La suite de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2024...
18/12/2024
Un petit background au dernier post... Une fois n'est pas coutume!
Églantine s'est récemment mariée à Valentin Maurice. Depuis, elle se pavane dans les quartiers chics en mettant son alliance bien évidence! Il faut dire que Valentin (que tout le monde appelle "Monsieur Maurice" avec beaucoup de respect) est à la fois un homme d'affaire implacable, et un grand bienfaiteur de la communauté.
Il va de soi que dès leurs fiançailles, et donc l'officialisation de leur relation, Églantine devait quitter son travail et devenir "Madame Maurice". Certaines jeunes femmes de la haute société ont bien espéré jusqu'au jour des noces que Monsieur Maurice change d'avis. Et en voyant toutes ces jeunes femmes aux formes aussi voluptueuses que les siennes, Madame Maurice a aussi craint, au fond d'elle, que cela n'arrive.
Mais depuis quelques semaines, c'est fait! L'homme qu'elle aime tant l'a épousée, et elle est prête à tout pour faire de lui un homme heureux! Et inversement!
Monsieur Maurice sait très bien à quel point le physique de sa femme est important. Pour elle, comme pour lui, mais aussi certains de ses clients.
Alors, lorsque l'excitation des épousailles est retombée, celui-ci a offert un abonnement illimité aux cours de tennis du club qui se trouve à quelques pas de leur demeure.
Tous les jours, Madame Maurice s'y rend et demande explicitement que le cours soit assuré par Pierre. Son CV est impressionnant, car il est monté à la quinzième position dans le classement ATP! On l'a vu à plusieurs reprises au tournoi de Rolland Garros, où il a même fait quelques exploits, en se hissant même une fois en demi-finale. Alors quel meilleur prof que celui qui a fait trembler les meilleurs au monde?
Et puis, il n'est pas désagréable à regarder, en plus. Et vu que Monsieur Maurice passe énormément de temps à son travail, de jour comme de nuit, fantasmer sur son prof de tennis et flirter un peu avec lui rend les journées de Madame Maurice un peu moins monotones.
Ce matin-là, elle est restée trainer au lit jusqu'à plus tard que d'habitude. Il lui a donc fallu se presser pour être à l'heure à son cours, sans même prendre le temps de se faire jouir, comme elle le fait à chaque réveil, avec ou sans son mari.
C'est peut-être pour ça qu'elle a osé des gestes plus tendancieux que d'habitude. Lorsque ce bel homme se tenait derrière elle pour qu'elle positionne bien son corps au moment du service, la voilà qui se cambrait trop pour que ses fesses rebondies frottent l'entre-jambe du sportif. C'est peut-être aussi pour la même raison qu'elle n'a eu de cesse de baisser les yeux sur son short pour vérifier si ses petits jeux avaient un effet.
Et ils en avaient. Le regard de Pierre a changé, presque d'un instant à l'autre. Et lorsqu'une fois de plus, il se tenait derrière elle, et qu'elle s'est cambrée pour lui faire sentir ses fesses, c'est elle qui l'a senti. Il bandait clairement. Il lui a attrapé les seins, et elle n'a pas su se refuser. Elle a lâché un gémissement qui ne pouvait être qu'un appel à encore plus de luxure.
Mais elle est "Madame Maurice"! Elle ne peut pas se permettre de se faire surprendre à se faire tripoter par le prof de tennis du club! Qu'à cela ne tienne! Errant dans le club en fantasmant sur son prof, elle avait repéré depuis quelques jours un endroit dans les fourrés à l'abri des regards.
Elle a donc donné à Pierre rendez-vous à cet endroit, après s'être changée au vestiaire. Lorsqu'il l'a rejointe, son short était encore tendu, et elle était trempée.
Elle n'a pas voulu y aller par quatre chemins. Sans un mot, elle lui a baissé le short et s'est mise à le pomper pendant qu'il lui retirait sa robe maladroitement.
Mais au moment où elle lui a tendu un préservatif, elle a eu comme un moment d'hésitation, alors que Pierre lui a fait signe qu'il n'en voulait pas:
-- Là où je vais aller, y a aucun risque, lui dit-il.
Le moment d'hésitation n'a pas duré bien longtemps. Se faire enculer. Ça faisait si longtemps!
Elle s'est donc appuyée au premier arbre, puis lui a offert sa croupe. Pierre n'est pas doué qu'au tennis, et il a bien pris le temps de la préparer de sa langue et ses doigts avant de fourrer son membre bien dur dans son séant.
Ce qu'Églantine n'avait pas pensé, c'est que prise par le cul, il lui était presque impossible de retenir ses gémissements et ses cris.
Ce matin-là, Monsieur Maurice avait un rendez-vous en ville. Cette réunion était une pure formalité et elle a duré bien moins longtemps que prévu. Il s'est donc dit qu'il irait chercher sa femme à la fin de son cours de tennis pour l'amener au restaurant... ou peut-être la baiser. Ou les deux! Après tout, il pouvait se permettre de reculer les rendez-vous de l'après-midi et prendre un peu de temps pour elle. Depuis le mariage, il avait bossé comme un fou.
Il ne l'avait pas trouvée sur les courts, alors il l'a attendue au bar, ne pouvant pas la rater quand elle sortirait des vestiaires. Elle tardait pourtant.
-- Marianne! Vous n'auriez pas croisé ma femme au vestiaire?
-- Ah non, Monsieur Maurice, désolée. Par contre, je sais qu'après sa leçon, elle aime bien aller se promener dans le parc. Peut-être que vous l'y trouverez!
-- Merci beaucoup Marianne. Et vous êtes magnifique aujourd'hui.
Marianne avait rougi. Elle faisait partie de celles qui lui avaient fait du rentre-dedans avant ses noces, et cette petite phrase lui a fait penser qu'après tout, le divorce existe!
Monsieur Maurice a donc terminé son verre et est parti dans le parc. Vous vous doutez bien que les couinements de sa femme sont arrivés à ses oreilles, et qu'il a fini par trouver le petit coin à l'abri où sa femme se faisait prendre par le cul par son prof de tennis!
Monsieur Maurice n'est pourtant pas intervenu. Faire un scandale dans le club n'est pas son genre. Ruminer des vengeances, par contre...
Le couple leur tournait le dos, donc ils ne l'ont pas vu, ni entendu (à cause des gémissements de plaisir que Madame Maurice n'arrivait pas à retenir). Pierre était vigoureux et la baisait sans retenue, n'essayant même pas d'y aller plus calmement pour qu'elle puisse se retenir. Il doit se douter que c'est une chance unique, se dit Monsieur Maurice alors qu'il avait les yeux rivés sur le petit trou de sa femme écarté par la bite de Pierre.
-- Vous êtes une sacrée salope, Madame Maurice.
-- Une vraie chienne, quand on m'encule de cette façon! Continue!
Monsieur Maurice a hésité un moment. Il a été à deux doigts de les interrompre et de défoncer la gueule de ce petit salopard. Mais il y avait quelque chose d'excitant qui l'a empêché de passer à l'acte.
Dès que Pierre s'est retiré du cul de sa femme pour lui jouir dessus, Monsieur Maurice s'est éclipsé discrètement.
Tant et si bien que lorsque Madame Maurice est ressortie des fourrés, deux minutes avant Pierre, elle croyait être passée inaperçue.
-- Monsieur Maurice vous cherchait il y a quelques minutes, mais il ne vous a pas trouvée. Il avait une réunion importante, apparemment, et ne pouvait vous attendre, lui dit le portier du club.
Elle savait qu'elle avait tout un après-midi tranquille pour se remettre de ses émotions. Elle est donc rentrée et est allée sous la douche. Puis elle a choisi des vêtements. Une tenue affriolante pour le retour de son mari.
Quelle ne fut pas sa surprise de le voir assis dans le canapé du salon, juste après qu'elle ait avalé un petit morceau!
-- Chéri! Je pensais que...
-- Tais-toi! Et viens t'asseoir près de moi.
Valentin ne lui avait jamais parlé sur ce ton. Elle en a été très surprise, mais s'est exécutée, plus par curiosité de connaître la raison, que par crainte. Valentin n'était pas le genre d'homme à menacer une femme.
Pourtant, son regard avait quelque chose de méchant. Il n'a dit que quelques mots:
-- Je t'ai vue.
Il a semblé à Églantine que sa vie défilait devant ses yeux. Elle venait de tromper son mari, et il l'avait vue faire! En plus, ce n'était pas juste une petite partie de jambes en l'air. Elle s'était faite enculé avec force mots dégradants! Il allait donc la virer, divorcer, et faire en sorte que sa vie devienne un enfer.
Son visage s'est décomposé devant lui, et c'est sûrement la crainte qu'il a lu dans ses yeux qui l'a poussé à faire tout ce qui a suivit.
Sa main s'est emparée de son visage. Elle s'est retrouvée les joues écrasées, les yeux humides. Elle était prête à éclater en sanglots et à s'excuser, mais les mots qui sont sortis de la bouche son mari ont eu un tout autre effet, bien qu'elle avait toujours été persuadée qu'elle n'aimerait pas être traitée de la sorte par lui, que ça n'irait pas avec son standing:
-- Une sale chienne en chaleur. C'est tout ce que tu es, une pute qui mérite une correction.
Églantine s'était trompée sur le compte de son mari. Ce genre de réaction lui allait très bien. Malgré la peur, une partie d'elle a trouvé ça sexy.
-- Tu l'aimes, ton cul, hein? lui a-t-il sorti en la tirant vers elle.
Surprise, elle s'est retrouvée allongée sur ses genoux, et avant qu'elle ne comprenne ce qui se passe, il lui relevait sa robe.
-- Puisque t'aimes ça, montrer ton cul, tu peux le montrer à ton mari, non?
Elle n'a rien répondu à ça. Pour deux raisons: d'abord, une des mains de son mari avait agrippé sa belle chevelure blonde et lui maintenait le visage enfoncé dans l'assise du canapé, empêchant ses mots d'être de toute façon compréhensibles. Ensuite, il n'avait pas fini sa phrase que son autre main claquait violemment sur ses fesses.
Il n'a eu de cesse, pendant ce qui est apparu à Églantine une éternité, de la claquer là. Une fesse après l'autre, parfois dix fois d'affilée sur la même avant de changer de côté. Il passait clairement ses nerfs sur la partie de son corps qu'elle avait offerte à Pierre.
La douleur a libéré les larmes. Elle a commencé à se débattre, mais Valentin l'a maintenue fermement, et les claques se sont faites encore plus violentes. Aujourd'hui, Églantine vous dirait que ça a duré pas loin de 10 minutes. Mais elle n'avait pas de montre. Valentin, lui (qui n'avait pas pris le temps d'annuler ses rendez-vous et n'aimait être en retard), sait exactement qu'il a passé 27 minutes à s'acharner sur les fesses de sa femme.
Beaucoup de veines ont explosé ce jour-là, mais Églantine a fini par supporter mieux la douleur. Elle a continué de pleurer, mais elle est aussi devenue plus présente, plus consciente.
Sous son ventre, elle a nettement senti l'érection de son mari. Et il ne s'est pas agit d'une demi-molle. Peut-être même qu'elle ne l'avait jamais senti aussi dur jusque-là. Et elle-même était trempée, elle dégoulinait et ses plaintes se sont mises à ressembler à des gémissements de plaisir.
Puis il s'est levé et est parti à son travail sans un mot. Il l'a laissée là, les fesses à l'air, honteuse, le maquillage dégoulinant sur ses joues, les yeux rouges, et les fesses encore plus. Par endroits, elles étaient rouge cramoisi. Les veines explosées avaient tourné au noir.
Il lui a fallu un long moment avant de trouver le courage de se relever. Rester assise lui étant impossible, elle a retiré sa robe qui lui faisait mal aux fesses en les frottant, et s'est activée en réfléchissant sur ce qui s'est passé.
Aujourd'hui, elle le sait très bien. Ce jour-là, elle a découvert son côté maso, et son mari son côté sadique. Pendant de longs jours, il ne se sont presque pas parlé. À la grande surprise de Madame Maurice, c'est Monsieur lui-même qui a fini par briser la glace (ce qui fait partie des innombrables raisons pour lesquelles elle l'aime tant):
-- J'ai honte de ce que je t'ai fait, Égly. Un homme normal aurait simplement défoncer la gueule de ce connard quand il vous aurait surpris. Mais pas moi.
-- Je...
-- Laisse-moi finir. J'ai honte, et en même temps, j'ai adoré. Pas juste te fesser. J'ai adoré te voir comme ça, tout autant que te corriger.
Églantine a semblé rester un moment interdite, et Valentin a eu peur d'avoir trop dévoilé. Mais Madame Maurice se disait simplement que la vie est parfois bien faite. Ils s'étaient trouvés. Sans le savoir avant leur mariage, ils s'étaient trouvés.
-- J'ai adoré la correction, aussi. Pour tout te dire, il m'est arrivé de me caresser en y repensant.
Le ricanement de Valentin a été un soulagement. Églantine s'est lovée dans ses bras, comme jamais. Et après un baiser plein de bons sentiments, elle l'a regardé avec ses yeux plein de désirs ardents:
-- Tu recommences quand tu veux.
Le sourire en coin de son mari l'a propulsée dans un monde de luxure dont elle n'est plus jamais revenue.
-- Si toi aussi tu recommences, alors...
19/12/2024
Pendant longtemps, j'en ai eu honte. Je me souviens encore de ces moments gênants au vestiaire, au collège, où je faisais en sorte que personne ne puisse remarquer la petite bosse dans ma culotte.
Cette légère bosse qui me faisait déjà honte n'a cessé de grandir. Au lycée, j'étais la seule à ne jamais mettre de fringues moulants, ni de robes (de peur que quelqu'un s'amuse à la soulever et voit cette extension honteuse entre mes jambes).
Pourtant, une fois seule dans ma chambre, j'aimais déjà regarder cet énorme clitoris, le faire bander et jouir en jouant avec. Il était mon petit secret, mais certaines pulsions me poussaient de plus en plus vers les mecs. J'étais loin d'être moche, mais ce que je portais ne me mettais pas en valeur. J'avais eu un ou deux copains, et histoire de les amadouer, je les suçais volontiers. Je suis même rapidement devenue une experte. Par contre, lorsqu'ils voulaient aller plus loin, la honte revenait, malgré moi. Je ne les laissais pas mettre leur main dans ma culotte, ou évitais de trop me coller à eux quand j'étais excitée.
Mais on a beau dire ce qu'on veut, la masturbation n'est pas suffisante, particulièrement à cet âge-là. C'est pendant l'été entre la première et la terminale que je me suis lancée. Comme tous les ans, on allait au camping avec mes parents. Jamais personne, là-bas, n'avait vu le bas de mon maillot de bain, ça va de soi (et bien sûr, je n'avais plus nagé depuis bien longtemps! J'avais toujours une bonne excuse: aquaphobie... mon médecin avait été plutôt tolérant sur ce coup-là).
Comme d'habitude, donc, j'enfilais mon maillot (bikini, à cet âge-là) et portais un paréo en bas. Il me suffisait de me mêler au groupe de jeunes surfers. Et ça n'a pas loupé. Le deuxième soir, j'étais dans les bras de Gaetan. Il avait 19 ans et moi 16, mais ça n'avait pas l'air de le déranger.
-- Je ne ferai rien de mal, m'avait-il dit, les mains posées sur mes fesses, à la suite d'un baiser qui m'avait mise dans tous mes états.
Mais je voulais qu'il le voie. Coucher avec lui n'était pas forcément ce que j'attendais. Je voulais voir sa réaction face à mon clitoris bandé, qui ressemble tant à une petite queue.
Notre baiser l'avait lui aussi émoustillé, et vu qu'il ne portait qu'un short, je ne pouvais que le remarquer. J'ai posé ma main sur sa bosse et lui ai répondu:
-- Moi, par contre...
Quelques minutes après, Gaetan giclait dans ma bouche. J'ai adoré le fait qu'il n'hésite pas à m'embrasser juste après. Il était allongé dans le sable, le soleil s'était couché depuis un moment déjà, mais ses amis avaient fait un feu plus loin qui nous éclairait légèrement. Je me suis allongée près de lui, une main posée sur son sexe, et je caressais ses bourses. Mon cœur battait la chamade. Je voulais absolument lui montrer.
-- Tu peux peut-être me rendre la pareille... lui dis-je timidement, la voix légèrement tremblante.
-- Tu es sûre de toi?
-- Bien sûr...
Et le voilà qui m'embrassait à nouveau. Il mit un temps fou à descendre jusqu'entre mes jambes. Mon cou et mes seins semblaient lui plaire beaucoup. Lorsqu'il a défait le paréo, il n'a rien remarqué. Il faisait trop sombre. Pourtant je le sentais, érigé comme jamais. Il a posé sa main sur le tissu de mon maillot, et j'ai explosé aussitôt. Les deux sensations l'ont surpris. D'abord le fait que je jouisse alors qu'il n'a fait que poser sa main sur moi, et le fait de sentir ce petit pic sous sa paume.
-- T'es...
-- Non! S'il te plaît, continue...
J'avais fermé les yeux. S'il enlevait sa main et s'en allait en pensant que j'étais un mec, je ne voulais pas le voir faire. À travers le tissu, j'ai senti ses doigts sur ma vulve qui dégoulinait littéralement. Sûrement rassuré par toute cette humidité spécifiquement féminine, et l'absence de deux boules, il a terminé de me mettre à nue. Ses doigts couraient sur mes lèvres et sur mon clitoris, surtout sur mon clitoris. Il ne dit rien, mais ses gestes parlaient pour lui. Sa douceur était exactement ce dont j'avais besoin pour cette première fois. Je pouvais même sentir son souffle partout sur mon sexe, parce qu'il s'était approché pour mieux le voir. Lorsque ses doigts sont venus en moi, sa bouche s'est emparée de mon petit membre. La joie s'est mêlée et plaisir, et on m'a entendue jouir jusqu'au feu!
À la fin des vacances, j'étais toujours vierge, mais grâce à Gaetan, j'avais retiré mon paréo. J'ai bien remarqué des regards le premier jour, car même sans être excitée, mon pubis n'était pas aussi plat que les autres filles. Personne n'a rien dit, ni même mes parents ou mon frère. Vous n'imaginez pas à quel je me sentie bête d'avoir ressenti cette honte pendant des années!
La première personne avec qui j'en ai vraiment parlé, c'est ma meilleure amie, dès mon retour de vacances, et elle m'a promis que si quelqu'un se moquait de moi à cause de ça, cette personne aurait affaire à elle!
Je pouvais enfin être moi-même, et aujourd'hui, j'en suis fière. Les hommes aiment plus sucer qu'ils n'osent l'avouer et je me devais d'être une femme multi-orgasmique, car ils passent beaucoup de temps avec mon clitoris avant de me baiser! Et que vous dire? Je crois que peu de femmes ressentent les frottements de deux corps l'un contre l'autre, ou des couilles qui claquent sur leur clito, avec la même intensité que moi. Cette excroissance est loin d'être honteuse. Elle fait de moi le meilleur coup de beaucoup d'hommes durant leur vie, je pense!
Et même de plusieurs femmes, pour tout vous avouer...