. Anne-Valérie attendit une seconde ou deux, avant de rajouter:
-- Elles sont cinq... Et rêvent de se faire défoncer comme tu m'as défoncée...
Julien fonctionna alors au réflexe. Sur la petite commode près de l'entrée où il posait ses clés, il attrapa une carte qu'il tendit à Anne-Valérie.
-- Merci, lui dit-elle avec un large sourire. Réponds aux numéros inconnus, les prochains jours!
Puis elle ouvrit la porte et disparut, d'un pas léger.
Julien fut appelé par chacune des copines d'Anne-Valérie. Il mit un point d'honneur à leur offrir à chacune ce qu'elles attendaient de lui, et toutes furent plus que satisfaites.
Aujourd'hui, Anne-Valérie est mariée, et quelques fois, elle se rend dans ce bar, en souvenir de Julien, celui qui a ouvert ce quelque chose en elle, ce quelque chose qui fait que même son mari accepte ses escapades extraconjugales. Il sait qu'aucun homme seul ne pourrait assouvir tous les désirs de sa femme...

 

 

12/12/2024

 

Mon mari dit de moi que je suis une "serial jouisseuse". Il est vrai qu'il n'a jamais été aussi facile de faire jouir une femme, je pense.
Cela me vient forcément de mes premières découvertes de mon corps, avec mon oreiller, dans ma chambre d'adolescente. Aujourd'hui encore, je m'adonne à cette pratique avec plaisir! Et régulièrement, ça me prend d'un coup, où que je sois, quoi que je fasse... J'ai besoin de sentir quelque chose contre ma chatte. Quelque chose qui ne vient pas de moi. Combien de fois n'ai-je pas joui en silence sur la cuisse de mon mari?
Parce que oui, pour ça aussi, je suis devenue une experte! Lorsque la situation m'y oblige, je suis capable de jouir doucement, sans même que ça se voit... Sauf pour mon mari, qui a toujours l'œil pour ça.
Comme je le disais, ça peut me prendre n'importe où: au travail, je me frotte contre le bord de la chaise, imperceptiblement, car je travaille dans un open-space; pendant le shopping, je m'enferme dans une cabine et frotte un habit entre mes cuisses; dans le bus, contre le fauteuil; en promenade nature sur un tronc tombé au sol...
Avec le temps, mon mari a compris les signes qui précèdent une telle envie. Par exemple, lorsque nous sommes avec des amis, il est capable de me prendre sur ses genoux, sans un mot de ma part, sans un signe, même, juste au moment où cette envie monte en moi. Il fait cela sans perdre le fil de la discussion et continue pendant que je jouis sur lui...
Mais lorsque cela me prend alors que nous sommes à la maison, il me suit dans la chambre et me regarde faire l'amour avec mon oreiller... Avant de venir me prendre...

 

 

16/12/2024

 

Depuis 1936 et ses deux premières semaines de congés payés, le Domaine de la Dune vous accueille dans son havre de paix réservé aux naturistes. Au programme, comme tous les ans: mer, piscine, séances de méditation, yoga, massages intégraux, sauna, hammam, sports (dont nos fameuses randonnées sur les flancs du mont Sein Nu, comme nous l'avons rebaptisé)...
Les soirées qui y sont organisées mêlent joies de vivre et cultures, car la connaissance de soi-même passe par la découverte de l'autre.
Nous apportons une attention particulière au bien-être de chacun et chacune, et la porte du bureau de Solène, notre directrice gourmande vous sera toujours ouverte!
L'ensemble de l'équipe qui vous accueillera connaît parfaitement les motivations et contraintes d'un tel mode de vie, et nous travaillons tout le long de l'année dans l'esprit naturiste afin de proposer à nos usagers une expérience des plus enrichissantes.
La section "nuvice" (les novices du nu) accueille chaque année un peu plus de monde et nous nous en félicitons! Cette partie du domaine est réservée aux personnes encore un peu frileuses, ou qui souhaitent découvrir notre mode de vie, avant de se lancer dans le grand bain. Nous y organisons des débats, des groupes de parole, et autres activités physiques destinées à démystifier son propre corps comme celui de l'autre.
Cette année, nous focalisons sur la culture nipponne. Pour ce faire, nous avons renforcé notre équipe de quatre jeunes étudiantes qui ont appris notre langue. Elles vous feront découvrir cette fascinante et ancestrale civilisation, qui mêle avec délicatesse coutumes anciennes et modernité. Nous espérons que vous leur ferez bon accueil!

 

   

 

16/12/2024

 

Amanda se doute que la soirée va être particulière. Depuis une semaine qu'elle est au service de Madame Maurice, c'est la première fois que celle-ci lui demande de se préparer dans sa propre salle de bain, et même d'utiliser ses produits de beauté. Peut-être parce que depuis cette pièce, on n'entend rien de ce qui se passe dans la maison.
Amanda doit attendre ici, maquillée, sentir bon et être nue. Madame Maurice viendra elle-même la chercher. Il se passe bien une heure avant que la porte ne s'ouvre, une fois qu'elle a terminé de s'apprêter.
La maîtresse de maison entre et inspecte Amanda en la faisant tourner sur elle-même.
Elle lui pince et tire les tétons pour qu'ils soient plus proéminents; elle écarte ses fesses et s'accroupi pour goûter à sa rondelle du bout de la langue. Elle semble satisfaite. Enfin, elle lui demande d'écarter les cuisses et vérifie sa vulve.
-- Tu es toute sèche, lui dit-elle sur un ton de reproche.
Que cela ne tienne! Madame Maurice a eu une semaine pour savoir ce qui excite sa nouvelle servante. Elle plaque sa main sur sa vulve et caresse son périnée tout en l'embrassant sensuellement. Dans sa paume, elle ne tarde pas à sentir le clitoris d'Amanda se durcir légèrement, et ses fluides qu'elle apprécie particulièrement commencer à faire reluire ses lèvres.
Après quelques caresses de plus, Madame Maurice met fin au moment et prend la main d'Amanda.
-- Quoi qu'il se passe, aucun son ne sort de ta bouche tant qu'on ne te demande pas expressément de la faire.
Ensemble, elles se dirigent vers la salle à manger. Amanda s'était demandée si sa maîtresse avait invité des gens, mais aucun son ne provient de la salle. Pourtant, Madame Maurice ouvre la porte et la fait entrer en premier. Amanda découvre un homme, seul, assis à la grande table. Il la scrute aussitôt, comme si elle était une proie, un cadeau. Et Amanda se met à mouiller encore plus, sachant que c'est exactement le cas.
Alors qu'elle se tient devant lui, laissant la table entre eux deux, Amanda sent Madame Maurice venir contre elle, par-derrière.
-- Voici Monsieur Maurice, mon mari, lui dit-elle en posant de doux baisers sur son épaule.
Amanda penche la tête sur le côté, sans arrêter de regarder le mari de sa maîtresse. Celle-ci embrasse sensuellement son cou en l'enlaçant. Amanda se sent déjà toute chose, et le regard que Monsieur Maurice pose sur la main de sa femme qui vient titiller son clitoris la transporte dans un monde de luxure: il veut la dévorer.
-- Tu lui plais, souffle-t-elle à son oreille en agrippant un de ses seins. Mais Monsieur Maurice ne touche qu'à moi. Et il n'y a que moi qui le touche. Est-ce bien entendu?
Amanda hoche simplement la tête en se laissant aller aux caresses de sa maîtresse. Toutefois, une partie d'elle se demande bien où ces restrictions vont les mener.
-- Sais-tu ce qu'il aime, par-dessus tout? Fais-lui entendre ta douce voix, Amanda.
-- Non, Madame, répond alors Amanda avec sa voix la plus sensuelle possible. Je ne sais pas ce que votre mari aime par-dessus tout... Si ce n'est vous, Madame.
La maîtresse des lieux, tout en jouant avec les tétons bien durs d'Amanda, ricane doucement.
-- Cela va de soi. Mais ce qu'il aime par-dessus tout, c'est me voir jouir dans les bras d'une autre personne. D'autant plus s'il s'agit d'une femme aussi belle que toi. Je suis sûr qu'il bande déjà, rien qu'à l'idée de nous voir toutes les deux. Qu'en penses-tu?
-- Je ne sais pas, Madame, répond Amanda avec un sourire en coin. Peut-être devriez-vous vérifier?
-- Il va nous montrer ça lui-même.
Sans un mot, Monsieur Maurice se lève et Amanda découvre qu'il ne porte pas de pantalon. Son sexe est dur comme la pierre, les veines saillantes, et ses bourses semblent lourdes, au point qu'elles pendouillent assez bas sous sa verge. Amanda reste regarder ce beau membre quelques secondes, ne se rendant même pas compte que Madame Maurice ne l'enlace plus.
-- Tu lui fais de l'effet, c'est parfait. J'étais sûre que tu n'aurais aucun mal à le faire bander.
Par réflexe, Amanda a détourné le regard vers sa maîtresse et la découvre nue pour la première fois de la semaine. Elle est magnifique et la dame le voit dans le regard de sa servante.
Elle monte alors sur la table, se met à quatre pattes, la croupe tournée vers Amanda et lui ordonne:
-- Fais plaisir à mon mari, et fais-moi jouir, Amanda.
Les lèvres de Madame Maurice sont reluisantes de cyprine, déjà. Elles sont aussi grandes ouvertes et Amanda peut admirer l'entrée de son vagin tout rose.
La servante ne se fait pas prier. Elle s'approche de sa maîtresse et pose délicatement ses mains sur ses fesses pour les écarter. Elle se penche et pose sa bouche sur le clitoris de Madame qui, elle, fixe son mari, toujours debout devant elle, la queue tendue vers son visage. La langue d'Amanda file le long des lèvres trempées de sa maîtresse après avoir suçoté son clitoris jusqu'à lui arracher ses premiers gémissements de plaisir.
Amanda a bien vite remarqué que sa maîtresse aimait lui lécher ou lui doigter l'anus. Persuadée que c'est parce qu'elle-même aime ça, Amanda remonte sa langue jusqu'à son petit trou. Les gémissements se font plus intenses. Amanda enfonce donc son visage entre les fesses de sa maîtresse et la lèche abondamment. D'une main libre, elle vient titiller son clitoris du pouce.
-- Oh oui! s'exclame Madame Maurice. Regarde cette salope qui me bouffe le cul. Ce cul que tu aimes tant baiser, mon amour. Oh! Elle y entre la langue, la gourmande!
Madame Maurice n'est pas la première maîtresse d'Amanda, et lorsqu'elle s'est elle-même mise en vente pour éponger les dettes de ses parents, Amanda a été formée à ce genre de service.
Elle est une véritable experte. Elle aurait pu s'arrêter à sa première vente, et après ses six mois au service d'une maîtresse richissime, retourner à sa vie d'étudiante. Mais Amanda avait pris une autre décision. Elle enchaîne les ventes les unes après les autres, dès que le contrat de location se termine dans une famille. Dès lors, l'argent lui revient à elle, et seulement à elle, maintenant que ses parents ne sont plus endettés. Elle est déjà à la tête d'une coquette somme, mais le plaisir prend le dessus à chaque fois: chaque famille sait lui réserver des surprises!
Et celle que Madame Maurice lui a préparé restera dans les annales, sans jeu de mots! Elle sent sa maîtresse fondre littéralement à chaque fois que sa langue remue dans son anus. Elle la doigte maintenant en même temps et fait clapoter sa chatte. Sa maîtresse gémit, couine même. Sa tête est déjà retombée sur le bois de la table et son mari se branle en les regardant.
Sentant Madame Maurice commencer à perdre pied, elle décide de l'achever, espérant que Monsieur ait le temps de jouir aussi, ou que Madame soit multiorgasmique.
Avec douceur, légèreté et soin, elle retourne sa maîtresse qui se retrouve sur le dos, son mari se branlant juste au-dessus de son visage. Si Amanda prend beaucoup de plaisir à le regarder se masturber, Madame Maurice semble ne pas en faire cas.
Avec un sourire en coin pour sa maîtresse, Amanda lève une jambe et pose le pied sur la table, par-dessus la cuisse de sa maîtresse. Elle tire doucement la dame vers elle, pour que sa croupe pende dans le vide. Leur deux sexes se collent l'un à l'autre. En position de ciseaux improvisée, Amanda frotte allègrement la vulve et le clitoris de sa maîtresse avec les siens. Leur cyprine se mélangent et le mari se branle encore plus frénétiquement, bien que son visage reste totalement impassible.
Madame Maurice pose un regard hagard sur sa servante:
-- Je vais te jouir dessus, ma magnifique salope...
Mais Amanda ne lui laisse qu'à peine le temps de terminer sa phrase. Elle glisse un doigt entre ses fesses et termine le travail commencé. Sa maîtresse crie son plaisir sans retenue, et elle-même sent qu'elle pourrait jouir ainsi. Elle doit pourtant rester silencieuse, comme l'avait précisé sa maîtresse. Ce qu'elle fait avec brio.
Madame Maurice accroche son regard au sien et se tend de tout son corps. Elle explose littéralement, et à la grande surprise d'Amanda, son mari explose exactement au même moment, alors qu'il ne donnait aucun signe d'orgasme. Ces deux-là sont spéciaux, se dit Amanda en voyant sa maîtresse prise de tremblements et le foutre de son mari venir souiller ses beaux seins en poire, son cou et son visage.
Monsieur Maurice, toujours sans un mot, remonte son pantalon et s'éclipse pendant que sa femme reprend son souffle.
Amanda attend un peu avant de bouger, gardant sa vulve contre celle de sa maîtresse, et son doigt dans son séant. Elle ne se retire que lorsque Madame Maurice lui sourit:
-- Je crois que tu as dépassé toutes mes attentes, Amanda. Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu dans cet état.
Amanda ne demande rien, bien qu'elle soit étonnée, car Monsieur Maurice n'a rien exprimé sur son visage, et encore moins en mots.
-- Dois-je? demande alors Amanda en désignant le sperme sur la peau de sa maîtresse.
-- S'il te plaît, oui.
Amanda s'exécute alors, léchant la peau de sa maîtresse partout où son mari s'est répandu, la nettoyant avec autant d'affection que d'efficacité.
-- Tu vas passer la nuit dans la chambre verte, Amanda. Je l'ai faite préparer pour toi.
Étonnée encore une fois, Amanda sait que cette chambre est réservée aux très bons amis du couple Maurice, juste en face de leur propre chambre, où Amanda n'a jamais mis un pied.
Elles s'y rendent ensemble, main dans la main. Sa maîtresse l'embrasse même avant qu'elle ne s'engouffre dans cette chambre luxueuse.
-- Laisse la porte entrouverte, lui dit Madame Maurice.
-- Bien Madame, bonne nuit Madame.
En guise de réponse, Amanda ne reçoit qu'un fin sourire. Elle décide de ne pas se débarbouiller et de sauter directement sous les draps. Là, elle commence doucement à se caresser. Elle est la seule à ne pas avoir joui, et personne ne l'a empêchée de se masturber depuis son arrivée.
Rapidement, derrière les petits clapotements de sa chatte, Amanda commence à entendre d'autres bruits. Elle s'arrête et tend l'oreille. Puis reprend de plus belle après avoir compris ce qu'étaient ces sons: Monsieur Maurice corrige sévèrement sa femme après qu'elle l'ait ainsi rendu cocu et la traite de tous les noms. Au bout d'un moment, elle se rend même compte qu'il ne s'agit pas uniquement de fessées. Sa maîtresse hurle de douleur et de plaisir mêlés, et les claquements, Amanda les reconnaît parfaitement. Il s'agit d'un ustensile style bambou, et les petits cliquètements sont ceux de chaînes ou de menottes. Amanda comprend alors: plus il prend du plaisir à la voir faire, plus la correction est douloureuse... et plus le plaisir de Madame Maurice est grand.
Amanda écoute et se caresse en même temps, rêvant de les rejoindre dans cette chambre...