La suite de mes posts publiés sur le réseau Mewe en 2025...
09/01/2025
Le petit pervers d'à côté. Il croyait que je ne l'avais pas remarqué? Depuis un mois que mon mari travaille de nuit, nous avons instauré un rituel: je lui vide les couilles juste avant qu'il ne parte. Lorsqu'il est prêt, j'ouvre son pantalon et le suce. La plupart du temps, nous sommes au salon, tout près de l'entrée. Et je le sais maintenant. Steve, le fils de nos voisins nous regarde. Tous les soirs.
Ce que mon mari ne sait pas, c'est qu'une fois qu'il a giclé sur mon visage, dans ma bouche ou sur mes seins, je m'installe dans le canapé et me caresse. J'adore mêler son foutre encore chaud à ma cyprine.
Cela fait un mois que nous faisons ça, et trois semaines que j'ai remarqué le petit voisin. La fenêtre de sa salle de bain donne sur notre baie, et s'il se baisse assez, il peut me voir sur le canapé, de profil. Mais c'est lorsqu'il s'est approché que je l'ai remarqué. Le jeune mâle en rut avait cru trouver un endroit dans la haie où il pensait passer inaperçu.
La première fois que je l'ai grillé, j'avoue avoir été embêtée. Je n'ai pas vraiment fait attention, sur le coup. J'avais cru voir la haie bouger, mais j'étais déjà dans un tel état qu'il m'avait fallu terminer quand même. Lorsque j'avais repris mes esprits, j'avais beau fixer la haie, rien ne bougeait.
Le deuxième soir, pareil. Une fois installée dans mon canapé, le visage inondé de sperme, j'ai remarqué la haie bouger. J'avoue que je me suis dit qu'il s'agissait peut-être du voisin lui-même et ça m'a excitée un peu.
Mais une fois remise de mes émotions et rhabillée, je me suis empressée de sortir et me suis dirigée vers la haie. Bien sûr, il n'y avait plus personne, mais je ne pouvais plus avoir aucun doute: du sperme perlait encore du feuillage du laurier.
Il a fallu plusieurs jours avant que je ne sois fixée sur la personne qui m'espionnait ainsi. C'était une journée de grand soleil, et j'avais mes lunettes de soleil dans mes cheveux en vidant les couilles de mon mari. Je l'ai terminé exprès avec mes gros seins. Dès qu'il a fermé la porte, j'ai fait tomber mes lunettes sur mon nez et me suis installée dans le canapé. Ainsi, je pouvais scruter l'endroit de la haie où il venait tous les jours sans lui faire peur. J'avais dans l'idée, une fois repéré, d'aller le voir directement et jouer les femmes effarouchées. Me faire jouir en étant observée me rendait super excitée, en vérité. Mais il y avait un petit truc malsain qui me gênait... après avoir joui.
Cette fois n'a pas fait exception. Lorsque j'ai enfin repéré son visage parmi les feuilles, cela m'a excitée comme rarement. C'est là que je me suis rendue compte qu'il y a un pas entre le fait d'être "sûrement" observée et l'être vraiment. Au lieu de me lever et d'aller lui faire un scandale, j'ai écarté les jambes encore plus. Je suis certaine qu'il ne pensait pas que je puisse le voir, mais je le voyais maintenant clairement. Il me fixait, le visage crispé, je devinais facilement avec quelle frénésie il astiquait son manche, mais je ne voyais pas sa main. J'ai joui en le regardant. Fort. C'était si excitant, si inhabituel... tellement pervers. Lorsque je l'ai vu partir, je me suis vite rhabillée et ai filé à son endroit pas si secret. Je trouvais ça mal, mais j'ai goûté à son foutre.
J'ai eu peur qu'il ne me voie aller jusqu'à la haie et, assuré qu'il était grillé, ne plus oser venir. Mais le lendemain, il était encore là. Je ne pouvais pas refaire le coup des lunettes de soleil. Mais je savais qu'il était là, et prenait des positions qui lui offraient un beau spectacle à chaque fois. Parfois, j'allais même chercher un de mes jouets et l'utilisait pour lui. Combien de fois ai-je fantasmé qu'il vienne me rejoindre? Qu'il ose sortir de cette haie et me montre sa queue que je n'avais toujours pas réussi à voir. Puis je reprenais mes esprits et me disais que ça ne devait rester qu'un fantasme. Après tout, j'étais presque sûre qu'il n'était pas majeur. Et sûrement puceau.
Puis il y a eu ce week-end. Dans l'après-midi, j'ai croisé Églantine, sa mère. Elle était toute radieuse, me disant que son fils Steve allait fêter ses 18 ans et qu'ils lui laissaient la maison, en profitant pour s'offrir un week-end en amoureux.
Mon mari ne travaillait pas, bien sûr, et nous avons fait notre vie. Mais cette information m'a travaillée pendant les deux jours. Ce matin, lundi, j'avais pris ma décision.
Mon mari vient me dire au revoir alors que je suis déjà assise dans le canapé. Doucement, je sors sa queue et le suce avec douceur tout en me caressant déjà. Quelques coups d'œil vers la haie me font rapidement comprendre que Steve est déjà là. Je prends mon temps avec mon mari, montre à Steve quelle experte je peux être en matière de fellation. J'avale la queue de mon homme jusqu'à la garde, lui lèche les bourses, les aspire tout en le branlant. Cette fois, il vient dans ma bouche. Mon palais reçoit ses décharges et j'avale tout en lui souriant avant de poser un bisou sur son gland encore gonflé et de ranger son attirail.
Une fois qu'il est parti, je me lève du canapé, comme il m'est déjà arrivé souvent pour aller chercher un jouet dans ma chambre, à l'étage.
Dans le couloir, je sais que Steve ne peut pas me voir. Au lieu de monter dans l'escalier, j'ouvre la porte du garage, tout au fond, et sors par derrière. Tout doucement, je m'approche du coin de la maison, en me baissant au moment où je passe au niveau de la fenêtre de la cuisine, pour être sûre qu'il ne me voie pas arriver. Le cœur battant à tout rompre, je reste un instant plantée là, contre le mur. Il me suffit de faire un pas, et il me verra. Il suffit d'un pas et je le trouverai là, la queue à l'air. Il me suffit d'un pas et sa vie sexuelle va changer du tout au tout. Il n'est qu'à deux ou trois mètres de moi. Je peux même entendre le bruit des feuilles par moments, quand il s'astique pour maintenir son érection en attendant que je revienne. Tout à coup, j'entends même sa voix:
-- Allez, reviens, voisine. Montre-moi tes gros seins, ta chatte profonde, espèce de grosse salope...
Si ce mot peut souvent m'exciter au plus haut point, lorsqu'il est dit sur ce ton, ça a plutôt l'effet inverse. Surtout venant d'un petit con en train de mater sa voisine à son insu. Il ne m'en faut donc pas plus pour faire ce pas. Non seulement je fais un pas, mais en plus je me dirige tout droit sur lui:
-- Elle est là, la salope!
Le pauvre n'a pas le temps de rien faire. Il devait se sentir tellement en sécurité dans ce coin de haie, à me mater peinard depuis un mois, qu'il avait descendu son pantalon aux chevilles. Je l'attrape alors par le bras et le fais sortir, l'obligeant à sautiller. Il est même à deux doigts de finir face contre le sol, mais je le retiens.
Il me regarde avec des yeux exorbités, et essaye de se baisser pour relever son pantalon, mais je l'en empêche. Il est rouge écarlate, et son érection retombe encore plus vite qu'il ne faut de temps pour l'écrire.
-- Je... Je suis désolé, je ne... Oh bordel...
Je le regarde paniquer quelques secondes. Quelque part, j'avais sûrement espérer qu'il ne réagirait pas comme ça et qu'il en profiterait, plutôt. Mais contrairement à lui, je suis pleine de ressources et sais m'adapter à différentes situations. L'expérience de l'âge.
-- Alors comme ça, une femme qui aime se faire plaisir est une grosse salope? Comment t'as été éduqué, toi? Je devrais peut-être en toucher deux mots à tes parents!
-- Non-non! S'il vous plaît, Madame Legrand! Je vous promets que je recommencerai pas!
Je ne peux m'empêcher de continuer de sourire. Je suis passée de grosse salope à Madame en quelques secondes! Sans un mot, je baisse doucement mon regard sur son sexe rabougri et remarque que malgré le stress, et sans plus aucune once d'excitation, celui-ci garde des proportions plutôt alléchantes. Ce regard posé sur sa queue le fait rougir de plus belle, mais a aussi le don de le faire taire. Je passe un ongle sur sa verge et le sens frémir. Plus que frémir, même. Il tremble carrément. Il ne doit pas être habitué à être touché là. Pourtant, il est plutôt beau gosse, il faut bien avouer.
-- Remonte ton pantalon, et suis-moi. On doit avoir une petite discussion.
-- Oui, Madame... je suis vraiment désolé...
-- Soyons honnêtes l'un envers l'autre, Steve. Tu n'es pas désolé de m'avoir matée, tu es désolé de t'être fait prendre.
-- Mais ça m'a fait prendre conscience à quel point c'était mal...
Je ne réponds rien et le fais entrer dans la maison. Je ne souhaite pas passer par quatre chemins. S'il continue de parler, je finirai par changer d'avis. Je lui dis donc de s'asseoir sur le canapé puis ferme tous les volets, afin d'être sûre que personne ne puisse voir ce qui va se passer ici. À sa tête, je comprends qu'il sait très bien quelle tournure va prendre cette "discussion".
Le prendre sur le vif, le voir paniquer ainsi... qu'il m'appelle Madame... Le fait de me sentir tellement au-dessus de lui... Tout cela m'a beaucoup excitée et je sens ma culotte coller à mes lèvres.
-- Madame Legrand... commence-t-il, mais d'un simple regard, je lui coupe son clapet.
-- Je ne veux plus t'entendre, lui dis-je sur un ton qui me surprend moi-même.
Ni une ni deux, je retire ma culotte devant lui et la renifle en lui souriant.
-- Tu sais, Steve... Ce n'est pas tout de voir la chatte d'une femme. Il faut aussi connaître son odeur, son goût... Sens-moi ça...
Je place ma culotte sous son nez et il ne se fait pas prier. Il prend une longue inspiration et semble être ravi de ce qu'il découvre. Il relève la tête vers moi et ouvre la bouche, sûrement pour me faire un compliment sur l'odeur de mon sexe. Avant qu'il ne prononce un mot, j'enfonce ma culotte dans sa bouche.
-- Tais-toi et apprends...
Aussitôt, je défais sa ceinture, puis les boutons de son pantalon. Je sors sa queue qui a recommencé à durcir et la branle doucement. Il ne tarde pas à devenir dur comme la pierre, et j'adore ça.
-- Première leçon, mon petit Steve. Une femme qui aime se faire plaisir n'est pas une salope. Si tu dois traiter une femme de salope, tu dois le mériter. Et pour le moment, tu n'as rien mérité du tout.
Je le vois qui mord dans ma culotte. Le souffle court, ses yeux filent entre mon visage et ma main qui monte et descend lentement le long de sa verge. Avec un sourire en coin, j'attrape sa ceinture de l'autre main et tire violemment dessus pour l'enlever de son pantalon.
-- Les petits jeunes comme toi qui pensent que toutes les femmes sont des salopes en puissance, tu sais ce qu'on doit leur faire?
Je passe alors la ceinture autour de son cou, la passe dans la boucle et fais en sorte qu'elle serre sa gorge, juste un peu.
-- On doit les tenir en laisse, lui dis-je en plantant mon regard dans le sien.
Je plonge alors ma main entre ses cuisses et me mets à caresser ses couilles pleines avec douceur. Il gémit derrière ma culotte. D'un coup, je les serre plus durement dans ma main et il me regarde, apeuré.
-- Tu crois que je t'ai pas vu, depuis plusieurs semaines, à venir te branler tous les soirs en me matant?
Il se crispe et n'ose pas bouger. Il essaye de marmonner des excuses, mais je serre plus fort pour le faire taire. Je tire alors un peu sur la ceinture, pour la resserrer un peu et lui demande:
-- Tu as aimé, la pipe que j'ai taillé à mon mari?
Il hoche vivement la tête, encore pris entre panique et excitation. Des deux mains, je lui retire son pantalon. Sa queue tout pâle surmontée d'un gland rose pétant se dresse fièrement devant moi, alors que je me plante debout devant lui en récupérant la ceinture. Tout en relevant ma jupe pour lui montrer ma vulve détrempée, je tire sur la ceinture pour approcher son visage:
-- Puisque tu aimes tant la voir, regarde-la, ma chatte.
Ce disant, j'écarte un peu les cuisses, et de ma main libre, j'écarte mes grandes lèvres. Mon clitoris n'en ressort qu'encore plus et son regard qui se pose dessus m'électrise. Je le caresse doucement du bout d'un doigt.
-- T'avais pas remarqué celui-là de ta haie, hein?
Il remue la tête de gauche à droite, subjugué par la vue de mon sexe d'aussi près. Je commence même à me demander s'il en avait déjà vu une d'aussi près à part dans les vidéos porno.
-- T'es puceau? je lui demande alors.
S'il le pouvait, il rougirait encore, en relevant les yeux vers moi. Tout honteux, il hoche la tête, alors je lui souris tendrement.
-- Si tu deviens un bon garçon, tu ne le resteras pas longtemps.
Je le repousse alors en arrière et il tombe à moitié allongé dans le canapé. J'en profite pour retirer mon débardeur et je remarque que la vue de mon soutien-gorge le rend dingue.
Sans un mot de plus, je m'installe alors à côté de lui. À quatre pattes, j'attrape le bout de sa ceinture et me penche sur son sexe. Il est déjà prêt à exploser, c'est flagrant. Lorsqu'il sent mon souffle sur son gland, il se crispe, lutte contre la jouissance qui monte en lui.
-- C'est bien, lui dis-je, retiens un maximum.
Ma langue se pose sur son gland et il tremble comme une feuille à nouveau. Tout doucement, je le lèche en descendant le long de sa verge qui frémit. Ses bras, ses jambes, tout son corps se crispe. Je remonte alors, un peu plus vite et le saisis avec puissance à la base, tout en aspirant son gland.
Il décharge aussitôt. De puissantes et épaisses giclées font danser mes papilles. Le goût n'est pas aussi marqué que celui d'un homme. Je ne m'en souvenais pas. Je n'en rate pas une goutte et lorsque je sens que le plus gros est sorti, j'avale sa queue entière d'un coup. Il est moins large et moins long que mon mari, alors ça m''est facile.
Pendant que je lui fais sentir mes dents à la base de sa queue, il est carrément pris de tremblements, comme si ça lui faisait du bien et mal en même temps. Je remonte ma bouche et quitte son sexe, puis lui sourit, tout en continuant pourtant de le branler doucement d'une main.
-- Ne t'attends quand même pas à ce qu'une fille de ton âge réussisse à faire ça... À moins qu'elle ait déjà pas mal d'expérience.
Ma main descend sur ses bourses que je flatte toujours aussi doucement de quelques caresses, tout en lui retirant ma culotte de la bouche.
-- Alors, dis-moi? Demain tu préfèreras faire quoi? Me mater depuis la haie, ou venir sonner à la porte?
Il n'en croit pas ses oreilles et met plusieurs secondes avant de réussir à parler. Ce qui me fait rire:
-- Je vais croire que ta voisine ne te plaît plus, si tu restes muet.
-- Je... pardon... je, vous... Je sonnerai à la porte?
-- Bonne réponse, Steve, lui dis-je en serrant un peu plus ses boules dans ma main, tout en restant douce. Je n'ouvrirai qu'à une seule condition: que tu ne te vantes jamais auprès de tes potes de ce qui pourrait se passer ici.
-- C'est promis! lâche-t-il sans hésiter.
-- C'est promis qui?
-- C'est promis Madame?
-- Bon petit Steve, lui dis-je en ricanant avant de me pencher pour un bisou sur le bout de son gland encore bien gonflé malgré l'orgasme. Allez, rhabille-toi et rentre chez maman. Oh! Et à partir de maintenant, ce qui se passe entre mon mari et moi reste entre mon mari et moi, alors tu gardes tes yeux sur Pornhub tant que sa voiture n'a pas quitté l'allée.
-- Oui Madame, me dit-il en refermant son pantalon.
Je ris alors de bon cœur, en le voyant retourner vers la porte du garage, la ceinture encore autour du cou!
13/01/2025
Petite suite au dernier post! 😉
Il a osé. Mon petit voisin pervers a osé revenir. Pendant que je suçais mon mari, je jetais des petits coups d'œil vers la haie. Aucune trace de lui. Peut-être lui avais-je fait trop peur? Ou bien simplement, il respectait ce que je lui avais demandé. Maintenant que j'y pense, ne lui ai-je pas plutôt ordonné de ne pas regarder?
Je l'accueille donc avec le sperme de mon mari sur le haut de mes seins. Il faut dire qu'il n'a pas tardé. Il lui aura fallu moins de deux minutes entre le moment où la voiture a quitté l'allée et celui où il sonnait. S'il ne nous matait pas, il surveillait l'allée.
-- Bonjour, Madame, me dit-il, les yeux rivés sur mon décolleté strié de foutre.
-- Bonjour mon petit pervers, lui dis-je en le faisant entrer.
Il est stressé. Sûrement pense-t-il au voisinage. Que dirait-on si on le voyait se réfugier chez moi à peine mon mari parti? Pour ma part, je m'en contrefiche. Ce qui pourrait se dire ne serait que la vérité, au fond.
Tout comme la veille, je referme toutefois les volets. Je viens alors me planter devant lui et lui ordonne:
-- Déshabille-moi.
Il reste muet, ses yeux plantés dans les miens. Pour le réveiller, je viens me coller à lui et l'embrasse. Ses lèvres sont douces, bien qu'asséchées par le stress. Rapidement, il reprend ses esprits et répond à mon baiser. Sa langue vient trouver la mienne et la façon dont il la fait danser est plutôt plaisante, quoi qu'emprunte d'un peu de naïveté. Mais c'est rafraichissant, je dois avouer. Je lui tends alors mon cou et il y plonge son visage. Ses mains s'attaquent aux boutons de mon chemisier, avec empressement et maladresse.
-- Calme-toi, on a tout notre temps. Toute la nuit, s'il le faut...
Il m'écoute et termine de me déboutonner avec plus de douceur. Lorsqu'il découvre mes seins encore enfermés dans les bonnets de mon soutien-gorge, il sourit de toutes ses dents. Je me retourne en restant tout contre lui, afin qu'il s'occupe de les libérer. Ce qui lui prend un peu de temps que je mets à profit pour frotter mes fesses dodues contre son entre-jambe déjà au garde-à-vous.
À peine mes seins à l'air libre, je me retourne face à lui, prends son visage dans mes mains et le lui plonge dans mes mamelles. Je ris lorsqu'il se méprend sur mon intention. Sa langue me lèche et nettoie le foutre de mon mari que j'avais oublié, j'avoue.
-- Qu'est-ce qu'il y a? me demande-t-il en pensant sûrement qu'il fait quelque chose de mal.
-- Non, rien... Continue, petit pervers.
Qu'il ose avaler le fluide liquoreux de mon mari sans même se poser de question m'excite au plus haut point. Une fois tout avalé, il se rue sur mes tétons et les suce avec envie. Étant très sensible de ces petites excroissances, je sens un liquide chaud couler dans ma culotte. À chaque fois, c'est comme un robinet qu'on ouvre. Je me mets à gémir et lui conseille dans un râle de plaisir:
-- Tu peux aussi les mordiller...
Le petit Steve obéit aussitôt. Je sens ses dents me les serrer, et pousse un râle encore plus appuyé, tout en craignant la douleur. Lorsqu'il serre un peu trop, je lâche un petit cri et il s'arrête tout net:
-- Pardon Madame Legrand, je ne...
Je ne le laisse pas finir et lui replonge la tête dans mes seins.
-- Madame tout court. Et sache que tant qu'une femme ne te dit pas d'arrêter, alors tu dois continuer... même si tu lui fais un peu mal... Ça fait aussi partie du plaisir.
Il s'acharne alors sur mes tétons, les mordant même plus franchement par moments. Il est en train de me faire vaciller. S'il continue comme ça, je vais lui sauter dessus. Une partie de moi aimerait l'utiliser de cette manière. Jouir vite et fort, puis le renvoyer chez lui. Mais il est puceau. je veux lui offrir une première fois digne de ce nom.
L'attrapant par les cheveux, je lui fais descendre la tête sur mon ventre, pour lui faire comprendre qu'il doit continuer à me déshabiller. Je le laisse s'attarder un moment sur le piercing de mon nombril, ce qui me donne le temps de reprendre mes esprits, puis le fait tomber à genoux.
-- Je ne suis toujours pas nue...
-- Oui, Madame Le... Madame.
Je lui souris alors qu'il dézippe ma jupe sur le côté. Il tire dessus et je l'aide d'un petit mouvement des hanches. Je l'arrête alors que ses doigts agrippent ma culotte pour l'enlever aussi.
-- Prends ton temps, découvre petit à petit...
-- Mais... Je l'ai déjà vue hier...
-- Chaque fois doit être une nouvelle découverte, petit pervers...
Il semble comprendre vite. Tout en posant des bisous sur le tissu au niveau de mon petit clitoris dardé, il agrippe mes fesses et les masse.
-- Que vous sentez bon, Madame. Et vous êtes si belle.
Je ferme les yeux et soupire d'aise en caressant son crâne d'une main, pendant que l'autre joue avec un de mes seins. C'est que je commence à penser que ce petit jeune pourrait bien devenir un bon amant! Sa bouche glisse lentement jusqu'à mes lèvres, toujours par-dessus ma culotte. L'agrippant de plus belle, je me frotte contre son visage. La douceur de ma culotte rajoute aux sensations si délicieuses. Et lui, plus bas, commence à se rendre compte de la chance qu'il a. Être dépucelé par une femme avec autant d'expérience. Il embrasse, lèche, respire à fond mon odeur en souriant. Sans même que j'aie besoin de lui dire, il retire ma culotte. Cette fois, je ne lui laisse pas le temps d'admirer. Mes deux mains agrippent ses cheveux, et, relevant un peu une jambe, je me frotte à son visage de la même manière que je pouvais le faire contre mon oreiller lorsque j'étais plus jeune.
Ma cyprine abondante fait reluire son visage, et il aime ça, le bougre. Avant d'exploser, je me calme un peu et lui montre:
-- Tu vois, mon clitoris, là?
-- Ici, Madame? demande-t-il en posant un doigt dessus.
-- Oh oui! Suce-le... et doigte-moi en même temps.
En prenant son temps pour s'assurer de bien avaler le bon endroit, il pose sa bouche autour de mon petit bouton sensible et l'aspire de toutes ses forces. En même temps, je sens un doigt fébrile me pénétrer.
-- Mets-en deux! Non, trois! Oh oui, comme ça!
La première explosion ne tarde pas. Au lieu de faire aller et venir ses doigts en moi, il les tourne et les retourne, et la sensation est surprenante. Mon jus abonde encore plus et mes spasmes le surprennent, à tel point qu'il quitte mon clitoris pour relever les yeux vers moi. Ses doigts font pourtant le reste. Je redescends ma jambe en reprenant mon souffle et lui sourit.
-- Voilà que tu as fait jouir une dame, petit pervers, lui dis-je avec un brin de moquerie alors que je m'écarte un peu de lui.
-- C'est encore meilleur que ce que je pensais, m'avoue-t-il.
-- Tu dois apprendre qu'une femme, avec un peu d'expérience, ne se contente pas toujours d'un seul orgasme. Pour moi, le premier ne fait que me rendre encore plus gourmande. Mais parfois, il faut attendre un peu, car la vulve peut devenir très sensible. Tu peux en profiter pour lui demander de te sucer. Mais moi... Déshabille-toi...
Steve s'est relevé, avec son pantalon déformé par son érection. Il ne va pas durer longtemps, dans ma chatte, c'est certain. Avec empressement, il commence à virer ses vêtements alors que je fais les deux pas qui me rapprochent du canapé. J'y monte, à genoux, les mains posées sur le dossier et lui montre ma croupe reluisante.
Il est rapidement nu et je lui fais signe d'approcher. Il se place automatiquement derrière moi et admire la vue, les mains posées sur mes hanches.
-- Oh Madame, c'est... Je vais vraiment pouvoir?
-- T'as plutôt intérêt, même! dis-je en rigolant sans me moquer. Avec les autres filles, tu devras mettre des capotes, mais avec moi, tant que tu n'as pas de copine, pas besoin. Je ne baise qu'avec mon mari, j'ai toute confiance en lui. Et toi... Tu es puceau! Et je prends la pilule, donc je veux ton foutre en moi.
Il me regarde avec de grands yeux, comme si c'était Noël! J'ai tellement hâte de voir comment il va s'en sortir!
-- Maintenant, viens prendre ta voisine, petit pervers, lui dis-je en passant une main entre mes jambes pour attraper sa verge tendue et l'attirer à moi.
Je le guide jusqu'à me pénétrer, tout doucement. Ses doigts s'enfoncent dans mes fesses à mesure que son pieu disparaît entre mes lèvres pendant qu'il lâche des "oh putain! oh putain!"
-- Oh la vache! s'exclame-t-il après un premier aller-retour en douceur.
-- Respire, lui dis-je. Faut pas que tu jouisses trop vite, non plus. Respire et baise-moi.
Je n'ai pas mon deuxième orgasme avant qu'il inonde mon vagin de son foutre chaud. Intimidé ou voulant en profiter, il a fait des va-et-vient lents, sur toute la longueur de sa queue, en écartant mes fesses pour bien tout voir. Seule la dernière ligne droite a été plus animée. Il a même osé une fessée bienvenue, je dois l'avouer. Je sens encore en moi sa verge gagner en grosseur, par à-coups, alors qu'il vide ses couilles au plus profond de moi.
Lorsqu'il se retire de moi, il a le regard fuyant, se rendant bien compte qu'il ne m'a pas fait jouir, cette fois. Je le fais asseoir près de moi et lui souris:
-- Tu es déçu?
-- Je n'ai pas tenu bien longtemps, Madame.
-- Tu n'es pas un acteur porno, petit pervers! Mais même eux n'ont pas tenu bien longtemps leur première fois, lui dis-je pour le rassurer, tout en caressant ses bourses (ce qui semble le rassurer plus que mes mots, pervers qu'il est).
-- J'aurais tant aimé... Vous savez...
-- Me faire jouir? Me faire grimper aux rideaux?
-- C'est ça, Madame...
-- Mais je te l'ai dit, mon petit pervers à moi... On a toute la nuit...
À sa plus grande surprise, ces mots sont accompagnés d'un mouvement de ma tête qui dirige ma bouche vers sa queue encore poisseuse de nos fluides mélangés. La réaction que j'attendais ne se fait pas attendre et je lui souris:
-- L'énergie de la jeunesse... Prêt à y retourner, Steve le pervers?
-- Oh oui, Madame. Tout ce que vous voulez, Madame...
20/01/2025
-- Pourquoi? Voyons, mademoiselle, vous êtes trop jolie pour être aussi stupide! Vous allez mener tous ces gens vers une destination où la nudité est chose courante. Vous êtes là pour leur sécurité, bien sûr, mais aussi et surtout pour les décoincer! Il est donc tout à fait normal de travailler nue. Allez, retirez-moi tous ces vêtements et faites-moi votre petit speech de départ.
Alexandrine hausse les épaules et va en cabine se déshabiller. Elle revient quelques instants après, lance le son bien connu et fais les gestes qui vont avec en avançant doucement dans l'allée.
-- C'est parfait! Maintenant voyons pour le service. Allez chercher le plateau et faites comme si j'étais un passager.
Elle se retourne et roule exagérément des hanches en retournant vers l'espace dédié aux boissons. Elle revient en le poussant et ouvre de grands yeux en découvrant l'embaucheur totalement nu.
-- Oui, lui dit-il avec sérieux. Parfois, les clients se mettent en condition dès leur arrivée dans l'avion. Vous ne devez pas en être surprise.
-- Bien, monsieur, excusez-moi.
Elle se penche vers lui avec un grand sourire, s'efforçant de ne pas déplacer son regard vers le membre appétissant de l'homme. Il lui suffit de plonger son regard dans le sien et de ne pas dévier.
-- Souhaitez-vous boire quelque chose, monsieur? demande-t-elle à voix assez basse.
On lui avait donné cette technique juste avant son tour. Ça montrait qu'on ne voulait pas déranger les autres passagers et l'embaucheur apprécierait. Pour sa part, elle avait rajouté une petite teinte suave à sa phrase.
-- Un whiskey-glace, je vous prie.
Si elle s'évertue à ne pas poser ses yeux n'importe où sur lui, l'inverse n'est pas vrai! Il la dévore des yeux et elle en ressent comme une chaude gêne dans son bas-ventre. Elle se concentre sur sa tache: prendre un verre propre, le remplir de liqueur dorée...
Elle se raidit doucement en sentant une main posée sur sa cuisse, à l'intérieur. Sentant sa surprise, l'embaucheur lui sourit:
-- Vous n'êtes jamais allée là-bas, hein?
-- Non, monsieur.
-- Sachez que les personnes nues peuvent se faire allègrement toucher, d'autant plus lorsque leur travail est le service, quel qu'il soit. Terminez le vôtre, mademoiselle.
-- Oui, monsieur.
Elle reprend la bouteille et le verre et termine de verser le whiskey à une hauteur qu'elle considère comme étant celle qui sied à l'homme qui lui caresse la cuisse de plus en plus haut.
Avec une pince, elle attrape un glaçon et le pose délicatement dans le fond du verre. Les doigts de l'homme touchent ses lèvres et elle lâche un léger gémissement.
-- Monsieur, je... dit-elle, maintenant toute rouge, alors qu'elle a déposé un deuxième glaçon.
Frottant doucement l'entrée de son vagin, l'homme récolte un peu du suintement incontrôlé d'Alexandrine puis retire ses doigts.
Soulagée, Alexandrine s'empresse de se pencher légèrement vers lui. Elle marque un léger temps d'arrêt en le voyant dur comme la pierre. Elle a même le temps de remarquer la grosse veine bleue qui court le long de sa verge large.
-- Votre whiskey, monsieur.
-- C'est très bien, mademoiselle. Laissez le plateau et venez vous asseoir, lui dit-il en lui désignant le siège de l'autre côté de l'allée centrale.
Elle s'y installe, les jambes serrées et encore rouge de honte (seulement de honte?). L'homme, lui, goûte son whiskey, tranquillement, sans un mot, les yeux fermés. Elle ne peut s'empêcher d'admirer son pieu tendu. Elle s'en mord un peu la lèvre, mais retient un hoquètement lorsqu'elle voit la main de l'homme s'en saisir et se caresser doucement, les yeux toujours fermés.
-- Vous voyez ça? demande-t-il sans la regarder. La tension qui m'anime et que je vais faire passer avec vous, ça veut dire que vous êtes retenue. Toutefois, il vous faudra suivre un stage. Vous serez le premier contact qu'auront nos clients avec cette destination de rêve. En travaillant dans notre compagnie, vous devenez une véritable représentante de nos valeurs et de nos mœurs. Vous allez donc remettre votre robe. Uniquement votre robe. Puis vous allez revenir vous asseoir ici. Pendant que nous scellerons votre embauche comme il se doit, Catherine (celle qui vous a dit de ne pas parler trop fort pendant le service) se rendra chez vous et ira récupérer quelques affaires. Oui, elle jouait un jeu. Elle a profité de votre entretien pour subtiliser votre sac à main, et donc la clé de chez vous. Elle n'y prendra que le strict minimum. Toilette, maquillage... Avez-vous un traitement? Quelque chose qu'elle ne penserait pas prendre et qui vous serait vital?
À ce moment, il ouvre les yeux et tourne son visage vers elle. Il lui parle, mais elle regarde son engin dans sa main. Ses tétons sont sûrement aussi durs que ne l'est sa queue.
-- Non, rien... Mes vêtements sont...
-- Nous n'aurons pas besoin de ça, mademoiselle.
-- Oh! Je... Je comprends.
-- Allez remettre votre robe. Votre stage débutera à l'instant où le prochain vol atterrira. J'attends de vous obéissance, attention et intelligence, pendant votre mois de stage intensif.
-- Un mois, monsieur? Pourrai-je prévenir...
-- Prévenez qui vous voulez, bien sûr. Catherine peut même s'en charger, si vous préférez.
-- Non, je le ferai, dit-elle en se levant pour aller récupérer sa robe.
Lorsqu'elle revient, Catherine est là. Alexandrine fronce les sourcils. N'était-elle pas sensée aller chercher ses affaires? La femme est assise à la place où elle était quelques instants plus tôt. Près d'elle, il y a un sac à dos qu'Alexandrine reconnaît tout de suite. C'est le sien!
L'embaucheur, lui s'astique fermement et rit en voyant la réaction d'Alexandrine.
-- Catherine me connaît encore mieux que je ne me connais! Elle m'a avoué vous avoir subtilisé vos clés dès votre premier contact! Elle savait déjà comment cela se terminerait...
-- Je voulais absolument être présente pour le contrat, précise Catherine.
-- Puisque vous en parlez, Catherine...
À ces mots, Catherine se lève et prend la main d'Alexandrine.
-- Mettez-vous à genoux, là.
Un peu abasourdie, Alexandrine se laisse faire. Elle se retrouve nez-à-nez avec le membre de l'embaucheur qui s'est tourné vers l'allée pour lui faire face.
-- Nous nous occuperons des papiers officiels plus tard. En me laissant me répandre sur votre robe, vous acceptez les conditions de votre poste, et le salaire qui en découle, ainsi que le mois de formation que votre méconnaissance de notre pays impose. Est-ce le cas?
-- Heu... Oui, monsieur, j'accepte le poste.
Elle sent alors la main de Catherine agripper ses cheveux. Celle-ci lui relève un peu le visage pour qu'Alexandrine offre sa poitrine à l'embaucheur. Alexandrine attend un peu, sans bouger.
Elle n'a jamais aimé le silence, et rapidement, elle se sent mal à l'aise. Qu'est-ce que c'est cette façon de sceller un contrat? Pour ne pas trop réfléchir et ne pas rire nerveusement (ce qui pourrait être une preuve de jugement, de manque de respect), elle tend une main douce vers les bourses de l'homme et les caresse en les pressant légèrement. Juste ce qu'il faut.
-- Aaaaaahhhhh!
La tête ainsi relevée, elle le regarde jouir sur elle. La gêne chaude se réveille, plus vorace que jamais. À tel point qu'elle plaque sa main libre sur sa vulve et astique son clitoris en gémissant le temps qu'il se vide jusqu'à la dernière goutte.
Lorsqu'il se rassied normalement, Catherine aide Alexandrine à se relever.
-- Je vais devoir te montrer un endroit important, car jamais nous ne nous touchons nous-mêmes devant les passagers, à moins qu'ils le demandent explicitement et que cela ne fasse pas attendre d'autres passagers.
Alexandrine suit Catherine jusqu'à une pièce visiblement réservée à l'équipage. Elle est toute petite. On ne peut pas tenir à plus de deux personnes dedans.
-- Si la tension est trop forte, tu peux venir ici. C'est insonorisé. Comme tu le vois, on y tient à deux, mais jamais de passagers!
Alexandrine n'en peut plus. Grâce à cet emploi, elle pourra réaliser son rêve: acheter une grande parcelle de terrain, y construire des habitats durables et participatifs, élever quelques animaux, vivre en communauté, tout partager, même leurs corps. Et ce qu'on lui avait dit sur ce travail était loin de refléter la vérité: c'est beaucoup plus excitant que dégradant.
L'embaucheur, lui, continue de déguster son whiskey. Il attrape son portable et lance une application. Rapidement, sur son écran apparaissent Alexandrine et Catherine. La première gémit de toute son âme pendant que la seconde a le visage caché par la robe légère d'Alexandrine. D'un geste habile du doigt vers un coin de l'écran, l'image se retrouve projetée sur tous les écrans à l'arrière des appui-têtes.
-- Ça, c'est du recrutement... se dit-il à lui-même en se laissant aller dans le dossier de son siège.
10/02/2025
"Crois-moi, tu me reconnaîtras." Voilà comment s'était terminé l'échange de Louise avec Alex sur le tout nouveau site de rencontre qui faisait des émules depuis quelques mois: sexword.
Tinder avait du souci à se faire! Pourtant, on ne pouvait échanger que du texte sur ce site. Le but était d'inciter à se parler un minimum, mais surtout de se défaire de l'influence des images, des filtres, pour se centrer sur la personnalité.
Mais en fait, beaucoup voyaient ce site comme une sorte de roulette russe. Le physique de la personne étaient complètement inconnu avant la rencontre. Certains usagers et usagères réussissaient même à laisser planer un doute sur leur genre, ce qui pouvait pimenter encore les choses.
Et Louise avait décidé que sa vie devait être remplie de surprises. Et au final, ce site qui bousculait les mœurs du XXIème Siècle en refusant "l'image" était exactement ce dont elle avait besoin. Elle voulait être plus que l'étudiante modèle appréciée de tous les enseignants pour ses capacités d'analyse. Elle voulait montrer que malgré un esprit cartésien comme le sien, elle pouvait laisser une place au hasard, à la folie.
Et comme tout ce qu'elle entreprenait, elle y allait sans modération. Dans son profil, les choses étaient claires: elle recherchait du sexe avec des inconnus qui avaient plus qu'un physique. Elle se foutait même du physique, elle ne voulait rien en savoir avant la rencontre. C'était la condition sine qua non pour en arriver là. "Si je devais m'attacher au physique plus qu'à l'esprit, je ne pourrais m'empêcher d'aller uniquement vers des hommes qui me plaisent. Sans savoir quoi que ce soit sur votre physique (jusqu'à votre genre), je pourrais multiplier les expériences, plutôt que de les répéter."
C'est ainsi qu'Alex lui avait tapé dans l'œil. Malgré des échanges assez nombreux (par rapport à ses deux premières expériences sur le site), elle n'avait aucune idée de qui se cachait derrière ce nom à la fois si commun et si énigmatique. Alexandre? Alexandra? Cette personne avait manié les mots et les tournures de phrase de façon à ce que tantôt, Louise puisse penser qu'il s'agissait d'un homme, tantôt d'une femme... tantôt un transgenre, tantôt un ou une cisgenre. Un vrai mystère qui la rendait bouillante.
Son pseudo à elle était simplement ses initiales "L.Y.". Ainsi, elle pouvait jouer aussi sr ce mystère lorsque l'autre le souhaitait. Certaines personnes mettaient simplement dans leur profil queleur recherche se tournait vers une femme, un homme, trans...
Pour Alex, c'était "tout" qui était précisé. Cette ouverture d'esprit avait attisé Louise au premier abord.
Les échanges étaient restés plutôt vagues, comme toujours: hobbies, lectures, musique... Et chaque fois, Louise avait de plus en plus envie de savoir, de rencontrer cette personne, et en même temps voulait garder le secret.
Mais il fallait "passer aux choses sérieuses". Elle avait donc pris la décision de lui donner rendez-vous dans un lieu public, et de lui préparer une surprise digne de la personne qu'elle avait montré dans leurs échanges.
Arrivée dans le bar de nuit envahi par des étudiants d'une autre fac qu'elle ne connaissait pas (à part certains qu'elle avait rapidement croisé lors de soirées étudiantes), elle alla commander un verre. Une fois servie, direction les toilettes. Puisqu'elle s'apprêtait à faire dans la provocation, elle s'engouffra dans les toilettes des hommes. Une fois enfermée, elle se déshabilla. Entièrement.
Elle prit une bonne gorgée de son whiskey-coca pour se donner du courage et sortit en laissant ses fringues où ils étaient.
Les gars hallucinèrent sur son passage. Quelques uns auraient bien aimé en profiter mais son attitude, sûre d'elle, presque hautaine, les en dissuadèrent rapidement. Elle dû quand même repousser une main ou deux, essuyer quelques commentaires désobligeant mais pas vraiment blessant. Les sifflements et les regards outrés la firent sourire.
Finalement, elle s'accouda à une banquette et resta attendre en plein milieu de la salle. Impossible qu'Alex la rate, de cette façon.
Heureusement, il ne lui fallut attendre que quelques minutes avant de sentir son cœur accélérer.
Un couple d'une quarantaine d'années s'avança vers elle en lui souriant.
-- En effet, on ne pouvait que te reconnaître, lui dit l'homme en la reluquant déjà avec envie. La surprise est des plus déroutantes!
Louise resta bouche bée, regardant l'une puis l'autre sans pouvoir répondre.
-- Je suis Alyssa, lui dit finalement la femme brune moulée dans une robe au décolleté affriolant.
-- Et moi Xavier, renchérit l'homme en costume.
-- Al et X... Alex, reprit Alyssa en ricanant.
Louise leur sourit de toutes ses dents. Le saisissement qui l'avait bloquée quelques secondes venait de se muter en excitation intense. Elle lâcha un petit soupir de satisfaction en s'approchant d'eux pour les embrasser.
-- Moi, c'est Louise.
-- Doit-on te couvrir pour sortir d'ici? demanda Alyssa, visiblement pas à son aise dans cette atmosphère estudiantine.
-- Surtout pas, répondit Louise.